Graveurs

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Photo de Thomas DE LA PINTA
Thomas DE LA PINTA

ETUDES :
1996 Bac F12 à Brest
1997-99 École des Beaux-Arts de Cornouaille à Quimper
2002-03 École supérieure de l’Image à Angoulême

L’atelier d’artiste de Thomas de la Pinta est installé à Rezé. Après deux années aux Beaux-arts à Quimper (Finistère), il a été formé à l’école de bande dessinée d’Angoulême (Charente).

Thomas de la Pinta a beaucoup pratiqué la gravure, mais depuis quelques années, il s’est mis à la peinture.
Il expose depuis 2004 dans de nombreux salons et festivals

EXPERIENCES PROFESSIONELLES ET ARTISTIQUES :
1995-2010
ILLUSTRATION :
– « Sur les pas de ST Augustin  » de Kebir Ammi -éd. Presse de la Renaissance.
– « Itinéraire en Provence » et « itinéraire en Provence Oriental »
de L.E.Fritch-éd.La table Ronde.
– « Offrande à gala »de Ode-Pactat-Didier-éd.Le Cygne d’O.
– Collectif  » La Fontaine en BD  » -éd. Petit à Petit.
STAGE :
-Animation de stage de Gravure et de Bande Dessinée.
TAILLEDOUCIER:
Tirages de Gravures pour: Philippe Vandenberghe, Carmelo de la Pinta, Gwenh’lan Le Scouezec, Luc Le Beau, Laurent Schkolnyk et l’imprimerie Tanguy à Paris.

 

 

Photo de Elsa SAISSET
Elsa SAISSET

Je découvre la gravure en 2004 en parallèle de mes études d’arts plastiques à La Sorbonne : les techniques de l’eau forte à l’atelier 63 (Paris 14e), la taille directe dans l’atelier du buriniste Joël Roche, grand prix de Rome, la taille d’épargne à l’école supérieure des arts appliqués Duperré. 

En 2016, je me consacre entièrement à la gravure en ouvrant mon atelier à Nantes, l’Atelier Bois d’encre, un espace de travail et de transmission autour de la gravure. J’expose régulièrement depuis près de 15 ans. 

J’ai choisi la gravure comme mode d’expression avant tout pour le rapport avec la matière, le métal, qui met en jeu la relation au temps. J’aime mettre en lumière l’infime par le prisme de la matrice gravée. Jouer des déclinaisons de gris qui tiennent de la vibration spirituelle. 

L’architecture tient une place importante dans mon imaginaire. J’aborde le paysage urbain, souvent des lieux publics provisoirement désertés de leurs habitants. La nature me tient également à cœur : la montagne, la mer, les marécages dans ce qu’ils nous donnent à voir comme éléments bruts, directs. Mes « petites séries » se ramassent telles des coraux, poussent comme des champignons ; se nourrissent d’insectes et s’observent à la loupe à la manière du plancton …