Dessinateurs

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Photo de LARGE
LARGE

Marc Large

Large est dessinateur pour Siné Hebdo, Vigousse, Sud Ouest, Rue89, Kamikaze, La Mèche et Bakchich.

Durant quelques années, il dessine aussi en direct sur Canal Sat, un exercice qu’il poursuit pour des congrès, conférences et séminaires. En 2007, il réalise des visuels pour des causes défendues par Renaud. En 2005 et 2008, il illustre deux bandes dessinées dont Brèves du Sud-Ouest, préfacée par Raphaël Ibañez. En 2009, Marc Large collabore à l’ouvrage collectif Le petit Alévêque illustré et dessine pour Nicolas Traparic dans l’ouvrage Renaud des Gavroches. En 2010, il dessine chaque semaine pour la presse, dans (feu) Siné Hebdo, Vigousse (journal satirique suisse), Bakchich, Sud-Ouest, Rue89, La Mèche et dans le mensuel Kamikaze.

Il publie aussi un livre intitulé Dessins Mal élevés aux Éditions La Lauze. Un recueil de dessins de presse sur des textes de Siné, Denis Robert, Didier Porte, Etienne Liebig, Noël Godin et Christophe Alévêque.

Photo de L’AMIRAL
L’AMIRAL

Bertrand Thiriet,

alias Le Fouettard (France)

Membre FECO France

Né en 1975. L’Amiral a posé pour l’instant son sac à Strasbourg. Il jette l’encre pour les magazines Savoir(s) et Oxygène, navigue également à vue sur les sites Infos-matin, LePost.fr et Agoravox. Il fait régulièrement relâche sur son blog perso

Né quelque part en plein cœur de la Guerre froide, il a grandi innocemment entre La Dernière séanceprésentée par l’inénarrable Eddy Mitchell et la surconsommation de bandes-dessinées comme Bob et BobetteOumpah-PahLes Tuniques bleues ou Les Krostons. Son monde sentait alors les bonbons Pez, le gel douche Obao et les chansons de Chantal Goya. Plus tard, c’était évident, il deviendrait pirate et épouserait une belle sirène. Hélas, c’est ensuite que ça s’est corsé grave. Passées de laborieuses études ne servant qu’à briller dans les dîners en ville, il mit les voiles dans la Royale, où il se fit copieusement toucher le pompon, avant de poser son sac dans une bibliothèque.

Détestant la politique, ne comprenant rien à l’économie, ne s’intéressant pas du tout à la Culture et faisant des allergies aux “pipelê” (comme disent les Alsaciens), il décida de faire du dessin de presse, parce que, comme disait Horst Franck dans Les Tontons flingueurs : « Je ne te dis pas que ce n’est pas injuste, je te dis que ça soulage. » Depuis, celui que l’on a donc baptisé “l’Amiral” (ou “l’Ami râle”, on n’a jamais bien su) jette son encre, comme un pétrolier chypriote dégaze en mer, principalement sur le Plus duNouvel Obs.