Peintres

- A B C D E F G H I J K L M N O P R S T V W Y
Photo de ABEL
ABEL

… Mes parents m’ont envoyé à Pondichéry pour y vivre.
Après avoir passé mon baccalauréat ès arts (BFA),
j’ai commencé ma carrière en tant que designer textile.
Mon ami et artiste J. EJOUMALE m’a aidé à m’impliquer dans le domaine de l’Art.
J’ai participé à de nombreuses expositions.
Chaque année je rejoins J.EJOUMALE pour vivre et travailler en Belgique et en France
pendant trois mois pour organiser des cours d’aquarelle.
En l’absence d’écoles spécialisées dans l’aquarelle,
j’ai gagné ma maîtrise dans cette technique en passant de 5 à 6 heures par jour
dans les espaces ouverts pratiquant et perfectionnant cette technique.
Les portraits de notre professeur d’art M. RAJARAJAN,
Les espaces urbains de M. NATESAPRABHU et les scènes de village
représentées par l’artiste M.RAHIM m’inspirent dans mon travail.
Sans utiliser les couleurs noire et blanche, la diffusion de couches minces de couleurs
claires et le passage progressif à des couches plus sombres permettent aux figures
d’acquérir trois dimensions…

C’est toujours une surprise que d’essayer de contrôler le flux de couleurs 
sur un papier humide en utilisant des pinceaux et d'autres techniques 
et ne jamais savoir si cela sera un succès ou non.
La transformation progressive des espaces blancs, petits ou grands en 
images souhaitées est magnifique…
Les scènes vertes et sèches du village, les routes de la ville, les hauts bâtiments
 des villes, quel que soit le sujet, le contraste créé par les rayons du soleil 
ont toujours intrigué et a inspiré mes œuvres d'art.
Paul AIZPIRI

Paul Aïzpiri (1919-2016)

Etait un artiste peintre et lithographe figuratif français appartenant à la jeune Peinture de l’Ecole de Paris avec Bernard Buffet, Paul Rebeyrolles, Bernard Lorjou, André Minaux.

 

Il fait École Boulle, puis de l’École nationale supérieure des beaux-arts où il est admis en 1936 dans l’atelier de Fernand Sabatté

 

Paul Aïzpiri expose au Salon d’automne juste après la Libération et obtient le troisième prix de la peinture en 1951. C’est sous la présidence de Pierre Descargues, avec pour vice-présidents Paul Rebeyrolle et Gaëtan de Rosnay, qu’il est, aux côtés de Bernard Buffet, Paul Collomb, Michel de Gallard, Pierre Garcia-Fons, Daniel du Janerand, jean Jansem, Mireille Miailhe, Michel Patrix, Raoul Pradier et Michel Thompson, membre du comité qui le 9 mars 1953 fonde l’Association dite de la jeune Peinture

Il est très connu au Japon où ses œuvres sont exposées en permanence au Nakata Museum.

Photo de Krystoff ANTIER
Krystoff ANTIER

« Saisir l’instant …. Pour fixer l’émotion »

Peintre Sculpteur français né sur les bords de Loire en 1968.

Professeur d’Art Plastique pour Art-Mano de Varades, Saint Florent le Vieil, Beaupréau, Saint Laurent des Autels.

Sociétaire de la fondation Taylor de Paris Sociétaire Szobraszmuvesz de Hongrie

« Sa peinture s’inscrit dans une immuable recherche des formes et des couleurs. Sa palette ample, aux sonorités denses, reflète la maîtrise d’une huile caressée au couteau. Sa touche à la fois légère et puissante impulse une harmonie dans le mouvement. Krystoff recherche le moindre reflet de lumière pour nous éblouir de tonalités. Cette lumière à la fois vive et douce, insuffle à ses toiles une atmosphère vaporeuse. C’est un artiste qui aime à croquer les moments de la vie de tous les jours, avec de chaudes couleurs, témoignant le plus simplement son bonheur de créer. »

Photo de Axelle ARDURAT
Axelle ARDURAT

Née en 1973 à Bordeaux, Axelle Ardurat, a toujours été attirée par le dessin et la peinture.

C’est à l’âge de 13 ans qu’Axelle se prend de passion pour l’Aquarelle grâce à une amie de la famille artiste peintre. La magie des pigments, de l’eau, et cette sensation de découverte de quelque chose d’exceptionnel ne va plus la quitter…

A partir de là, elle travaille seule, et va de découvertes en découvertes.
Après ses études, et une vie professionnelle très diversifiée, elle décide de se consacrer à sa passion, et de se professionnaliser en 2010.

Depuis, elle participe à de nombreux Salons en France et à l’étranger, et réalise aussi des expositions personnelles.

Elle partage sa passion lors de stages, qu’elle propose toute l’année, dans une ambiance conviviale.

Depuis septembre 2018, Axelle s’est installée à Gaillan, dans le Médoc, entre forêts et océan.

En 2012, Axelle a écrit son premier livre d’aquarelles : « Terres d’eau ».

En 2017, est paru le second : « Emotions et Inspirations« .

Membre de L’IWS France (International Watercolour Society).

Membre de la Société Bordelaise de l’Aquarelle.

Ses aquarelles sont inspirées de paysages, et sont une invitation à la méditation sur ces instants d’Éternité…

Photo de Kourosh ASLANI
Kourosh ASLANI

Il est l’un des plus talentueux aquarellistes d’Iran et peint habituellement dans les rues de sa ville Ispahan, la capitale artistique de son pays. Une ville que Pierre Loti nommait « Le royaume du bleu suprême et absolu ».

 

Il nous dévoile les joyaux de sa ville par ses œuvres, ainsi que les différentes facettes de son savoir-faire artistique.

Ses oeuvres admirables retracent la vie et les paysages de son pays.

 

Ses traits sont fluides, rêveurs et puissants à la fois et ses fondus de couleurs très maîtrisés.

 

De sa peinture il dit: « J’essaie de rester dans le vrai quand je peins mais parfois je sors du cadre de la simple représentation ».

Photo de Danièle AVIRON
Danièle AVIRON

Danièle AVIRON

Sociétaire de la Fondation TAYLOR

Sociétaire ARTS  SCIENCES et LETTRES

Danièle Aviron vit et travaille à Bougbarré (35) dans la banlieue rennaise.

« Je suis attirée par des thèmes très variés et me réalise dans les portraits et les personnages pour l’émotion que je ressens à tenter d’exprimer leur vie, leur lumière intérieure. Chaque tableau représente une nouvelle aventure, un voyage où ce sont les sujets qui me commandent la technique utilisée (peinture à l’huile, pastel sec, tempera). »

Dès son enfance, Danièle Aviron esquissait des personnages imaginaires. C’est ainsi que conjointement à ses études secondaires, elle suivait les cours de l’Ecole des Beaux-Arts de Nancy.

C’est par une rencontre déterminante avec le Maître hongrois Akos Szabos, qui lui enseigne l’exigence du dessin, que va s’affirmer son goût de la perfection.

L’artiste est plutôt attirée par les portraits, par des compositions intégrant des personnages, avec le désir de transmettre les émotions qu’elle perçoit. Il lui arrive de s’inspirer des photos souvent ethniques que son frère, photographe professionnel, a réalisées au cours de sa carrière.

Elle a reçu de nombreux prix et médailles depuis 2010. Tous les ans, elle participe au salon international de la société des Pastellistes de France.

Photo de Michel AVIRON
Michel AVIRON

Né en 1944 à ANGERS, j’ai commencé par une carrière aéronautique.

Je vis et travaille maintenant dans la banlieue rennaise.

Passionné depuis toujours par le dessin, j’ai également pratiqué longtemps l’aquarelle.

Soucieux du détail, minutieux, je me réalise désormais pleinement grâce à ma rencontre avec le Maître Hongrois Akos SZABO qui m’a enseigné différentes techniques et permis ainsi de les explorer et de les marier dans mes réalisations avec l’exigence du trait pour essayer d’arriver à la perfection.

Le choix de mes sujets est souvent  lié à des émotions ressenties devant des portraits ou des objets insolites dont j’essaye d’exprimer toute la beauté.

Je participe régulièrement à de nombreux salons dont « Regards  sur les Arts » à Lamballe.

Photo de Jean-Paul BARRE
Jean-Paul BARRE

Jean-Paul Barré est né à Nantes en 1954.

Inscrit à l’École des Beaux-Arts de Nantes, il apprend le dessin et la gravure dans l’atelier de Paul Guimezanes (Prix de Rome).
Il prend des conseils et se lie d’amitié avec le peintre nantais Edmond Bertreux.
Il travaille surtout seul dans la nature à toutes les saisons en multipliant les études au crayon, à l’aquarelle, à la gouache et à l’huile.

Très influencé par Corot, l’École de Barbizon, les Romantiques allemands et anglais, il a parcouru les musées (France, Grande-Bretagne, Hollande, Suisse) pour apprendre la technique des Maîtres du XIXe siècle.

A partir de 1976, des expositions se succèdent à Saint-Brévin, Pornic, Deauville, etc.
Devenu professionnel en 1985, il expose régulièrement :

– à la Galerie Bernier à Nantes.
– au Salon du Val de Cher: premier prix en 1993.
– à Paris, au Salon des Indépendants

En 1988, il s’installe en Brière (Loire Atlantique), paysage de marais, d’arbres et d’eau qui sont une grande source d’inspiration.

Depuis 2001, une exposition annuelle a lieu dans son atelier.

 

Photo de Claudio BERTONA
Claudio BERTONA

Je suis né a Novara, une ville du nord de l’Italie et j’ai étudié l’aquarelle à l’Ecole Gorlini.

Je suis membre de l’association italienne des aquarellistes et j’ai exposé mes oeuvres en Italie, France, Irlande, Russie, Espagne, Mexique, Etats-Unis, Belgique, Finlande, Suède, Norvège, Colombie et Suisse.

Ma conception personnelle de la peinture est que l’on peigne toujours ce que l’on est.

Photo de Muriel BESNARD
Muriel BESNARD

Artiste au parcours multiforme, Muriel Besnard est formée aux arts asiatiques. Son approche se fonde sur l’utilisation du souffle, sur l’intensité de présence et sur l’engagement du corps nécessaire à la libération du geste.

Chaque tableau est pour l’artiste un voyage initiatique qui renvoie à l’Esprit du Tao. Des lointains vaporeux ouvrent sur l’immensité, libérant ainsi des espaces de respiration. La perspective est atmosphérique, les points de vue sont multiples pour évoquer cette nature dont nous ne sommes qu’une expression.

Chez Muriel Besnard, l’œuvre émerge de la profondeur sensible et de la relation intimiste qu’elle installe avec le sujet peint. Aucun dessin préparatoire, aucune finalité ne sont projetés. Le projet s’élabore au fur et à mesure que le processus avance.

Ses créations nous parlent de sensations, de ressentis. Il s’agit pour elle de « Vivre selon l’Esprit de la Vallée » : cela consiste à épouser le flux mouvant du réel pour mieux évoquer l’énergie tellurique du Shan Shui (litt. Montagnes & Eaux).

Les œuvres sont créées aux pinceaux à lavis et aux encres asiatiques sur un papier de fibres de mûrier dit papier de Xuan. Elles sont ensuite marouflées sur toiles et reçoivent plusieurs couches d’un apprêt de protection d’aspect satiné

Photo de Dominique BEULZ-RICHÉ
Dominique BEULZ-RICHÉ

DominiqueBEULZ-RICHÉ

 

Née à Quimper en 1957, j’y ai passé mon enfance. Je me suis installée dans la région brestoise dans les années 80 pour mon travail et j’y habite toujours aujourd’hui.

Durant de longues années le monde scientifique et particulièrement la recherche en pharmacologie ont constitué mon activité principale mais je me suis toujours laissée une part d’évasion en participant à des cours du soir, que ce soit en dessin ou en peinture.

Après avoir très longtemps partagé mon temps entre le laboratoire et la peinture, je consacre une grande partie de mon activité à l’aquarelle depuis 2004.

 

Ce médium m’a servi à passer de la recherche scientifique à la recherche picturale. Le lien entre ces deux mondes à priori éloignés m’est alors apparu comme une évidence !

Contrôler l’eau, les pigments, le temps et le geste, autant de paramètres que l’on doit doser pour trouver une juste alchimie en aquarelle: un vrai travail de réflexion en laboratoire !

L’aquarelle est une technique subtile qui laisse entendre qu’elle est simple mais qui en réalité réserve bien des difficultés lorsqu’il s’agit de trouver un juste équilibre entre technique et émotion. Mais c’est une technique passionnante et qui n’a pas fini de me fasciner !

Le spectacle de la nature me fascine et mon côté rêveur transparait souvent dans ma peinture. Un seul souhait : traduire une émotion, la poésie d’un lieu et entraîner le plus possible de personnes dans mes rêves…

 

Pendant 10 ans, j’ai été co-organisatrice du salon d’automne de Guipavas (Centre culturel Alizé)

Depuis 2012, j’appartiens à la Société des aquarellistes de Bretagne (SAB). La SAB compte quatre centre de regroupements : Montgermont, Pont L’Abbé, Guidel et Guipavas depuis 2014. Je suis responsable de l’antenne de Guipavas depuis la rentrée 2016.

Je fais partie de l’association « Breizh aquarelle » qui organise la Biennale internationale d’aquarelle du Léon.

J’anime des cours d’aquarelle à Brest

 

 

Expositions : nationales et internationales

Photo de Michel BEZ
Michel BEZ

Né le 15 mars 1951 à Toulouse, Michel Bez, consacre son temps libre à la peinture dès l’âge de 16 ans. Autodidacte, il présente sa première exposition en 1975. Depuis cette date, la peinture devient son activité principale et constante. Après avoir possèdé durant quelques années une galerie de peinture il s’est ensuite consacré entièrement à son art

Médaillé de bronze au Salon de la Marine en 1983, nommé Peintre Officiel de la Marine le 1er mai 1987 et titularisé le 1er mai 1999, il est depuis 2002, Président de l’Association des Peintres Officiels de la Marine.

Docteur en droit, Michel Bez a, parallèlement à ses activités artistiques, occupé la fonction de professeur, de 1993 à 1995, sur le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc (Ecole d’application des élèves officiers de Marine) où il a dispensé un enseignement sur l’optique plastique et la pratique du dessin.

De 1995 à 2000, professeur à l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales (HEC), il a enseigné l’optique plastique, l’analyse de l’image et la sémiotique visuelle.

Membre de l’Académie de Marine, chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres, Peintre Titulaire de la Marine, il préside l’Association des Peintres Officiels de la Marine depuis plusieurs années, après en avoir été le secrétaire général.

Michel Bez a réalisé plus de 50 expositions personnelles en France et à l’étranger (Belgique, Suède, Australie) et participé à de multiples expositions de groupe ainsi qu’à des salons artistiques parmi les plus connus.

Photo de Paul BILLARD
Paul BILLARD

Pastelliste autodidacte, né à Nantes, il a suivi ses études de kinésithérapeute et a ouvert son cabinet. Il a toujours dessiné.

Après quelques essais de sculpture sur bois et un peu d’aquarelle, on lui offre un coffret de pastels et c’est le coup de foudre ! Il l’adopte d’abord pour ses aspects pratiques (absence de temps de séchage) et sa proximité du dessin, avant d’en faire sa technique de prédilection pour la richesse de ses nuances, l’intensité de ses couleurs chaudes et les infinies possibilités de transparences, de textures qui lui donnent envie d’aller plus loin. Après dix ans de travail en autodidacte, il se rapproche de Pierre Caro dont il suit les cours. Aujourd’hui, Paul Billard est un artiste reconnu. A la retraite, il peut dorénavant se consacrer à son art.

Ses sujets ont d’abord été des scènes du carnaval de Venise et des cavaliers qu’il aime dessiner d’imagination. Ses thèmes sont autant d’émotions rapportées de ses voyages dans ses esquisses aquarellées. L’humain y est omniprésent et les scènes de vie nombreuses : les bals, les marchés, le carnaval de Venise, l’Inde, le Maroc, l’Égypte, mais aussi les chevaux de Mongolie, les nus sont pour lui autant de sources d’inspiration, le tout décliné en couleurs somptueuses où dominent souvent le rouge et le bleu. Il effectue des esquisses à partir de carnets de voyage à l’aquarelle et des photos qu il réalise lors de ces voyages.

Exposant dans les salons régionaux depuis une trentaine d’années, il obtient de nombreux prix. Invité d honneur au salon du pastel en Bretagne en 2010 puis à Carquefou en 2011, et au salon du pastel de Giverny, il a participé aux estivales internationales du pastel de Saint Florent le Vieil également.

Rémi BLANCHARD

Rémi Blanchard, artiste peintre français représentant de la figuration libre naît en 1958 à Nantes. Il décède d’une overdose en 1993 à Paris.

Il puise son inspiration dans ses souvenirs d’enfance, de vacances en camping, en caravane, de famille nombreuse : il a dix frères et soeurs. Il étudie tout d’abord la mécanique, puis s’inscrit à l’École des Beaux-Arts de Quimper.

« A la 3ème année des Beaux-Arts, j’en avais ras-le-bol, je ne m’entendais plus avec les professeurs, je n’avais pas d’argent. C’est Bernard Lamarche-Vadel qui m’a conseillé de venir à Paris, il m’a poussé pour que je travaille, je pense qu’il m’a bien aidé. » Rémi Blanchard

 

Au début des années 1980 il s’intalle à Paris. Son atelier, situé dans des anciens entrepôts, est détruit lors d’un incendie, de même que sa collection personnelle et ses archives.

Il participe au fondement de la figuration libre aux côtés de Boisrond, Combaset Di Rosa et crée sa propre mythologie, notamment à travers l’imagerie des contes et des légendes.

Rémi Blanchard expose notamment en 1982 dans la Galerie Swart d’Amsterdam, la Galerie Bernier d’Athènes et la Galerie Yvon Lambert de Paris, en 1983 dans la Galerie Buchmann de Saint Gallen en Suisse, la Galerie Claudine Bréguet de Paris, la Galerie Eva Keppel de Düsseldorf, en 1985 dans la Galerie Wolf Schulz de San Francisco, en 1987 dans la Galerie Krief de Paris, en 1989 dans la Galerie Galea de Caen et au Musée d’Art Moderne de Quimper, en 1990 dans la Galerie Svetlana de Munich, en 1992 aux Magasins SOGO au Japon, dans la Galerie Thierry Salvador de Paris, la Galerie Ornamenten d’Anvers, etc.

En 1997, une exposition « Hommage à Rémi Blanchard » est organisée dans la Galerie Gastaud de Clermont-Ferrand, de même en 1999 au sein de la Galerie l’Art en Face de Plonéour-Lanvern.

Rémi Blanchard décrivait sa peinture comme « une écriture imagée », une écriture qu’il tendait à « simplifier encore plus ».

 

Roger BONAFE

Né le 30 Aout 1932 à Caux dans l’Héraut. Il arrive à Paris dans la deuxième moitié des années cinquante et habite en plein cœur de Montmartre.

Il y côtoie les peintres de la « Butte », Gen Paul notamment, puis Lorjou, Jansem, etc… Le déclic se produit : il sera peintre.

Au début des années soixante, c’est une peinture très typée que l’on voit apparaître sur les cimaises des galeries de Montpellier où Bonafé vient de se fixer. Paysage ou nature morte, l’écriture est simple, précise. Sa palette est riche et chaude avec ses rouges, ses oranges, ses verts lumineux.

1988 fut pour lui une date très importante. En effet, il rencontre René Chabannes directeur de la Galerie Christiane Vallé. Il dit lui même : « Ce fut  » la  » rencontre qui marqua le début d’une carrière internationale ». Les expositions se succèdent d’année en année : République de Chine, Corée du Sud, Japon, New-York, Dallas, San-Francisco, Chicago, Rio de Janeiro l’Australie et bien sûr l’Europe, Genève, Zurich, Londres, Barcelone.

Roger Bonafé, qui ne s’est jamais départi de la figuration, donne à voir une peinture forte, basée sur une interprétation très personnelle de la réalité.
« Je peins ma région, avec les éléments qui la raconte le mieux : cyprès, pins, étangs, mer, vignes, mas, comme je me suis servi des rues et des places qui bordent le Sacré-Cœur de Montmartre. Je me sers pleinement de la nature, c’est sûr, mais s’il faut déplacer un élément pour la composition du tableau et si c’est ce que je souhaite, je le déplace ».

En 2002 sa rétrospective au Château de Val impressionne le visiteur, le bouscule, le charme, l’éblouit. Le Château au second plan est réveillé par la présence d’une femme au grand chapeau rouge, élégante dans son attitude, éblouissante dans ses couleurs.

Roger Bonafé disait un jour « Je crois que le travail donne du talent ».

 

Photo de Muriel BONNIN
Muriel BONNIN

Je suis née en Alsace en 1962 et vit actuellement dans les Yvelines.

Autodidacte, j’ai eu le goût du dessin dès l’enfance mais c’est à l’âge de 32 ans, alors que je vis 
sur l’île de Saint-Barthélémy que je commence la peinture à l’huile.

En 2012 je découvre le travail de maîtres pastellistes et cela me donne envie d’essayer le pastel.

C’est finalement cette technique qui me conviendra le mieux.

André BRASILIER

Né à Saumur, Touraine en 1929. André BRASILIER entre à l’École nationale supérieure des beaux-arts en 1949 et obtient le Prix Florence Blumenthal en 1952 et le premier grand Prix de Rome de peinture l’année suivante, il réside à Rome à la villa Médicis de 1954 à 1957. Sa vie d’artiste implique un perpétuel déplacement géographique toujours au contact de la nature omniprésente autour de chacune de ses maisons – ateliers. Découvrir son œuvre à travers quelques mots clés :

SES SUJETS DE PRÉDILECTION

  • Le modèle aimé et presque adulé, son épouse.
    •La nature omniprésente et ses changements saisonniers.
    •La musique
    •Les chevaux

Ces quatre thèmes sont fondamentaux pour l’artiste qui revendique Gauguin comme ‘père spirituel’: la musique, le modèle que représente son épouse, les personnages dans la nature et les chevaux. Ocre, blanc et noir marquent les œuvres musicales où les musiciens et leurs instruments-sont-à-peine-ébauchés.

Sur de nombreux tableaux un personnage féminin, toujours le même, se détache sur des paysages, des aplats bleus, verts, noirs ou rougeoyants : Chantal, sa femme, qu’il décrit comme sa ‘muse’, sa ‘source d’inspiration permanente’.

Les chevaux, des ‘créatures attachantes’ par leur ‘vie, leur dynamisme’, parcourent, à peine esquissés, des plages, des bois, ou encore des prés où ils paissent, colorés en bleu sur le vert de l’herbe.

 

Photo de Didier BROT
Didier BROT

Né le 11 mai1961 à Bagnols sur Cèze.

Etudes supérieures, diplôme d’ingénieur. Vie active professionnelle intense pendant 20 ans dont 15 avec la création et la direction de deux sociétés dans l’industrie pharmaceutique.
N’en délaisse par pour autant ma passion du dessin et découvre, il y a plus de trente ans, l’aquarelle que je pratique régulièrement de manière autodidacte.

Depuis plusieurs années, l’aquarelle est devenue ma seule et unique occupation professionnelle. J’organise et donne des stages tout au long de l’année sur plusieurs régions françaises (Paris, Ardèche, Auvergne, Languedoc, PACA) ainsi qu’au Maroc, au Pérou, en Grèce, en Italie, Canada, Cuba, Venise, au Portugal au Costa Rica ou en Turquie.

 

Il organise une ou deux expositions personnelles par an et expose dans quelques salons et festivals de renommée nationale et européenne.

A reçu de nombreux prix et recompenses lors d’expositions nationales, internationales et mondiales.

Publications :
- Carnet de voyage au Cambodge
- Carnet de voyage au Pérou: « Voyage au pays d’Inti »
- Carnet d’Auvergne d’un aquarelliste : « Et Puys! »
- Carnet de ville d’un aquarelliste : « Clermont-Ferrand »
- Carnet de voyage au Maroc en compagnie d’Eugène Delacroix – Aquarelle sur support synthétique
- Carnet de voyage en Turquie.

Une bande dessinée de science-fiction est en cours d’élaboration

Photo de Gilles BRUNERIE
Gilles BRUNERIE

Né à Brive la Gaillarde en 1957.

J’ai commencé la peinture il y a quelques années, je pratique presque uniquement l’aquarelle.

J’habite en Bretagne dans la région de MORLAIX, ce qui fait que ma peinture est tournée vers la mer et les bateaux. Je suis très sensible à la transparence que l’on trouve dans l’aquarelle.

La rencontre avec CAO BEI AN a été pour moi une révélation, mes attirances déjà très présentes pour l’Asie se sont encore affirmées.

 

La Bretagne est ma première source d’inspiration, mais je cherche maintenant à élargir mon horizon et nos voyages sont autant de pistes qui me poussent toujours plus loin dans la quête de mon identité d’aquarelliste.

 

De  notre voyage au LAOS en 2009 est né un « carnet de voyage ».

Le deuxième « Et le temps s’arrête » sorti en juin 2012 est plus porté sur mon cheminement d’aquarelliste.

 

Je ne me cantonne pas à une seule technique et je peins aussi facilement sec, humide ou dans le très mouillé, j’adapte ma technique aux conditions, en effet je peins souvent en extérieur  en Bretagne ou un peu partout dans le monde.

 

Au travers de mes stages, je fais partager mon expérience aux diverses méthodes d’aquarelle.

 

Bernard BUFFET

Né le 10 juillet 1928 à Paris, dans le quartier des Batignolles.

En 1943, il étudie le dessin au cours du soir de M. Darfeuille, place des Vosges, puis entre en décembre à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris où il ne restera que deux ans. Ensuite,-il-travaille-seul.
En 1945, il obtient le prix des travaux d’atelier.

En 1946, il expose son premier tableau, un autoportrait, au Salon des Moins de Trente Ans à la Galerie-des-Beaux-Arts.
En 1947, il expose « L’homme accoudé » au Salon des Indépendants et en décembre a lieu sa première exposition présentée par Pierre Descargues, à la Librairie des Impressions d’Art. Raymond Cogniat lui achète pour le Musée National d’Art Moderne de Paris une peinture

« Nature-morte-au-poulet ».
En avril 1948, il présente un tableau « Le buveur » au Prix de la Jeune Peinture organisé à la Galerie Drouant-David à Paris. Le Dr Girardin, un grand collectionneur d’art contemporain, défend sa peinture avec passion et attire l’attention d’Emmanuel David sur ce jeune peintre. David propose à Bernard Buffet d’entrer dans sa Galerie avec un contrat d’exclusivité.

Ce contrat a par la suite été partagé avec Maurice Garnier. En juin, à la Galerie Saint-Placide à Paris, il obtient le Prix de la Critique ex-aequo avec Bernard Lorjou. En juillet, une exposition de ses oeuvres aura lieu dans cette Galerie. Il expose « La Ramandeuse de filet » au Salon d’Automne.
En 1949 un amateur d’art met un pavillon à Garches à sa disposition. Comme loyer, Bernard Buffet-lui-donne-un-tableau-par-trimestre.
En 1950, Il compte parmi les membres fondateurs du Salon de la Jeune Peinture organisé par Pierre Descargues.

En 1955, il obtient la première place au référendum organisé par la revue  » Connaissance des Arts  » désignant les dix meilleurs peintres de l’après-guerre. Il peint les maquettes des décors et des costumes pour « La Chambre » argument de Georges Simenon qui devient son ami.

En 1958, première rétrospective de son Oeuvre à la Galerie Charpentier à Paris. Il épouse Annabel-Schwob-à-Ramatuelle.
En 1961, il peint un ensemble de tableaux représentant la vie du Christ destinés à décorer la Chapelle de Château l’Arc (sa propriété jusqu’en 1954). Dix ans plus tard, à la demande du secrétaire du Pape Paul VI, Bernard Buffet offrira ces tableaux au Musée du Vatican où ils sont exposés-dans-une-salle-particulière.
En mai 1971, il est nommé chevalier de la Légion d’Honneur.

Le 25 novembre 1973, inauguration du Musée Bernard Buffet, fondé par Kiichiro Okano, à Surugadaira-au-Japon.
Bernard-Buffet-est-élu-à-l’académie-des-beaux-Arts-le-13-mars-1974.
En 1978, à la demande de l’Administration des Postes, il réalise une maquette pour un timbre de trois francs  » L’Institut et le Pont des Arts « . À cette occasion, le Musée Postal à Paris présente une exposition-rétrospective-de-ses-oeuvres.
En 1988, inauguration de l’extension du Musée Bernard Buffet de Surugadaira au Japon.
En 1991, il réalise une maquette pour un timbre de vingt-cinq francs soixante-dix centimes, à la demande de l’Administration du Territoire des Terres Australes et Antarctiques Françaises.
En-1993,-il-est-promu-au-grade-d’officier-de-la-Légion-d’Honneur.
En-1997,-les-premiers-symptômes-de-la-maladie-de-Parkinson-apparaissent.
Le 4 octobre 1999, ne pouvant plus peindre en raison de sa maladie, Bernard Buffet met fin à ses jours à Tourtour (Var).

Il a eu 3 enfants, deux filles, Virginie (née le 26 mars 1962) et Danielle (née le 24 avril 1963), et  un fils Nicolas (né le 13 mai 1971).

 

Photo de Françoise CAILLAUD
Françoise CAILLAUD

La peinture est pour moi un havre de paix, où il fait bon se réfugier.

L’AQUARELLE : une relation d’amour que je vis depuis toujours.

Je ne peux vivre sans elle. Elle est parfois douce, docile, soumise, mais parfois rebelle, dominatrice, imprévisible… Elle m’apporte mes plus belles joies, mais aussi mes plus grands tourments…
Mes réalisations sont issues de mon regard inquisiteur, troublé par un sujet précis et entrainé par l’EAU, irrésistible, bienfaitrice mais parfois redoutable et déconcertante.

De cette expression subjective, découle une atmosphère onirique, un ressenti bucolique, tantôt emprunt de romantisme, de douceur, mais aussi de force et d’énergie!

L’ENCRE/ACRYLIQUE : une expression différente est née, plus folle, suggestive, où se côtoient tous les paradoxes … L’eau y coule, aussi accompagnée d’encre, d’acrylique… Elle évoque l’onirisme, l’évanescence, vouée à l’interprétation de chacun…

 

Photo de Jean-Marc CALVET
Jean-Marc CALVET

Le parcours de Jean-Marc Calvet n’est pas commun. Natif de Nice, garde du corps, il quitte la France pour Miami, où il tombe dans la délinquance. Il fuit en Amérique centrale et commence à peindre à l’âge de 38 ans. Cette découverte est pour lui une véritable catharsis, et l’aide à surmonter ses démons.

De son histoire mouvementée et de ses doutes, Jean-Marc Calvet puise son énergie créative. Ses toiles, peuplées d’êtres aux yeux écarquillés, exercent sur l’observateur une irrésistible attraction. De loin, les couleurs éclatantes, hypnotisent. De près, la profusion des détails suscite la fascination. Ses personnages rappellent la représentation des masques Maya, en particulier ceux portés lors des rites sacrificiels destinés à apaiser les dieux et à initier un nouveau cycle de création. L’artiste nous livre ainsi une réflexion profonde sur la mort et la renaissance, la recherche de l’éternité.

La force de l’œuvre de Jean-Marc Calvet est largement reconnue. Il a en particulier représenté le Nicaragua à la biennale d’Amérique centrale en 2010, et expose aussi bien dans cette région qu’aux Etats-Unis ou en Europe. Plus inattendu, Jean-Marc Calvet a fait l’objet d’un documentaire réalisé par Dominic Allan et nommé au festival international du film de Miami, d’Edimbourg et de Montréal, entre autres.

Photo de Liliane CAMIER
Liliane CAMIER

Artiste peintre française, diplômée de l’École des Beaux-Arts de Dijon ainsi que de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, elle vit et travaille dans le Val-de-Marne en France. Après ses études elle emprunte la voie de l’enseignement artistique dans plusieurs écoles. Sa rencontre avec des groupes de femmes plasticiennes dans des années 1980-a-été-déterminante-pour-sa-carrière-d’artiste.

Ses peintures se situent à la frontière entre la figuration et l’abstraction, mais prennent toujours pour principal motif celui de la nature environnante. Parfois les branches ou les feuilles d’un arbre finissent par ne représenter plus qu’un vaste réseau-de-lignes-sur-la-toile.

« Pendant longtemps la couleur m’est apparue une énigme, un univers mouvant, toujours en dérobade qui ne se laissait pas facilement apprivoiser, un continent à aborder avec méthode, l’infinie des possibilités reculant l’idée même d’achèvement. Une symphonie toujours inachevée. Je ne pense pas avoir trouvé une quelconque méthode, j’ai peint. J’ai appris à dialoguer avec ce que je voyais, à me laisser surprendre, à questionner le hasard……Mon parcours artistique s’articule autour de la couleur, c’est le moteur de mon travail. Tout d’abord non figuratif, l’expression de la couleur pour elle-même, mon expression s’est ensuite tournée vers une écriture plus descriptive qui a favorisé énergie et diversité à ma palette. Le dessin renouvelle les formes qui me suggèrent de nouveaux rapports de tons, les petites sculptures en papier mâché, les livres sont des poses nécessaires, stratégiques pour initier des possibilités inconnues jusqu’alors-pour-moi…
…Jouer, travailler avec le hasard, savoir le voir, le saisir, le sublimer. Entre la prédétermination du projet, se glisse l’imprévu, comme un acte issu de l’inconscient, en être surprise avec satisfaction. C’est une ouverture vers d’autres possibles… »
Le besoin de nature :  Au plus loin de mes souvenirs d’enfance la nature a été pour moi un lieu d’enchantement, d’inquiétude aussi, mais au-delà de la douleur qui toujours vient nous trouver sur les chemins de l’être au monde. C’est un lieu originel qui me raccommode avec moi-même, la vie et le dessin, la couleur. L’éveil de toutes les sensations, olfactives, auditives et visuelles, semble bien être à la hauteur de mon désir de peindre, au diapason de mes recherches colorées.

Photo de BEI- AN CAO
BEI- AN CAO

Cao Bei-An est né en 1957 à Shanghai (Chine).

Il est diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Shanghai en 1984. Par la suite, Cao Bei-an enseigne l’art à Shanghai : École des Arts et Artisanats, Académie des Beaux-Arts, Faculté d’Architecture, à l’Université Tongji, Faculté des Arts puis Université des Professeurs de la Chine de l’Est.

Cao Bei-an est membre de l’Association des Artistes de Chine et de l’Association de Design Industriel de Chine. Il est aujourd’hui membre de l’Association Royale des Artistes de Belgique, de l’Association Européenne Internationale d’Aquarelle et du Salon de l’Aquarelle de Belgique. Il enseigne l’art à l’École d’Aquarelle de Namur (Belgique). Cao Bei-an est collaborateur spécial au magazine « Aquarelle Chinoise ».Depuis 1988, il a reçu de nombreux prix pour ses huiles et ses aquarelles. Son œuvre « Poussière » fait partie des collections du Consulat Général de Belgique à Shanghai.

En 1998, Cao Bei-an est diplômé de la Faculté de Peinture à l’Huile de l’Académie des Beaux-Arts de Belgique.

En 2000, il termine les cours de postgraduat et est diplômé de la Faculté de Peinture à l’Huile de l’Académie Supérieure d’Arts Plastiques et Visuels à Mons, Belgique.

De 1993-2001, 
Cao Bei-an enseigne l’art et expose à plusieurs reprises en Belgique, Allemagne, France et Italie.

De 1993-1995, Succession d’expositions personnelles dans plusieurs pays sur divers continents, et de nombreux prix pour ses œuvres.

Site internet : http://www.caobeian.com/

Photo de Fabio CEMBRANELLI
Fabio CEMBRANELLI

Artiste brésilien de renom, il a commencé à peindre à l’université, où il a étudié l’architecture. Après ses études, il a pris le dessin, la sculpture et des cours de photographie dans sa ville natale de São Paolo, et a

poursuivi ses études en Europe et aux États-Unis dans les années 90. Il vit et travaille à São Paulo. Ses peintures figurent dans des expositions-et-des-collections-à-travers-le-monde.
Fabio travaille dans deux domaines artistiques : des aquarelles et des acryliques et ses aquarelles florales uniques et lumineuses sont connus à l’échelle internationale.

Il enseigne les techniques de peinture dans son atelier, dans des galeries d’art, ainsi que des ateliers et des stages de peinture à travers le Brésil et à l’étranger.

Aujourd’hui son travail est axé sur la peinture sur site, l’observation-et-l’étude-de-la-nature-sur-le-vif.
Dans les prochaines années, il organisera plusieurs ateliers en Europe, en Asie et en Amérique du Nord. Il est également un collaborateur régulier de divers magazines de peinture et travaille également comme illustrateur pour une édition en Amérique du Sud.

L’aquarelle : « Ce qui me pousse à peindre avec cette approche est la possibilité de peindre rapidement. Elle convient mieux à ma personnalité. La fluidité du milieu offre une sensation unique de couleur inattendue mélangée, en particulier lorsque je définis uniquement les principales masses qui permettent à l’imprévisible de se produire sur le reste de la toile. Le timing est très important dans ma méthode. Je me penche intuitivement vers le réalisme, mais les forces de vitesse de l’eau me poussent à créer des effets et des formes diffuses. J’aime peindre des fleurs et des paysages à l’aquarelle et je suis toujours enchanté par la tentative de saisir le contraste entre bords libres et l’œuvre définitive, ainsi que des effets d’ombre et de lumière « . 

Photo de Roland CHANCO
Roland CHANCO

Roland CHANCO est né en 1914 à Reignac (Indre). Peintre Post-cubiste à tendance expressionniste. Peignant dès l’enfance, c’est cependant attiré par la sculpture que dans les années 1930 Roland Chanco quitte sa Touraine natale pour Paris où il fréquente l’atelier de Marcel Gimond. Puis, il abandonne la sculpture pour la peinture et la couleur. À Montmartre, il fréquente les ateliers d’Edmond Heuzé, d’Utrillo, de Gen Paul ; Il y rencontre Pablo Picasso, ce dernier remarque la vigueur de ses toiles. Dans ses premières années parisiennes et jusqu’en 1939, il peignait des paysages urbains entre postimpressionnisme et expressionnisme.

 

En 1942, sans pour autant délaisser sa peinture de paysages, c’est sous la double inspiration des drames de la Seconde Guerre mondiale et de son admiration pour Georges Rouault que Roland Chanco entre dans sa « période noire », ainsi qualifiée pour les sujets (toiles et pastels) fortement cernés de noir.

 

Il quitte Paris en 1947 pour se fixer sur la Côte d’Azur, dans un premier temps à Antibes où il côtoie Joan MiróJean LurçatJules CavaillèsRoger LimouseJean Cocteau et Jacques Prévert, continuant d’y fréquenter Picasso, rencontrant le céramiste Pierre Lebasque chez qui il réalise des pièces en céramique en compagnie de Marc Chagall.

 

Entre 1952 et 1958, ses recherches le conduisent à rehausser ses peintures de collages (tels des bribes de journaux dans la gouache-pastel L’homme à l’imprimé, 1952, des fragments de tissus et de papiers peints dans la toile Femme se peignant, 1956), mais aussi à faire l’expérience de l’abstraction.

Optant dans un second temps pour une vie solitaire et silencieuse et se fixant à cette fin à Roquefort-les-Pins.

 

C’est en 1960 que Roland Chanco détruit la plus grande partie de son œuvre peint afin de s’adonner dans la plus grande liberté d’esprit aux nouvelles recherches qui l’amènent quelques années plus tard à s’intéresser au principe des miroirs multiples dont l’aboutissement sera sa « période kaléidoscopique ». Il adopte une manière, issue en droite ligne du cubo-expressionniste de Picasso, mais d’un caractère clownesque, ne serait-ce que par les sujets ou l’interprétation qu’il en donne dans une exubération joyeuse. Sa décomposition cubiste laisse le sujet très lisible, peint dans une gamme chromatique violente, plutôt incandescente.

 

Après 1970, à ses peintures de personnages, il ajouta des natures mortes, très construites, sursaturées à partir d’une surabondance d’éléments, guitares, pots, corbeilles, carafons, coupes, verres, fruits, poissons, homards, et jusqu’au chat vivant attiré par l’odeur, posés sur des nappes bariolées couvrant la table entourée de chaises. En regard de la référence évidente au Picasso tardif, l’oeuvre paraît certes mineure, un peu la faute au côté clownesque signalé, auquel d’ailleurs échappent les natures mortes. Mais, dans les mêmes marges de l’exemple picassien, on connaît bien d’autres oeuvres qui ne présentent pas cette densité.

 

Photo de CHRIS
CHRIS

Maître pastelliste et Commissaire des Salons des pastellistes de France, Chris est fidèle à l’esprit de la peinture flamande et fasciné par la magie surréaliste de Dali, Chris a su élaborer un style exotique et singulier. De l’art flamand, il a gardé le sens des valeurs, la vie des choses et le rendu scrupuleux du détail.
Artiste enraciné dans sa Brie natale, il transcrit sur ses toiles son amour du terroir, de la nature, des animaux. Son art nous apporte ainsi des bouffées d’authenticité, de sincérité et de sérénité. Chris croit fortement que la vie apparente peut rayonner la vie intérieure. Sa soif de lumière et de sensualité le fait interroger le clair obscur et donner libre cours à son goût des tons modérés et à une certaine forme de naturalisme.
L’artiste est profondément habité par sa passion pour le « beau métier » propre à la tradition classique que la touche surréaliste et exotique sert sans doute à sublimer.

Photo de Thierry CLAMENS
Thierry CLAMENS

Thierry CLAMENS est un peintre autodidacte, vivant à Montauban.

L’artiste s’est toujours adonné à la peinture qui a été une passion permanente.

Il travaille les techniques mixtes, en ce sens que ses œuvres sont non seulement acryliques, mais aussi qu’elles réunissent, en plus, divers modes d’expression, tels les collages, graffitis, signes cabalistiques, objets détournés et le crayon gras, sur tous les supports (Bois, toile ou métal, capots de voitures) dans un univers urbain et abstrait. Il adore la peinture de rue et s’inspire fortement de ces visuels urbains.

Ses œuvres vives et colorées ont toujours une base de sombre qui semble en être le socle : sa peinture interpelle.

Ses œuvres respirent la liberté, grâce à aux collages, graffitis, matières et couleurs foisonnantes. Cette plastique s’apparente au Street Art.

Il décrit sa peinture comme étant spontanée, adoptant l’écriture automatique. Elle est instinctive et rapide, explosive et instantanée. Il la construit comme un puzzle.

Il imagine son langage pictural à partir de ses sensations et des images qui lui parviennent.

Interpellations esthétiques, sociales, questionnements sur notre société de consommation et notre façon d’être, son travail nous apostrophe sur plusieurs niveaux de conscience : nul ne peut y rester indifférent !

Photo de CLÉMA
CLÉMA

Née en 1956. Elle vit et travaille à Sainte Maxime-Hauterive (28) où se trouve son atelier. Elle peins depuis plus de vingt ans, mais l’envie de passer à l’abstrait lui est venue lorsqu’elle est allée voir à Paris l’exposition de Nicolas de Staël. Une émotion intense l’a saisie en voyant ses toile qu’elle ne connaissais qu’à travers les livres : « Pourquoi ne pas mettre sur la toile ce sentiment si fort qui m’envahissait » . Le coup de cœur et l’émotion soulevés par le regard d’une œuvre abstraite est le résultat d’une alchimie que l’auteur d’une toile a su faire apparaître à travers les matières, les couleurs et une harmonie d’ensemble. A la recherche d’effets de matières, de formes et de couleurs, l’artiste utilise des matériaux et des empruntes ou fragments d’objets incrustés laissant venir des volumes et des texture différentes. La variété des effets infinie lorsque l’on y ajoute les outils utilisés tels que pinceaux, truelles, ou encore formes d’ustensiles réalisés pour un usage particulier. Superposition de mélanges, plus ou moins lissés ou grattés, jusqu’à l’obtention d’une vibration qui permettra d’émouvoir l’œil du spectateur.

Robert COMBAS

Artiste peintre, sculpteur et illustrateur français né en 1957 à Lyon. Passionné de musique, il participe à la naissance du mouvement de la figuration libre dans les années 1980. Enfant, sa famille déménage à Sète.

A la sortie du lycée, il part étudier à l’école des beaux-arts de Montpellier. Il y définit son style artistique en opposition à l’art conceptuel, prédominant sur la scène artistique de l’époque. L’idée de se concentrer sur le concept seul de l’œuvre ne séduit pas l’artiste, qui au contraire se plaît à dessiner des formes et des contours. N’appartenant alors à aucun mouvement artistique, il prône la liberté de création. Il entame une série de peinture, « Batailles », puis traite des pays sous-développés avec ironie et sarcasme, en créant le mouvement de « Pop art arabe ». Son style est alors très brutal. En 1979, alors qu’il est fraîchement diplômé, Bernard Ceysson lui propose de présenter ses toiles à Saint-Etienne dans le cadre de l’exposition « Après le classicisme ». 

Au début des années 1980, un changement de paradigme artistique se profile à l’horizon. Robert Combas et Hervé Di Rosa,se retrouvent une fois diplômés dans les mêmes salons parisiens. Ils font la rencontre de Bernard Lamarche-Vadel, critique d’art, Rémi Blanchard, Jean-Charles Blais, Jean-Michel Alberola, Denis Laget et Catherine Viollet (5 artistes) avec lesquels ils organisent une exposition chez Vadel en 1981. La figuration libre est née. Le nom fait écho aux artistes américains de l’époque, et se caractérise par une jovialité débridée. Pour ces jeunes artistes, pas question de larmoyer bêtement devant une œuvre ou d’entrer dans une contemplation romantique et romanesque. Leurs toiles inspirent le bonheur et le rire, la joie et la bonne humeur. Le mouvement contraste fortement avec l’art des années 1970, grave et austère, et est au contraire dépourvu de tout sentiment négatif. Le pessimisme, la nostalgie du passé, la peur du présent, l’angoisse de l’avenir… Autant d’états qui sont proscrits dans la figuration libre ! Ces artistes font partie d’une nouvelle génération à l’aise avec son époque, lasse de culpabiliser sur un passé révolu, et ils traduisent ce sentiment en peinture. En parallèle avec les graffitis aux Etats-Unis, le développement du street art et l’avènement du rock, c’est à une nouveau monde qui apparaît, adepte de culture populaire et de liberté. Les thèmes tels que la sexualité, l’amour, les bandes dessinés, la musique, sont abordés avec simplicité et naturel. 

 

Considéré comme l’un des artistes français les plus importants de sa génération, il fait partie depuis plusieurs années du classement Artprice des 500 artistes les plus côtés au monde. Il vit et travaille aujourd’hui en Île de France. En 2010, l’artiste a le privilège d’entrer dans la collection Lacan, grâce à une série de gravures remarquable.

Photo de Antoine CORREIA
Antoine CORREIA

Né à Paris en 1972, Antoine Correia vit et travaille en Loire Atlantique. Si l’on peut le rattacher à la grande tradition classique, sa manière d’aborder le portrait révèle tout ce qui ronge et corrompt la vie humaine de l’intérieur. Fasciné par l’art religieux, il explore la douleur et les zones d’ombres de l’âme humaine.

Ce jeune artiste confirme ses qualités tôt pressenties dans une peinture certes difficile, mais vraie.

Photo de Patrice CUDENNEC
Patrice CUDENNEC

« Patrice Cudennec qui s’inspire de la Bretagne, de ses paysages et de ses scènes de pêcheurs, paraît s’inscrire dans la tradition d’un art à la fois populaire et sacré.

Le visage allongé, la tête inclinée, les yeux clos, les mains en évidence, ses personnages témoignent dans leur immobilisme, d’une évidente sérénité. Comme si l’artiste soulignait le symbolisme de ses êtres pour écrire un message de tendresse et d’amour.

Au delà du motif qui présente un caractère fortement inventif, le langage esthétique de ses œuvres semble initié par des visions transcendantes qui dépassent le cadre de leur représentation figurative. »

Photo de Pascal DABÈRE
Pascal DABÈRE

Né à la fin des années 50 en Haute-Savoie. Il a commencé à peindre dès l’âge de 14 ans. À 17 ans, il envoie un dessin aux Éditions Dargaud qui lui ouvrent les portes de l’atelier de création pour Lucky Luke.  Il collabore avec Morris et dessine l’album « Daisy town ».

Suivent quelques années de création de dessins de presse et d’albums de bandes dessinées. Il se consacre exclusivement à la peinture en 1991.

L’artiste travaille, à l’huile et au pastel, le paysage, le portrait, la nature morte, le bouquet, les animaux. Ses chevaux lui permettent d’approfondir l’idée du mouvement.

Maître pastelliste de la société des pastellistes de France depuis 1997, Pascal Dabère travaille de plus en plus la technique mixte, acrylique, pastel, huile, souvent sur un fond plutôt abstrait pour mettre en valeur le sujet. « Je cherche à traduire mes sensations à travers l’espace-temps, cela me procure un bien-être incomparable, une sorte de devoir accompli » confie l’artiste.

L’artiste puise son énergie créatrice dans les éléments de la nature, sources de poésie et d’inspiration. « C’est avec la nature que nous trouverons le second souffle dont nous avons besoin », confie-t-il. Il explore ses sujets, natures mortes, paysages, fleurs et bouquets, animaux, en exaltant leur puissance ou leur fragilité. « Mes sujets sont exprimés de manière très différente. Pour les chevaux comme pour Venise, par exemple, je les travaille plutôt sous forme de croquis, alors que mes fleurs et natures mortes sont de facture plus classique », explique l’artiste. Les chevaux sont des sujets qui demandent beaucoup d’énergie. Le peintre a étudié l’anatomie des équidés et intériorisé les images, pour en traduire le mouvement, « à partir du souvenir du cheval ». Les œuvres de cet artiste atypique, maître pastelliste de la société des pastellistes de France, expriment une formidable modernité, tout en faisant référence au passé. Elles sont présentes dans de nombreuses collections en France et en Europe, ainsi qu’au Japon, aux États-Unis, à Taïwan, à Hong Kong, en Malaisie, au Canada et en Afrique du Sud.

Photo de José DAOUDAL
José DAOUDAL

C’est dans son Finistère qu’il a, dès son enfance, ses premiers contacts avec la peinture dans l’atelier du peintre concarnois Ravallec où il vient le vendredi, jour de marché, respirer les effluves de l’essence de térébenthine en regardant le maître au travail derrière son chevalet. Plus tard, à l’adolescence, il découvre à Pont-Aven les paysagistes Savigny, Couliou et bien d’autres qui le motivent à travailler en plein air. Lors d’une de ses premières expositions, il rencontre le peintre Toffoli qui l’encourage et le conseille. Après avoir pratiqué à l’huile et à l’aquarelle, c’est la révélation du pastel en découvrant lors d’une exposition le magnifique travail du peintre de la marine et sculpteur, Jacques Coquillay. C’est alors décidé, il sera lui-même pastelliste.

« Je suis né en 1954 et j’ai commencé à peindre à l’âge de 20 ans.

La beauté de la nature m’a motivé à devenir peintre paysagiste.

Après l’apprentissage à l’huile, puis à l’aquarelle, j’ai découvert depuis quelques années, le pastel et me suis spécialisé dans cette magnifique technique si bien adaptée au rendu des lumières.

Ces bâtons de couleur me permettent de travailler sur le motif, principalement en Bretagne où je puise l’essentiel de mon inspiration.

Mes sujets favoris sont les paysages et mon unique médium, le pastel sec. J’applique le bâton de pigment sur un papier rugueux et par mélange, estompe ou juxtaposition, je donne l’illusion de la troisième dimension.

Pour réussir mes paysages, plusieurs conditions s’avèrent nécessaires : la composition, c’est à dire sélectionner et mettre en valeur son motif par la construction, les contrastes des tons et l’effet de la lumière ; l’émotion première est aussi gage de succès, la main retranscrit ma propre sensibilité. »

Elève de CHRIS, Maître Pastelliste de la société des Pastellistes de France.

Photo de REBECCA DE CACHARD
REBECCA DE CACHARD

Née le 1er février 1969 à Aix en Provence

Rebecca de Cachard est une peintre française établie qui a exposé son travail à l’échelle nationale. S’inspirant de philosophes tels que Bachelard et Jung, ses derniers travaux mettent en lumière des silhouettes humaines et végétales travaillées en ombres chinoises. L’expression artistique de Rebecca de Cachard capture finalement des moments de joie et une dynamique humaine fascinante.

Sa curiosité débordante pour la matière et les couleurs, son besoin de dépasser ses limites et sa capacité à se remettre en question vont l’orienter petit à petit vers l’expressionnisme abstrait lyrique.

L’abstraction lyrique c’est le mouvement, la gestuelle et l’énergie du moment grâce auxquelles on peut créer. Rebecca construit ses toiles de façon intuitive, ses émotions sont exprimées directement sur la toile de manière spontanée en écoulant la peinture ou en la projetant. On donne le terme de « Dripping ». Ces toiles sont réalisées à la fois en position verticale et horizontale.

 

« Je souhaite que mes toiles soient un hymne au bonheur, un message d’amour, un fil conducteur vers un sentiment de liberté. Un espace à la fois aérien et solaire. »

 

Photo de Thomas DE LA PINTA
Thomas DE LA PINTA

ETUDES :
1996 Bac F12 à Brest
1997-99 École des Beaux-Arts de Cornouaille à Quimper
2002-03 École supérieure de l’Image à Angoulême

L’atelier d’artiste de Thomas de la Pinta est installé à Rezé. Après deux années aux Beaux-arts à Quimper (Finistère), il a été formé à l’école de bande dessinée d’Angoulême (Charente).

Thomas de la Pinta a beaucoup pratiqué la gravure, mais depuis quelques années, il s’est mis à la peinture.
Il expose depuis 2004 dans de nombreux salons et festivals

EXPERIENCES PROFESSIONELLES ET ARTISTIQUES :
1995-2010
ILLUSTRATION :
– « Sur les pas de ST Augustin  » de Kebir Ammi -éd. Presse de la Renaissance.
– « Itinéraire en Provence » et « itinéraire en Provence Oriental »
de L.E.Fritch-éd.La table Ronde.
– « Offrande à gala »de Ode-Pactat-Didier-éd.Le Cygne d’O.
– Collectif  » La Fontaine en BD  » -éd. Petit à Petit.
STAGE :
-Animation de stage de Gravure et de Bande Dessinée.
TAILLEDOUCIER:
Tirages de Gravures pour: Philippe Vandenberghe, Carmelo de la Pinta, Gwenh’lan Le Scouezec, Luc Le Beau, Laurent Schkolnyk et l’imprimerie Tanguy à Paris.

 

 

Photo de Richard DEBLAUWE
Richard DEBLAUWE

Peintre, écrivain, chanteur, compositeur, poète. Tel un funambule marchant sur la trame d’un imaginaire source de créations, Richard Deblauwe sillonne diverses formes d’expressions en lesquelles l’on décèle un goût transpersonnel permettant à chacun de dépasser les limites, les carcans que les multiples conditionnels déposent sur les épaules de l’homme.

La connaissance de soi, l’autonomie, une liberté accompagnent les lois de l’impermanence.

Musique, chansons, poésie, peinture, conférences, stages, sont les multiples facettes d’un retour à la liberté d’être. Aller au-delà de l’illusoire, au plus profond de soi pour vivre l’art de façon holistique, le long d’une quête sans fin où l’être est construit par son oeuvre autant qu’il la construit. S’écarter du conformisme pour goûter à la simplicité intuitive nous plaçant dans l’approche d’une vie où la quintessence de multiples cultures a déposé les graines au sein d’un creuset harmonique.

Vie, découverte de soi, création… Tel un semeur de sons, de mots, d’images, Richard Deblauwe longe les sillons du silence en attente d’expression.

Émotions, instants colorés, les peintures de Richard Deblauwe sont des moments de vie en lesquels l’imaginaire et le vécu déposent leur empreinte. L’état d’esprit lors de la création devient respiration… une inspiration que la sensibilité véhicule, puis une expiration que le corps emploie pour placer sur la toile un aspect de la vie. L’instant où la peinture prend naissance est fruit d’un mariage vibratoire. Support de méditation, apport énergétique, l’art peut ouvrir les portes de l’harmonie.

 

[SOURCE : http://www.artsconscience.com]

Photo de Sylvie DEMAY
Sylvie DEMAY

« Entre impulsions émotives et réflexions artistiques, Sylvie Demay tisse les parois de son univers artistique avec les joies, les doutes, les révélations inconscientes et les perceptions intuitives inhérentes à sa créativité… Ainsi, ses toiles se parsèment de tous les voyages intérieurs éprouvés, qui ont laissé des traces d’infini, d’ombres et de lumières, de luttes et de douceurs et de sentiments contradictoires, comme la vie… »

Patrice de La Perrière.

Photo de Georges Emile DENORROY
Georges Emile DENORROY

Georges Emile Denorroy peint depuis 1964. Toujours fasciné par la mécanique quantique, il recompose les images en peinture à huile et au pastel dans un bouillonnement de matières vibrantes, gourmandes. Les griffures à  la spatule, les coulures, les projections, les empâtements restituent le processus de la vie. Les animaux, les portraits humains très typés, les paysages urbains surtout sont prétextes à sa méditation énergétique et colorée.

Il a exposé dans de nombreuses galeries en France, en Belgique, au Etats-Unis, en Hollande. Depuis 2016 dans la galerie Zee-art à Strasbourg. Il expose avec la société des pastellistes de France depuis quelques années.

Photo de Oléna DUCHÊNE
Oléna DUCHÊNE

Artiste Française. Elena Duchêne est née et a grandi dans la ville ukrainienne de Dnepropetrovsk.

Elle a étudié à l’École des Arts académiques de 1983 à 1987.

Elle pratique le pastel sec depuis 7 ans.
Membre de la Société des Pastellistes de France et Art du Pastel en France, Oléna Duchêne peint principalement des natures mortes.

En 2012, elle se marie et s’installe en France.Ses belles peintures florales varient entre l’aquarelle et les peintures au pastel.Ses coups tracés sont simples, délicieux et rêveurs. « J’aime beaucoup les infinies capacités des pastels. Chaque jour, trouver le courage pour me dépasser. J’aime la vie et les choses simples qui en font une merveille. Le plus important pour moi, c’est l’émotion que l’on veut transmettre. »

Membre de la Société des Pastellistes de France et Art du Pastel en France, Oléna Duchêne peint principalement des natures mortes

 

Photo de EBAN
EBAN

Eban est né à Banméthuôt en 1954 au Vietnam.

Par sa mère il est originaire d’un peuple minoritaire de l’ancienne Indochine : les Êdes. Son père est français. Il a fait ses études à Bordeaux, une école graphique en publicité, mais se dirige finalement vers la peinture où il crée son propre style. Il a présenté de nombreuses expositions en solo et en groupe depuis 1974. Il a été sélectionné plusieurs fois par jury pour le Salon d’aquarelle de Namur en Belgique, un événement artistique majeur en Europe. De plus, il a réalisé plusieurs livres comportant des textes qui montrent ses aquarelles, ce qui explique sa présence dans de nombreux salons et festivals du livre.

Ses peintures sont la rencontre de deux mondes : l’Asie millénaire et la vieille Europe. Par ailleurs le monde végétal, mais également minéral représente d’importants repères dans ses recherches picturales en aquarelle. L’acrylique à son tour lui ouvre de nouvelles perspectives: jeux de couleurs et de matières, choix plus étendu des formats où le geste est large et libre. Il

aime aussi peindre sur de grandes toiles. Chaque tableau se transforme en recherche vers une nouvelle expression.

Parallèlement à sa carrière de peintre, Eban travaille à la réalisation de livres d’aquarelles.

Photo de EJOUMALÉ
EJOUMALÉ

Né à Pondichéry, j’ai passé une enfance heureuse, entouré de ma famille, dans un petit village environnant. Nous avons ainsi bénéficié des avantages de la ville et appris en même temps combien il était important de vivre en harmonie avec la nature, avec des gestes quotidiens simples et authentiques, précieusement transmis par nos parents.

À la fin de ma scolarité, encouragé par l’affection de mes proches, j’ai décidé de me livrer à mon penchant  » irrésistible  » pour l’art.

J’ai donc étudié à l’école des beaux arts de Bharathiar Palkalai Koodam pendant 5 ans.

Mes approches de jeunesse avec la peinture et le pinceau, dans un atelier d’art, m’ont permis de progresser vite. Les différentes techniques et conseils de mes maîtres ont contribué à forger une part de mon identité.

Depuis plusieurs années, maintenant, les amateurs et marchands d’art exposent mes peintures dans différents endroits du monde.

Certains m’ont encouragé à apprendre le Français et aidé positivement dans mon développement personnel. Je leur rends souvent grâce.

Je raconte avec mes pinceaux et la magie des couleurs ce que les mots ne peuvent traduire.

C’est un pur étonnement de voir naître ainsi dans la transparence et la légèreté de l’aquarelle les vibrations de la vie.

Que ce soit dans la quiétude des villages, dans le grouillement des rues, dans le bruissement des arbres, dans la course des nuages, les jeux d’ombres et de lumière donnent merveilleusement corps à cette transparence.

La combinaison des couleurs s’imbrique, subtilement, de façon parfois inattendue, avec la texture du  papier.

L’effet surprise est dans chaque réalisation!

J’aime attraper, sur le vif, ces mouvements de lumière dans les reflets de l’eau qui révèlent pour moi la spiritualité de la nature.

La fraicheur et les ondulations lumineuses de l’eau semblent lever les obstacles et les incertitudes de la vie.

J’ai encore tant de chemins à parcourir …

Tant à offrir à travers ma peinture,

tant de portes à ouvrir,

tant de regards à capter pour vous  faire admirer la beauté du monde .

Ejoumalé

Photo de . ELAM
. ELAM

Né le 9 Septembre 1967 à Lille. L’artiste se définit d’abord comme « un artiste de la rue, c’est ce que l’on appelle l’art urbain».

J’ai su très vite que l’art, la création dans tous les sens du terme, allait accaparer mon existence. Mes premiers émois furent absorbés devant des murs d’affiches de cinéma, dans des abris en béton, sous lesquels les mineurs attendaient les transports ! Quand il pleuvait, les affiches se décollaient plus facilement avec l’eau, alors je m’amusais à tirer les lambeaux, et ça faisait de drôles d’images ! Cette époque fut ma première émotion picturale ! Le truc que tu fais avec tes mains qui te rend satisfait de toi-même !

 

C’est en 1993 que tout a basculé ! Dans un cours de théâtre à Paris… j’avais un partenaire qui graffait, je percevais chez lui un vent de liberté, la rue était à lui, les murs aussi !
 Avec une petite bande, j’ai découvert la bombe. Rien ne me semblait plus fort que de sentir cette adrénaline, d’être en action, et de changer un aspect neutre, en quelque chose de concret, de coloré, d’inventif ! J’ai beaucoup observé, appris, et écouté. Ma spécialité c’étaient les phrases, les mots. Détourner une image en quelques mots avec l’impact ! A force d’arpenter les rues j’ai découvert le pochoir. En 2008 que j’ai pris mon destin artistique en main grâce à la rencontre d’une personne qui a cohabité avec un artiste pionnier du pochoir, Edmond Marie Rouffet, et qui m’a appris toute l’histoire parisienne des pochoiristes.

 

Mon moteur, c’est raconter, réinventer, réactualiser des personnages, essayer de coucher sur mes toiles ma nostalgie, et avant tout communiquer mon émotion, j’aime les photos jaunies, j’aime lire le temps, je suis un hypersensible, je peux être vite submergé d’émotion . Le message est souvent dans mes toiles : Betty Punk ou Candy Croft que j’émancipe ne sont plus des petites filles fragiles au grand cœur ! ce sont des femmes aguerries qui s’affirment ! c’est aussi un message d’espoir que je veux délivrer par le biais de ma peinture, tout le monde peut changer !

 

Je maroufle mes toiles parce que j’aime les affiches. Il m’est souvent arrivé de pocher sur des panneaux d’affichage libre, en posant mes pochoirs dessus, je boucle la boucle, l’affiche de mon enfance sur la cabine des mineurs recouverte par mon travail d’adulte, c’est ma vie. J’essaye toujours d’être en accord avec moi-même dans mon travail, je refléchis ou me rappelle, je réagis aussi quand c’est important pour moi, mais avant tout, j’essaye d’écrire avec ma peinture. L’humour intervient aussi très souvent ainsi que l’émotion ! Ma technique : pochoirs multicouches sur marouflage d’affiches, il m’arrive aussi de concevoir mes propres affiches, en mixant plusieurs sujets. Je travaille à la bombe et patines.          Extraits de texte

_ ERRO

L’artiste peintre islandais, de son vrai nom Gudmundur Gudmunson, naît à Ólafsvík le 19 juillet 1932. A dix ans, il est fasciné par les oeuvres d’art reproduites dans un catalogue du Musée d’Art Moderne de New York.En septembre 1949, il étudie à l’Ecole des Beaux-Arts de Reykjavík et s’initie notamment à la technique des papiers découpés.

Il obtient le diplôme de professeur d’art au printemps 1951. A partir de 1952, il complète sa formation à l’Académie des Beaux-Arts d’Oslo et suit un cours de gravure à l’École des arts décoratifs et industriels. En 1954, Erró entre à l’Académie des Beaux-Arts de Florence et en 1955 il étudie les mosaïques byzantines au sein de l’Ecole de mosaïque de Ravenne. Pendant les années 50, Erró voyage en Espagne, en Italie, en France et en Allemagne.

Fasciné par le monde des images issues des cultures les plus diverses, Erró collectionne tout ce qu’il peut glaner ici et là au travers de la bande dessinée, des comics, de la presse alternative, de la publicité, des dessins d’illustration et autres publications marginales. Il exploite ce réservoir d’images pour réaliser tout un monde de petites saynètes tour à tour drolatiques, ironiques ou militantes qu’il transpose sur la toile et où tout se télescope dans une détonante jubilation formelle et chromatique.

« J’avais douze ans, quand j’ai commencé à peindre et j’étais tout seul à la campagne. »
« Le collage, c’est la partie la plus excitante de mon travail, la plus libre; c’est presque une écriture automatique. C’est là que je trouve des solutions formelles pour saturer l’espace, mon côté « all-over », comme on dit pour les artistes abstraits américains. Le collage c’est à la fois l’original et le modèle. »
« J’utilise la technique rapide de la fresque que j’ai apprise en Italie. Il faut terminer l’image avant que la peinture ne sèche. »
« Il n’est pas question de copier tout simplement le collage préparatoire, le projet se transforme au fur et à mesure que je le transpose sur la toile. C’est la main qui contrôle tout. »

« Je suis toujours à l’affût d’images, de documentation, de revues, de catalogues et dictionnaires illustrés. J’ai besoin de matériel efficace et, au cours de mes voyages, je fouille partout chez les soldeurs de livres, dans les kiosques. J’accumule une quantité énorme de matériel, et lorsque j’ai réuni beaucoup d’images se rapportant à un thème, c’est signe de commencer une série. Le processus consiste ensuite à sélectionner les images, à les « marier » ensemble pour en faire des collages, puis des tableaux. Avec un bon stock d’images, je peux avoir de quoi travailler pendant un ou deux ans. » 

« J’ai commencé à peindre à partir de collages préalables vers 1959, avec la série des Meca-make-up. Il s’agissait d’images chocs comme des insultes… A cette époque tout était violent. C’était la guerre d’Algérie, puis la guerre du Viêt-Nam. Même la musique rock était violente. Et les happenings que nous avions faits à Paris et à Londres étaient violents. Notre réaction à la violence de la société était violente, sauvage même. »

Photo de Marie-Luce FERREOL
Marie-Luce FERREOL

Marie-Luce Ferréol est née à Nantes en janvier 25. Elle fit ses études dans cette ville et suivit les cours du soir aux Beaux-arts pendant une année. Désirant être modéliste, mais n’ayant pu réaliser son rêve du fait des années de guerre, elle fut demandée pour exercer la technologie… coupe et couture, créations de modèles au Collège Vial à Nantes.

 

AUTODIDACTE, elle se lance sur de grandes toiles où la spatule et l’huile laissèrent libre cours à ses inspirations.
Cette découverte donna naissance à une boulimie qui à ce jour est loin d’être assouvie.

Photo de Vitalina FOROSTOVETS
Vitalina FOROSTOVETS

Vitalina est une jeune artiste qui parvient lentement à un public international.

Après avoir obtenu son MBA de l’Université des Arts et du Design à Kiev, elle a commencé à élargir son domaine de travail de la peinture, aux illustrations et au graphisme et a développé son style unique en créant des peintures fascinantes de beauté rarement vu dans l’art contemporain.

Depuis, Vitalina a participé de nombreuses expositions individuelles et collectives en Ukraine et à l’étranger et est devenue l’une des jeunes les plus éminentes dans la scène artistique locale.

Chacune des peintures extrêmement élaborées de Vitalina prend en général plusieurs mois à compléter et elles incorporent souvent une variété de techniques de peinture et représente un large nombre de sujets tous fusionnées sur un même plan d’image.

Vitalina crée des œuvres fascinantes d’esthétique unique, qui emmènent les spectateurs dans un univers flou et éphémère semblable à celui de leurs propres souvenirs, en équilibrant le passé et le présent.

 

Photo de Daniel GASTAUD
Daniel GASTAUD

Né en 1958 à Clermont-Ferrand, France.

Etudiant à l’Ecole des Beaux-Arts, il commence à peindre et exposer de 1976 à 1978.

Il réalise à cette époque 41 expositions (collectives et personnelles).

En 1978, il ouvre la Galerie Gastaud à Clermont-Ferrand pour se consacrer à la promotion d’autres artistes.

Il participe à la diffusion de l’Art Contemporain en Auvergne et organise des expositions de grande envergure (Picasso, Pignon, Combas, Denis Oppenheim…).

En 1992, il ouvre une galerie rue Debelleyme à Paris puis devient éditeur de livres sur l’Art Contemporain (Art inprogress en 1996).

A partir de 1993 il renoue avec la peinture et il expose un peu partout en Europe et dans le monde (Belgique, Bulgarie, USA, Québec, Suède, Grèce, Chine…).

Il vit et travaille aujourd’hui à Paris.

Photo de Emile GAUTIER
Emile GAUTIER

Émile Gautier né en 1920 à Saint-Nazaire et mort en 2013 à La Chapelle Montligeon.

Il a suivi l’enseignement de l’Ecole des Beaux-Arts de Nantes en 1945 et 1946, avant d’enseigner pendant 35 ans à l’Ecole municipale de dessin de Saint-Nazaire, dont il était l’unique professeur puis le directeur.

De 1972 à 1983, il est aussi  conservateur du musée et il expose presque à chaque édition de l’exposition du Groupe Artistique de Saint-Nazaire.

Le marais de Brière, le littoral breton, les jeux de lumière et la nature ont largement dominé son œuvre abondante de peintures à l’huile et d’aquarelles.

 

 « Depuis la maison de mes parents, je voyais le marais de Brière…Tous les débuts d’années, les prés progressivement devenaient lac et je suivais, jour après jour, la montée de l’eau. Quand on a dix ans c’est très impressionnant. »

 

Ami de Jean Fréour, Émile Gautier a expérimenté différents  types de peintures, des paysages  impressionnistes  et doux des débuts aux peintures vives et presque  cubistes  des dernières années.

Émile Gautier a souhaité qu’après sa mort, toutes ses œuvres soient vendues au profit de l’Association des Amis des Sœurs de la Nouvelle Alliance de La Chapelle Montligeon, pour la construction et les aménagements  du Prieuré fondé par sa fille, Sœur Marie-Aimée.

Photo de Antonio GIACOMIN
Antonio GIACOMIN

Antonio Giacomin est un artiste né dans la Serra Gaúcha. En 1980, il débute dans l’univers de la peinture. Il a passé des saisons aux États-Unis, au Mexique et en Europe consacrées à des activités visant à améliorer son art et sa technique. En plus de la production artistique qui le caractérise et le différencie, Giacomin développe des ateliers, des ateliers créatifs et des conférences, et assiste également à des engagements artistiques lors de divers événements à l’étranger. En 2016, il a animé des ateliers à Palerme, en Italie, deux au Portugal, dans les villes de Santa Cruz et Caldas da Rainha et un à Valence, en Espagne. En 2017, l’artiste a parcouru l’Europe pendant plus de 90 jours pour promouvoir son art et animer des ateliers dans les villes de Fabriano, de Bra (Piémont) et de Florence, en Italie, ainsi qu’à Montemor O Novo, au Portugal. La même année, il participe à « Fabriano in Acquarello », l’un des plus grands salons d’aquarelle au monde. Il a voyagé en tant qu’artiste invité, représentant le Brésil. Récemment, il est rentré en Chine, où il a également voyagé en tant qu’artiste invité avec la mission de peindre pour 70 autres artistes asiatiques. En 2007, Giacomin a lancé le livre « Poesias em Aquarela », un inventaire d’images thématiques issues de voyages entrepris dans différentes régions du Rio Grande do Sul. En 2012, en partenariat avec l’écrivain Nivaldo Pereira, il a lancé le livre « Jeitos de Ser Brasil » dans lequel ils ont enregistré des aspects de la culture brésilienne. En 2014, en partenariat avec l’écrivain Marcos Fernando Kirst, il a lancé l’œuvre « Serra Gaúcha: O Pasado Presente ». Il a remporté le concours en choisissant le dessin de la couronne du festival Queen of the Grape 2014.Il vit et travaille à Caxias do Sul, où il a son atelier.

 

Photo de Eugen GOREAN
Eugen GOREAN

Eugen GOREAN Gorean Eugeniu est un jeune aquarelliste moldave.  Il a étudié l’aquarelle 4 années au Collège d’Art puis 4 autres années à l’Académie des Beaux-Arts toujours à Chisinau. C’est durant ses études qu’il a commencé à s’intéresser aux expositions d’aquarelle du monde entier. Ce fut un moment clé pour sa création. Il a eu l’occasion de voir et rencontrer de nombreux artistes étrangers, grâce auxquels il a beaucoup appris. Grâce à son travail il s’est  fait  repérer  et a  commencé à être invité pour  animer des stages et des ateliers lors de différents salons et expositions.  L’aquarelle a attiré son attention parce que c’est une technique réputée plus compliquée et plus délicate que l’huile : « C’est une technique exclusive, on a pas le droit à l’erreur.  Vous devez toujours rester en mouvement, avoir les mains dégagées et l’esprit bien attentif. » « J’ai toujours été impressionné par ce sentiment de facilité dans la réalisation qui donne à l’aquarelle de la profondeur. À la base, il n’y a que des choses simples : du papier, de l’eau et des pigments, mais le mélange des trois laisse apparaître un monde extraordinaire. Bien sûr, chaque langage plastique a son charme, mais cette technique est l’une des plus anciennes et des plus spectaculaires. » Son inspiration il la trouve le plus souvent durant ses voyages, dans des discours, ou dans les villes. L’importance de la lumière, son impact sur les couleurs, l’impressionne et l’inspire. « L’aquarelle a beaucoup apporté dans ma vie. À commencer par les voyages et la découverte de nouvelles cultures et de personnalités très intéressantes. Chaque salon, chaque exposition internationale est un grand moment pour moi. Grâce à tout cela, j’ai changé ma vision sur beaucoup de choses, donc oui je peux dire que l’aquarelle m’a inéluctablement changé ! »  Il a exposé son travail dans toute l’Union européenne: en France, en Allemagne, en Belgique, en Italie, au Portugal et aux États-Unis.  Ses œuvres se retrouvent dans de nombreuses collections privées et publiques telles que Château MIMI, Le Parlement Européen, Musée local Uckange.

Photo de Sylvie GRISELLE
Sylvie GRISELLE

Je suis née en 1951 à Thionville en Lorraine. Après un bac et des études de langue, mon activité principale était l’enseignement.

C’est en 1974, que je me suis inscrite aux cours d’aquarelle dispensés par Rémy Kail à Thionville. Très vite cette technique s’est imposée à moi, j’ai su alors que je ne pouvais plus m’en passer.

Mon formateur, reconnu à l’époque comme un virtuose dans l’art de l’Aquarelle, a rapidement réussi à me communiquer sa passion.

M’encourageant sans cesse, il m’a fait découvrir une technique certes difficile et exigeante mais offrant un exceptionnel moyen d’expression pour qui veut bien persévérer.

C’est le thème du portrait et des scènes de vie qui m’inspirent, ce sont des personnages expressifs et authentiques, des musiciens et des danseurs qui expriment leur art avec force.

Avec ce médium si surprenant, qu’on ne maîtrise jamais complètement, ce sont des notes légères et subtiles qui côtoient des nuances profondes et denses pour nous offrir au final une harmonie riche en vibrations émotionnelles.

 

Photo de Françoise GUILLAUME
Françoise GUILLAUME

Enseignante en Arts plastiques depuis plus de 25 ans.

Françoise Guillaume pratique le pastel depuis son plus jeune âge.

Elle expose depuis le début des années 80 dans de nombreux salons de pastellistes, en france comme à l’étranger

Aujourd’hui je me consacre exclusivement à ma passion en encadrant des stages de pastel dans différentes associations ainsi que depuis 2007 à l’atelier Pastel d’Opale de Saint-Léonard.

Je suis intervenante pour les tutos pastel du site coursbeauxarts.fr depuis septembre 2015.

Présidente de l’association « Pastel d’Opale », crée en 2007, et organisatrice de la Biennale Internationale Pastel d’Opale.

Françoise Guillaume laisse une certaine liberté au sujet pour que quelques touches de poésie se posent sur le support.

Elle privilégie l’émotion et le ressenti face à l’image ; recherche de variations de lumière à travers de nombreuses superpositions de pigments.

« J’essaie de composer afin que l’œil du spectateur se promène dans mon travail… Et peut-être que l’émotion sera au rendez-vous ! »

Photo de Nicole GUION-STAMATAKIS
Nicole GUION-STAMATAKIS

Dès l’enfance, Nicole est passionnée de dessin et de peinture. Le dessin, qu’elle a étudié à l’Ecole des Beaux-arts de Paris est la base de son travail. Elle a appris au cours des ateliers de modèle vivant que « dessiner, c’est apprendre à regarder, à voir », que la main est le prolongement de l’œil.

Après avoir expérimenté diverses techniques, le pastel sec devient son outil de prédilection. Il lui permet de dessiner et de peindre simultanément et cet outil très souple lui procure une grande liberté d’exécution.

Après avoir abordé les thèmes de la nature morte, des fleurs et participé à de nombreuses expositions en région parisienne, depuis 1997 elle vit au Pays Basque et peindre l’Océan est devenu une passion et une source d’inspiration inépuisable. Dans un style très réaliste, elle cherche à capturer la lumière, son fil conducteur, qu’elle poursuit passionnément au long des plages. Elle est passionnée par le travail de transparence de l’eau, des reflets, du sable mouillé, des ombres bleutées de l’écume, et celui de la lumière, qui est l’élément fondamental de sa recherche.

EXPOSITIONS

Biarritz, Galerie L’œil du Prince en permanence

Au Pays Basque, nombreuses expositions collectives et individuelles récompensées de nombreux prix depuis 2010 : à Anglet, Biarritz, Ciboure, Saint-Jean-de-Luz, Bidart, Espelette.

A l’invitation de l’Association pour la Promotion des Artistes (AP2A) au Pouliguen depuis 2017 :

Espace Rex, Chapelles de Camoël, Batz-sur-Mer, Pornichet.

A l’invitation des « Pastellistes de France », depuis 2010 :

Feytiat (prix du public 2016), La Rochelle, Saint-Florent-le-Vieil, Charenton, Tournus, Yerres.

Pastel en Périgord, Saint-Aulaye : depuis 2012 (prix du Public)

Pastel en Bretagne, Fougères : 2014 (prix des Pastels Girault)

Pastel Grand Sud, Villepinte de 2015 à 2018

Pastel en Yvelines, Le Chesnay : 2019 (invitée d’honneur)

Pastel en Provence, Graveson :  2020 (prix du public)

Galerie de la Ville, Castelsarrasin : 2018

Galerie des Pastels Girault :2017, 2021

Presse : Pratique des Arts, Mars 2013, Juillet 2016, Eté 2018.

 

Photo de Richard HEITZ
Richard HEITZ

Autodidacte, il a choisi le figuratif et le pastel.

 « … Avec des soutiens solides en Allemagne et en Hollande, j’ai persisté dans ma voie. Si bien que maintenant, je peins comme je pense et comme je suis. J’ai appris qu’il ne faut pas perdre son âme, et rester soi-même. La beauté est la seule chose qui vaille la peine d’être regardée et honorée. »

« Ce Monde est riche : de vies, de couleurs, de lumières et de formes.

Et mon âme  s’en exalte, refusant de se momifier en de lancinantes redites.

La maîtrise du pastel et le style acquis, les adapter aux motifs, (et non l’inverse) permet d’explorer de vastes univers différents au gré de mes diverses inspirations. N’être ni seulement figuratif, ou abstrait ou figuratif abstrait mais tout cela, et plus encore, guide ma vie professionnelle depuis plus de trente années de joies. »

 

Quelques évènements :

De 1987 à 2001 voyages en Afrique Equatoriale en qualité d’artiste naturaliste

Les Biennales de pastel :

2017 – TIVOLI – Italie

TOURNUS – France

2018 – ORVIETO – Espagne

BOULOGNE SUR MER – France

Les Salons depuis 1994 :

Tous les salons de la Société des Pastellistes de France

Participation aux salons d’Arts d’Anvers – Rotterdam – Hambourg…

 

Expositions personnelles au gré des circonstances dont :

2010 – DANTE – LA DIVINE COMEDIE – Paris Salle Chaptal

ST CHEF Abbaye Bénédictine

2019 – Du 03 au 15 Mai – FEYTIAT

Photo de Hubert HOLLEY
Hubert HOLLEY

Né en janvier 1949, il suit une formation de dessin et de graphisme publicitaire complétée par une spécialisation de décor peint.

L’histoire de l’art, les peintures, les fresques et trésors des hôtels particuliers et demeures historiques qu’il a parcourus au fil de son itinéraire professionnel ont tout naturellement  servi de base à sa maitrise des techniques picturales aussi diverses que variées.

Artiste figuratif, sa peinture nous aide à comprendre son attachement à l’équilibre nécessaire entre rigueur et liberté d’expression. L’équilibre de la composition, les lignes de force, les jeux d’ombres, de lumière et de couleurs créent et rythment la superposition, l’organisation et la transparence des plans toujours avec intérêt pour l’essentiel.

Au premier regard, ce que l’on retient des dessins et des peintures d’Hubert Holley, c’est son audace hors modes et quasi surréaliste de la composition. Sous une formulation classique qui n’a que faire des tendances plus où moins actuelles, il compose et diversifie des épisodes peuplés de mystères ou de bonheur, dont la fonction figurative émet toujours un message.

Grand dessinateur, totalement libéré des aléas techniques et des proportions indécises par sa formation de graphiste, au fil d’une période où les peintres figuratifs reviennent en grâce et s’expriment avec plus où moins de sûreté, Hubert Holley en arrive à surprendre et pas qu’un peu, par son efficace aisance et particulièrement par ce souci des détails qui, non seulement, actionne vie et pittoresque, mais se paie le luxe de s’intégrer dans d’audacieux cadrages, d’étonnantes surimpressions gorgées de dynamisme où de charme serein.

L’artiste piétine allègrement la mièvrerie où la trop grande rigueur pour se jouer du regard de l’observateur et de l’affoler de plaisir par la fluidité où l’effervescence de simples traits assurés où de ces couleurs qui ennoblissent êtres et fleurs en restituant tout autant la beauté que l’émoi. Voici un très grand figuratif qui chemine avec pérennité au gré de ses convictions et de sa maestria.

André Ruellan, critique d’art

Photo de Dominique HOUARD
Dominique HOUARD

Dominique Houard a rallié trop tard la planète Terre pour joindre sa contestation à celle des soixante-huitards, car cinq mois avaient passé déjà : c’était le 18 octobre 1968, et dernière née parmi quatre filles, on ne lui avait pas demandé son avis. Elle avait néanmoins l’intention ferme de le donner. Etant venue habiter un petit village de la Nièvre, à quelques pas du merveilleux peintre Albert Drachkovitch, elle préférait aux fragrances du Pouilly fumé les effluves d’huile de lin et de térébenthine qui lui parvenaient. C’est comme cela qu’elle s’est engagée dans ses études et recherches artistiques, bientôt soutenue également par Jacques Poirier, ce maître du trompe-l’œil, qui la prit en amitié et l’accompagna de ses conseils jusqu’à sa mort.

Son premier trompe-l’oeil date de 1993.

Dominique Houard a exposé de nombreuses fois, tant à la Fondation Taylor que dans les grands Salons, comme ceux d’Hiver et d’Automne, au sein du groupe des peintres de la Réalité dirigé par Henri Cadiou, et au salon International de Feytia ou elle accroche ses pastels depuis 2002, mais toujours en restant fidèle à sa manière, faite d’amour du détail, de malice et de mystère.

Elle rassemble des objets improbables, aussi bien pris dans le quotidien que surgis du passé et les organise autour d’une énigme, dont la solution ne peut être trouvée qu’en jouant le jeu, en se laissant guider dans une recherche initiatique à travers un univers à la fois familier, insolite et dérangeant.

Etonnamment précise, même dans le pastel qu’elle aime fréquenter et qui fut sa première passion, elle crée une atmosphère étrange sans avoir l’air d’y toucher. Sa signature elle-même se découvre de façon inattendue, au détour d’un itinéraire déroutant.

 

Photo de Ilya IBRYAEV
Ilya IBRYAEV

L’aquarelliste russe Ilya Viktorovich Ibryaev est né en 1955 dans la vieille ville de Nizhni Novgorod.

Aujourd’hui l’artiste vit à Moscou.

 

Il a terminé l’école d’art, département peinture et a ensuite été diplômé de MVHPU (ancien Stroganov) en section céramique.

Ilya Ibryaev est membre de l’union des artistes de Russie depuis 1983 et membre de la Fédération internationale d’aquarelles.

 

Son travail d’aquarelle a reçu un prix au Premier Salon International d’Art « Chemin de l’Unité ».

De nombreuses œuvres de l’artiste se trouvent dans des musées russes.

Ilya est également un artisan talentueux, créant de très belles céramiques.

 

Au fil des ans il a participé à de nombreuses expositions russes et internationales.

Ses œuvres ont été exposées dans le monde entier et peuvent être admirées dans certains musées de Moscou et de Russie ; certaines de ses peintures sont présentes dans des collections privées.

Jean JANSEM

Jean Jansem est né en 1920 à Seuleuze (Asie Mineure)

Il passe son enfance en Grèce à Salonique, arrive en France à l’âge de 10 ans où il commence à peindre et suit des cours du soir à Montparnasse.

Il obtient son diplôme de l’Ecole es Arts Décoratifs en 1938. Parallèlement à ses études, il fréquente plusieurs ateliers, dont celui de la Grande Chaumière, où il rencontre des artistes avec lesquels il se lie d’amitié. Tout en exerçant divers métier, dessinateur de tissu, créateur de dessins animés, il travaille à sa peinture et présente sa première toile au Salon des Indépendants en 1939.

Au cours de nombreux séjours en Grèce, en Espagne, en Italie, il travaille et dessine d’après nature la tauromachie, les processions, les marchés, les carnavals, les scènes d’atelier.

Parallèlement, il exécute des lithographies et des gravures en relation avec ses sujets de peinture. En 1957, sa carrière devient internationale. Il expose en Italie, en Suisse, en Angleterre et surtout aux Etats-Unis.

En 1969, Mitsukoshi présente une rétrospective des ses œuvres à Tokyo et, depuis, son travail est régulièrement présenté au Japon. Deux musées lui sont consacrés à Tokyo (Ginza Jansem Museum),  et à Azumino (Azumino Jansem Museum).

Depuis 1978, il expose en permanence à la galerie Matignon à Paris.

En 2002, Voyage en Arménie, Inauguration officielle de son exposition « Massacres » au Musée du Génocide, Erévan, il reçoit la distinction « Mesrop Mashtots » du Président de la République d’Arménie.

En 2003, il est élévé au grade de « Chevalier de la Légion d’Honneur ».

Paroles de l’Artiste :

« Je ne m’inspire jamais d’un tableau. Si je n’ai pas vu une chose, je ne la sens pas. Je ne pourrais pas faire de dessins sur la guerre, par exemple, si je n’y participais pas. Ce n’est pas l’imagination mais la chose vue qui est importante pour moi »

« L’acte de peindre permet de voir qui on est. On se trahit avec ce qu’on aime. »

« Tout ce qui se fait en peignant une toile est imprévu, inattendu »

« J’exécute beaucoup de dessins sur le vif, et pourtant aucun de mes dessins successifs n’est le même. Car tout change pendant que je dessine. Occupé à représenter un personnage, je ne me rends pas compte que, pendant ce temps, les autres ont bougé ou s’affairent à uneautre besogne que celleque j’aidéjà̀enregistrée. Si bien que la scène qui se présente sur mon cahier n’a peut-être jamais existé. »

JONONE

Artiste graffeur et peintre, John Andrew Perello alias JonOne, d’origine dominicaine, est né à New York dans les années soixante. 

Enfant de Harlem, JonOne fait ses classes en bombant les trains et les murs de son quartier, à l’âge de dix-sept ans. 

Autodidacte, il passe du support urbain à la toile (support avec lequel il sera exposé à travers le monde entier), réalisant des oeuvres clairement influencées par son vécu (le hip hop, la rue, le métro) et par la peinture moderne. 

Dans un style innovant qui surpasse les lois dictées par le graffiti (street art, urban culture), ses pièces abordent son « freestyle » (liberté qu’il prône avant tout), son mot d’ordre qui ne lui impose aucune limite. 

C’est après s’être installé à Paris en 1987, mais aussi pour avoir toujours fréquenté des artistes de tous bords (Speedy Graphito, LAII, etc.), qu’une nouvelle conquête commence pour lui : celle de la toile. 

Dans ses peintures, l’espace est entièrement utilisé, le vide blanc n’existe pas. La couleur apparaît comme la charge vitale de John, sa palette est riche et vive, les tonalités et les contrastes révèlent des jeux de nuances subtils, où dans une composition harmonieuse qui parait aussi spontanée que mesurée, les formes se nouent et se dénouent, ondulent ou se font droites. Il y a symétrie et asymétrie, répétition et unification, le trait est maîtrisé avec précision et souplesse. Chacune de ses toiles est une improvisation abstraite, dont la brillance transmet une joie de vivre. 

En très peu de temps il se fait un nom dans les milieux artistiques parisiens.

Photo de Pierre JUDIKAEL
Pierre JUDIKAEL

Il est né en 1937 à Coutances, au cœur d’un pays d’art et d’histoire où il développera très tôt une carrière artistique.

Il revendique son appartenance à l’esprit rebelle barbare des Vikings.

Ésope, Rabelais, Montaigne, La Fontaine, Molière, Céline et Hergé font partie de son univers. Ni réaliste, ni abstrait et encore moins naïf, il est inclassable. Le terme de «peintre figuratif libre» semble le plus approprié.

Sa peinture oscille entre l’expressionnisme figuratif, l’art brut et l’art décoratif.

Elle a le goût du piquant, de l’honnêteté et de l’impertinence, en réaction envers le conformisme.

Un style «Art décoratif» flamboyant.

La peinture de Judikaël nous rappelle ce que doit être un véritable créateur : quelqu’un qui devance la mode ou qui la contredit. Par dessus tout, ce qui l’attire dans la peinture, c’est qu’elle offre la possibilité d’une remise en question perpétuelle. Il cherche avant tout à se surprendre et à nous étonner.

Hors de toutes influences, Judikaël déroule, avec passion, sa saga d’êtres et de sites avec une tranquille générosité que bousculent ses couleurs véhémentes et ses personnages rugueux et pourtant  si proches du quotidien. Manipulateur d’images, équilibriste des formes, il a créé un nouvel espace pour la  peinture.

 

Le résultat est éclatant, tonique et lumineux. Aujourd’hui, au sommet de son art, Judikaël a employé toutes les techniques, sans abandonner ces mondes étranges où le rêve le plus fou devient réalité, où l’homme se cache sous un masque et où l’animal semble méditer.

Photo de Arnaud KASPER
Arnaud KASPER

Sculpteur-Peintre français, né à Paris en 1962.

Son œuvre multiforme marque la diversité de ses talents.

Il commence la peinture à l’académie du jeudi, atelier d’expression libre dirigé par Arno Stern (1970-1975) et poursuit sa formation à l’E.N.S.A.A.M.A. (Ecole nationale Supérieure des Arts Appliqués et métiers d’Art) jusqu’en 1984. Enfin il intègre les Ateliers Glacière en section taille directe (sculpture sur pierre) de 1996 à 1999.

En 2000 il réalise son premier monument, celui de « La Sentinelle » ainsi que sa première commande publique « La Marche », monument de 12,50 m de haut pour la ville de Montataire dans l’Oise. Depuis Kasper n’a pas perdu cette envie de faire partager son art monumental à travers différentes expositions urbaines.

Kasper crée différents univers où se côtoient les thèmes mythologique, équestre, maritime et animalier. Entre classicisme et modernité, toutes ses œuvres dégagent une force qui ne laisse personne indifférent. Sa sculpture intuitive reflète sa générosité, sa personnalité haute en couleurs et suscite l’émotion.

L’œuvre de Kasper s’exporte dans de nombreux pays comme la Chine, les Etats Unis, le Moyen-Orient, pour des familles royales.

Plusieurs « Musées de France », ont intégré ses œuvres dans ses expositions temporaires ou dans leurs collections.

Kasper, artiste sculpteur passionné, trouve sa force dans des valeurs éthiques universelles.

« Tout m’attache à l’Art … La sculpture m’a choisi, et elle m’habite à chaque instant de ma vie. Je lui consacre mon existence, comme aspiré dans un tourbillon de passion. Elle m’offre un espace où je peux réellement être, partager et construire. Que ce soit à travers la sculpture, la peinture ou le dessin, l’Art requiert une discipline, nécessite une activité quotidienne. Chaque jour est un recommencement. Confronté au doute et à l’inconnu, mon œuvre se façonne à travers la recherche et l’expérimentation, la poésie … être artiste, est un engagement, j’y met mes « tripes », mon énergie, ma foi ». KASPER     

Extraits du site de l’Artiste

Mark KOSTABI

 

Mark KOSTABI

L’artiste et compositeur Mark Kostabi est né à Los Angeles en 1960 d’immigrants estoniens. Élevé à Whittier en Californie, il a étudié le dessin et la peinture à la California State University de Fullerton. Kostabi a déménagé à New York en 1982 et, en 1984, est

devenu une figure emblématique de la scène artistique de l’East Village, où il a développé une personnalité médiatique provocante en publiant des auto-interviews sur la marchandisation de l’art contemporain.

En 1987, son travail a été largement exposé dans les galeries de New York, ainsi que de manière prédominante aux États-Unis, au Japon, en Allemagne et en Australie. Il a inspiré une large couverture de la presse internationale en 1988 lorsqu’il a fondé Kostabi World, son studio d’art à Manhattan, qui emploie de nombreux assistants de peinture et créateurs d’idées.

Au début des années 1990, le travail de Kostabi a été largement exposé dans toute l’Italie. Kostabi a établi une résidence secondaire à Rome en 1996. La division de son temps entre Rome et New York lui a permis d’améliorer considérablement sa présence sur la scène artistique italienne.
Ses personnages sans visage sont caractéristiques de son travail. Ses toiles expriment les positions de l’artiste sur des problèmes politiques, sociaux, psychologiques. Giorgio De Chirico et Fernand Léger sont deux sources d’inspirations majeures, qui n’empêchent pas l’artiste d’agir en toute liberté, et au contraire le poussent à se réinventer.

L’oeuvre de Mark Kostabi est internationalement reconnue. Outre ses expositions en galerie aux US, au Japon, en Allemagne et en Australie, les institutions reconnaissent son talent et présentent ses toiles. On peut citer, entre autres, le Mitsukoshi Museum in Tokyo et l’Art Museum of Estonia de Tallinn. Ses oeuvres font également partie des collections permanentes, comme celles du Guggenheim Museum ou de la Galerie Nationale d’Art Moderne de Rome. Mark Kostabi a également été sollicité pour réaliser des couvertures d’albums de musique par une dizaine d’artistes, comme le groupe Guns ‘N’ Roses.

Photo de Yong-Man KWON
Yong-Man KWON

Yong-Man Kwon est  né en 1972.

Sa peinture est très instinctive et spontanée.

Sa facilité à s’adapter au sujet traité fait de lui un artiste à l’écriture picturale originale.

Il fait ressortir par sa perception artistique l’élément primordial.

Les personnages du quotidien, une marine ou un paysage urbain seront mis en scène suivant une composition rigoureuse.

Il joue avec les tâches de couleurs, les organise, les hiérarchise, afin de créer le motif traité  avec dynamisme et mouvement. Il ne laisse rien au hasard dans ses réalisations.

Interprétant la nature sans jamais la copier il ressort de ses paysages sublimes, un univers personnalisé par lequel  il fait entrer le spectateur.

Il sait s’adapter aux difficultés d’un sujet.

De ses études artistiques, il garde le savoir de tradition mais grâce à sa perception, ses œuvres sont résolument  actuelles.

Artiste peintre, Peintre officiel de la marine et de l’Armée, Peintre de l’Air et de l’Espace, mais aussi Sociétaire du salon Violet et  de la fondation Taylor, Académie associée en degré supérieur de l’académie des beaux arts de Saint Louis.

Photo de Yvon LABARRE
Yvon LABARRE

Malgré ses goûts pour les voyages et les contacts humains, l’artiste se refuse à tout exotisme : le grand estuaire et les ports constituent pour ce terrien une constante invitation au voyage, mais un voyage souvent plus symbolique et intérieur que géographique.

Toujours fidèle à lui-même mais jamais enfermé dans un carcan, il manifeste aujourd’hui une plus grande liberté dans l’utilisation de la couleur et nous surprend quelquefois par des toiles qui peuvent être empreintes, soit d’un expressionisme violent, soit d’un romantisme méditatif.

Photo de Thierry LANDON
Thierry LANDON

Né en 1963, Thierry LANDON grandit à Paris. Le dessin et la peinture font partie de ses passions.

Attiré par les métiers d’Art, il passe le concours pour entrer à l’Ecole Boulle, à Paris, où il est admis. Il y apprend le métier de Tapissier-décorateur, qu’il exercera pendant plusieurs années.

Passionné par la couleur, il entre à l’Ecole Française des Industries Graphiques, à Vincennes (94), devient Photograveur Coloriste et travaille pour différents imprimeurs de magazines.

En 1999, Thierry LANDON décide de suivre son destin et se tourne définitivement vers la peinture.

 L’écriture de Thierry LANDON est semi-figurative, débarrassée de détails superflus. Ses thèmes sont variés : les paysages terre-mer; les personnages, en particulier, la « femme », les musiciens; les natures mortes.

Il se nourrit de ses voyages pour exprimer les couleurs et la lumière et de toutes ses rencontres pour partager son dynamisme et sa joie de vivre.

« L’objectif de mon travail est de développer une écriture picturale suggestive, en privilégiant la couleur, la lumière et la matière tout en conservant une expression figurative. J’invite ainsi, chaque spectateur à entrer en scène grâce à son imaginaire et à éprouver le ressenti d’une perception intime, d’un fragment d’existence et de retrouver une émotion lointaine oubliée. »

Dès ses débuts, Thierry LANDON préfère l’huile aux autres techniques. Séchant lentement, elle lui permet de revenir, à volonté, dans une matière fraîche et frémissante, qu’il orchestre à 90% au couteau et d’exprimer son imagination et sa liberté créative.

Instinctivement, il mélange les tons d’une palette composée de coloris légers et de couleurs vibrantes et flamboyantes, sculpte la matière et capte la lumière.

Photo de Georges LAPORTE
Georges LAPORTE

Il est né en 1926 à Montmartre. Après des études en commerce international, il travaille comme agent en douane. Ses débuts en peinture datent de 1946.

Il se marie et vient s’installer en Bourgogne à Chalon en 1952 puis à Givry en 1959. De nombreuses vues de ce village et de ses environs, souvent sous la neige, seront exposées dans le monde entier.

En 1958, il obtient le Prix Sébastien-Lepage au Salon des artistes français. Monsieur Guillermet, éditeur à Villefranche sur Saône et ami de Colette et Utrillo l’encourage à exposer à Lyon à la galerie Petersen. Ce sera un franc succès. Cette même année, L’Asile de Nuit de la rue aux Prêtres de Chalonobtient le Prix de la ville d’Aix-en-Provence devant 300 peintres venus de la France entière. Madame Frank Jay Gould achète la toile qu’elle accroche à coté d’Antoine Watteau et François Boucher qu’elle collectionne.

En 1960, a lieu la première reproduction d’une œuvre, Bidonville à Nanterre, aux éditions Nomis, distribuées au Louvre. Raphaël Mischkind, galeriste à Lille, remarque cette oeuvre. Il suivra Laporte tout au long de sa carrière.

Georges Laporte découvre véritablement la Bretagne dans les années 1960. La mer devient son thème principal. Il installe un atelier à Quiberon. On parle alors de peinture gestuelle en référence à Georges Mathieu, un parallèle est également fait avec Nicolas de Staël. Les épaisseurs de matières caractéristiques de ses toiles apparaissent à cette époque.

Sa peinture évolue dans les années 1970 et ses bords de mer sont plus aboutis.

À la mort de sa femme en 1979, il multiplie les voyages et sa peinture prend une nouvelle direction.

Dans les années 1980, Laporte renouvelle sa peinture et ses couleurs. Il se rend en Corse et au japon où 80 000 visiteurs se rendent à son exposition au printemps 1989Il renonce aux règles de la perspective traditionnelle et construit son espace sur un système de superpositions de plans. Qu’elles aient pour origine la France ou le Japon, on sent que dans ses toiles désormais l’esprit rejoint la matière pour accomplir la transmutation des éléments pour les rendre perspectibles à l’oeil et au toucher. »

Georges Laporte meurt à Paris le 7 novembre 2000 ; ses cendres sont dispersées à la pointe de la presqu’île de Quiberon.

Photo de Alexis LE BORGNE
Alexis LE BORGNE

Né en 1995, autodidacte, petit je dessinais beaucoup, à l’école j’étais loin d’être le meilleur dans cette discipline mais on m’a toujours encouragé dans ce sens. C’est ensuite au collège, à 14 ans que je découvre l’aquarelle. C’est là partir de là que tout a commencé. Je suis tombé sous le charme de cette technique en peignant surtout du portrait animalier à l’époque. C’est seulement quelques mois plus tard que la maman d’un camarade m’a proposé une exposition personnelle en 2011 au CFAI de Bretagne. Un rêve se dessina, celui d’une carrière d’artiste.

Beaucoup de rencontres durant cette première exposition où l’on m’a proposé des foires aux peintres locales. J’ai commencé à remporter des premiers prix du public. Par la suite j’ai continué en postulant pour des salons d’aquarelle en régionale puis des concours en national, international et à être récompensé pour mon travail. C’est ce qui m’a encouragé et alimenté sans cesse mon envie de peindre et d’en faire mon métier. Pour moi c’était une évidence, sans me poser la question d’en vivre, c’était un besoin, ça ou rien. En 2013 je découvre le pastel sec et en parallèle l’acrylique, l’huile seulement plus tard vers 2015 et 2017 le numérique avec ma tablette graphique qui deviendra l’outil principal de création brute et mon cahier de brouillon.

À partir de 2018 on me propose de participer à des expositions d’aquarelle et de pastel, notamment au célèbre Festival du pastel de Feytiat. C’est ainsi depuis 2011 à aujourd’hui que mon parcours s’est créé. J’ai eu la chance de faire un nombre incroyable de rencontres extraordinaires, d’avoir eu la chance de remporter de nombreux prix, mais surtout d’avoir réussi à donner vie à ce rêve et de pouvoir en vivre pleinement. Je souhaite à quiconque de pouvoir se sentir épanoui et libre dans ce qu’il aime.

Remerciements à ma famille, à toutes les personnes qui m’encouragent et me soutiennent au fil des années…

 

 Alexis Le Borgne

Photo de Jean-Noël LE CREN
Jean-Noël LE CREN

Installé en Vendée à Château d’Olonne, 
Jean Noël le Cren, saumurois d’origine, poursuit son parcours de peintre aquarelliste, évoluant des paysages de Loire et des vignes de l’Anjou aux rivages maritimes de la Vendée
 il se laisse désormais inspirer par la mer, le sable et la roche de la côte sauvage et livre aujourd’hui ses dernières compositions.

La lumière, fil conducteur de son inspiration très 
japonisante, appelle sans cesse son regard et filtre partout dans des oeuvres originales, utilisant l’aquarelle, l’encre de chine et le pastel. 
Ses encres et aquarelles, rehaussées parfois d’une touche de pastel, vous emmènent aux pays des matins calmes, 
sur les rives d’un univers très doux, délicatement embrumé. Ses oeuvres sont d’une rare pureté apaisante. 
Des noirs à pics vertigineux plongent pourtant dans des eaux paisibles, mais elles demeurent à peine ridées, seulement émaillées ici et là d’éclats de lumière aussitôt veloutées de roses ou de blanc laiteux.

Figuratif d’abord il s’oriente vers l’abstraction
 avec des dentelles de couleur, de contrastes subtils et allie dans un foisonnement de formes
 et de textures, la force, la finesse et la sérénité.

Toujours présent dans les principaux salons et expositions personnelles des Pays de la Loire, son travail a également été remarqué en Vendée depuis plusieurs années.
: Angers – Trélazé – Cholet – Vouvant – Le Pouliguen – Ile de Ré – Noimoutier – Les Sables d’olonne….

…….SD

Photo de Anne LIMBOUR
Anne LIMBOUR

Artiste plasticienne, membre des Ateliers d’Art de France.

  • Elle a commencé son parcours professionnel chez Christian Dior comme designer en accessoires de mode.
  • Elle a ensuite collaboré à divers projets pour Louis Vuitton et Montblanc en tant que free lance.
  • Après plusieurs années à Paris et une année sabbatique autour du monde, riche d’inspirations, elle jette l’ancre à Saint –Malo.
  • Sa vie professionnelle prend alors un tournant plus artistique.
  • En terre bretonne, elle s’invente un monde plein de poésie où les univers de l’air et de l’eau se confondent.

En 2006, elle a l’idée de travailler avec des plumes. Elle sélectionne, taille, et dispose celles-ci qui se métamorphosent en poissons aériens et en fait des tableaux surprenants. Ces étranges poissons surgissent derrière des hublots ou sont posés sous une cloche en verre.

  • Une fois épinglés ils semblent flotter entre deux mondes.
  • Ses créations sont le reflet d’une alchimie de différents passés.
  • Celui de l’enfance au milieu de la nature à observer un grand-père qui grâce à la magie de la création, transformait divers matériaux en luminaires.
  • Celui aussi chargé d’embruns de son autre grand-père qui voguait sur les mers.

 

  • L’artiste aime particulièrement détourner toutes sortes de matériaux et rendre insolite leur mise en lumière.
  • En ce moment elle a jeté son dévolu sur les plumes, mais elle travaille aussi les bouteilles d’eau, les écorces, les épines d’oursins, qu’elle récupère, sélectionne et transforme selon ses inspirations multiples….

 

Photo de Sylvain LOISANT
Sylvain LOISANT

Né en 1954 à Vittel, cet artiste français a commencé à peindre à l’âge de dixvans.
Alors qu’il s’orientait vers une carrière d’architecte, Sylvain Loisant plaque tout pour se consacrer à la peinture qui l’anime et qui l‘habite.

Il se lance professionnellement et prend son envol seul. Pas comme un virtuose mais plutôt comme un compositeur.  Il travaille avec esthétisme et_minutie_car_«c’est_la_politesse_du_peintre».
En 1974, il organise sa première exposition au Palais des congrès de Vittel.
Ses expositions dans ce lieu ont toujours rencontré un vif succès. Il a présenté ses œuvres dans plusieurs espaces culturels et a réalisé des expositions personnelles dans de grandes galeries en France, en Belgique, en Hollande et aux Etats-Unis. Depuis ses débuts, il a réalisé environ 3000 œuvres qui se trouvent pour la plupart dans des collections particulières. Il a reçu de nombreux prix et distinctions et a été l’invité d’honneur dans plusieurs salons réputés. Il a réalisé des mosaïques géantes au centre cuturel de l’Alhambra et des peintures murales dans de grands hôtels. Loisant pratique aussi la technique du pastel. Il expose deux ou trois fois par an dans les prestigieux salons de la société des pastellistes de France à Feytiat, Tournus, Hyeres et Saint-Florent. Depuis 1985, Sylvain Loisant organise également de nombreux stages et cours de peinture sur toute la France (notamment dans le cadre de la société des pastellistes de France). Il a été nommé maître pastelliste en 2016.

Il a mis en place une méthode qui associe la technique rigoureuse avec une spontanéité créative. L’artiste utilise l’art comme un art de vivre capable de donner du sens. Il aime travailler devant le public qui est selon lui le terreau d’une pratique artistique équilibrée.

Passionné de philosophie, il s’amuse à pratiquer la « philopeinture et le philopastel », il aime philosopher « à coup de pinceau »

 

Photo de Sergiy LYSYY
Sergiy LYSYY

Sergiy Lysyy est né le 14 mai 1971 dans la région d’Odessa, en Ukraine.

Depuis 2011, il vit à Klaïpeda, en Lituanie.

Formation : 1995 – études à l’Université d’Art d’Odessa, département graphique.

La peinture est sa grande passion : il essaie toujours de participer à différents concours, conférences, biennales et expositions internationales.

Il aime peindre les paysages urbains.

Il dirige des ateliers d’aquarelle en Lituanie et dans d’autres pays.

C’est un artiste talentueux qui a rapidement intéressé les amateurs d’arts de la ville portuaire.

Lysyy travaille comme motif principal les objets urbains et naturels.

Il travaille la technique traditionnelle de l’aquarelle pure et humide qui permet de créer une vision artistique unique du monde, pleine de sensations et d’expression de la lumière.

Ses combinaisons de couleurs audacieuses, de touches vives, de fuites typiques d’aquarelle savamment gérées et laissées aussi au hasard.

 

Photo de Jean-Yves MARREC
Jean-Yves MARREC

Brestois de naissance (1961), Jean-Yves Marrec vit et se consacre   aujourd’hui à son art à Quimper dans son atelier.

Autodidacte, le pastel est pour lui une véritable passion. Il doit beaucoup aux couleurs et harmonies iodées de son Finistère. Il s’est formé au fil du temps au contact d’amis peintres et de différentes rencontres.

Peintre en bâtiment de métier puis peintre décorateur, il suit ensuite une longue formation qui lui fait  approfondir le travail sur la théorie des couleurs, les perspectives dans leur ensemble, la pédagogie et l’histoire de l’Art.

Il dit: « Je pense que la curiosité nous amène à apprendre et à mieux comprendre ce qui nous entoure ! ».

Il se définit comme pastelliste paysagiste. Il réalise principalement des marines. Les bords de mer, les ports et les bateaux sont ses sujets de prédilection. Il se passionne aussi pour les peintures  d’épaves, mélanges de gris colorés subtils et de formes étrangement séduisantes.

Membre des Pastellistes de France, son travail a été récompensé à de nombreuses reprises, et ses pastels figurent dans des collections privées aussi bien en France qu’à l’étranger.

 

« Un œil et de l’esprit 

Jean-Yves Marrec se balade dans le registre désormais expurgé des gens de métier. Métier chez lui particulièrement consommé : couleurs charmeuses du pastel au service d’un dessin et de valeurs justes, de matières savamment traitées qui révèlent une grande sensibilité. De très belles compositions maritimes fluides et lumineuses. Marrec est l’un des artistes qui ne se perdent pas dans la confusion des techniciens sans âme. S’il se paye parfois d’un léger excès d’expression, il est toujours incisif et pertinent,  le pastel que j’aurais aimé savoir réaliser. »         – Fanch Moal –

 

Photo de Mariana MIHUT
Mariana MIHUT

Le bonheur originel ou le Paradis retrouvé dans un hameau des Carpates de l’Ouest, en Transylvanie

Née en 1975 dans une famille des peintres paysans à Brusturi (département Arad), en Roumanie, Mariana Mihut en est la quatrième-génération.
Comme son arrière-grand-père, Ion Nita Nicodim, le fondateur de la peinture naïve roumaine, autodidacte, Mariana, dès son adolescence, auprès de son grand-père, commence à réaliser ce qui va devenir un touchant et magnifique « calendrier illustré » de la vie des montagnards, appelés « Motzi ».

Dans une ambiance de lumière magique qui jaillit du tableau, nous découvrons émerveillés et nostalgiques, au long des quatre saisons, le quotidien d’une vie paisible : la joie des enfants, l’élevage des bêtes, le ramassage des pommes, la fenaison, les travaux de la ferme, le mariage et les grandes fêtes chrétiennes. Un univers qui semble irréel par-le-calme, -la-sérénité-et-la-paix-qu’il-nous-transmet.
Toutes ses toiles laissent percevoir sa jeunesse et sa féminité à travers les rondeurs de ces montagnes basses, semblables aux Vosges ou-au-Massif-Central.
Beaucoup de grâce et de délicatesse sont à retrouver dans le blanc et le rose des fleurs des pommiers, ainsi que dans les harmonies chaudes de l’été et de l’automne.

Quelle beauté magique dans les paysages d’hiver où la neige étincelante et poudreuse se marie avec le ciel d’un bleu intense, violet, gris-ou-marron-doré-!
Mais ce qui brille encore plus dans ces tableaux, c’est l’âme de Mariana, sensible et timide, tellement heureuse de sublimer ce minuscule village des Carpates dans un bout de Paradis.

Dès l’âge de 16 ans, en 1991, elle participe en Roumanie, à Bucarest et autres grandes villes, à côté des membres de sa famille aux Salons et Festivals annuels des artistes peintres et artisans d’art.

Photo de Jean MOIRAS
Jean MOIRAS

Né en 1945 à Chamaliéres

De 1958 à 1963, Ecole Nationale Professionnelle de Thiers.

De 1064 à 1972 : Paris. Atelier de Pierre Simonini, décors de théatre, cinéma, télévision.

Après avoir travaillé avec les plus grands metteurs en scène et décorateurs, il abandonne paris afin de se consacrer entièrement à la peinture.

En 1972 il s’installe en Auvergne. Il vit et travaille à Montpeyroux.

… Avec Jean Moiras c’est la certitude de recevoir en contemplant ses toiles, une émotion artistique en même temps qu’un plaisir esthétique.

Sur le chemin difficile qui est le sien, durement marqué, il va seul, libre, généreux. Attentif à la petite braise qu’il porte en lui. Sur la route exemplaire il se tient avec.

Ayant éludé tout faux-semblant, désir de plaire, trucs, recettes – toujours tentants pour un artiste -, ramassé au centre de lui-même, il connaît l’existence de  sa tâche : extraire de lui le maximum de valeur dont il se sent capable, entretenir le feu qui nourrira sa création artistique. Le talent de l’artiste c’est avant tout une mobilisation générale : celle de sa sensibilité, se son intelligence, de son cœur, de sa raison, de son évolution spirituelle. Le peintre trouve en lui-même la force et le courage, il se nourrit de sa vie.

Photo de Jacques MOREAU-GAUDRY
Jacques MOREAU-GAUDRY

Jacques Moreau-Gaudry est né en août 1941 à Bresse-sur-Grosne en Bourgogne. Possédant des dispositions innées pour le dessin et le modelage, encouragé par sa mère et son frère, il rentre en 1958 à l’école des Arts Appliqués du Mans puis en 1965 à l’école des Beaux-Arts de Nantes ou le professeur Maître Guy Baty lui donne une riche formation publicitaire. Après 10 ans de recherches et de créations multiples, il se consacre définitivement à l’art pictural.

En 1970 commence des expositions personnelles en galeries dans tout l’ouest et à partir de 1988 est présent dans tous les salons régionaux, nationaux et internationaux, en Allemagne, la Suisse, le Japon, le Canada, les Etats-Unis…

L’œuvre est considérable, les commandes nombreuses et la critique unanime, saluant un art maîtrisé avec beaucoup de dextérité, tant dans le graphisme que dans la composition et la richesse de sa couleur. Source d’inspiration privilégiée : principalement la Bretagne, traduite avec une extrême sensibilité. Sous le pinceau du peintre, elle devient un monde secret où chaque couleur est auréolée d’une mystérieuse lumière. Tout est douceur, limpide dans ces paysages transfigurés par l’artiste au point d’avoir la perfection de la laque. Cela donne des tableaux empreints d’une grande sérénité à l’image de celui qui les peint avec ce contraste de force et de douceur.

Jacques Moreau-Gaudry est un peintre à l’âme voyageuse et surtout un étonnant coloriste ! Qu’il peigne Roscoff ou Menton, Venise ou la Roche-Bernard, il ravive tout ce qu’il voit.

Quel que soit le temps, l’heure, la saison : sa palette est la gaieté même : bleus outremer et orangés éclatants, jaunes et bleus clairs lumineux, rouges et verts chatoyants. Paysages et vues marines sont métamorphosés par la couleur.

Cet amoureux de l’art est un peintre de la paix de l’âme au sens inné et merveilleux de l’harmonie de l’univers, dont il saisit les énergies les plus pures, les plus vraies, pour en faire matière architecturée et colorée qui pourtant induit au rêve ; contraste de force et de douceur.

Chaque œuvre est précédée d’une étude très élaborée sur papier kraft qui, transposé sur la toile, nous révèle la dextérité dans le graphisme et l’art de la composition.

Photo de Béatrice MOREL
Béatrice MOREL

J’habite dans la banlieue parisienne, à Maisons Laffitte, une ville renommée pour son activité hippique.

Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art, je me suis investie pendant une quinzaine d’années dans le domaine de l’architecture intérieure.

Devenue aquarelliste, un choix permettant l’acquisition d’une totale liberté d’expression, j’harmonise toujours les espaces en manipulant les volumes, la couleur et la lumière. La proximité des chevaux a influencé progressivement mon inspiration.

Je m’intéresse à l’accroche de la lumière sur la robe du cheval, le mouvement de la crinière etla force des yeux traduisant le mieux son attitude.

Ma palette est volontairement composée des couleurs de la nature,une source inépuisable de sujets d’inspiration. Après une longue phase d’observation des contrastes, des transparences et du mouvement, je tente d’exprimer dans un cadrage particulier ce regard passionné et communicatif. Je pose alternativement les trois couleurs primaires sur un papier aquarelle tendu et gorgé d’eau. Je précise ensuite le dessin au cours du séchage du papier.

L’aquarelle, en technique « humide sur humide », une passion que je partage avec plaisir.

 

  1. Morel
Photo de Jean-Louis MORELLE
Jean-Louis MORELLE

Dans les années 1990, j’ai commencé à peindre librement à l’aquarelle.

Un jour, à cinq heures du matin dans les rues de Montreuil, le jour se levait au fronton de bâtiments qui n’avaient rien de remarquables.

Mais tout d’un coup il m’apparut que ce poudroiement de la lumière de l’aube transfigurait tout.

La tristesse des murs n’existait plus et je fus très heureux de m’apercevoir que l’aquarelle me permettait d’exprimer cette diffusion de la lumière dans la fine épaisseur de l’élément liquide.

Souvent les anciens répétaient qu’il fallait se rapprocher de la nature ; cette nature, ce jour-là, c’était le soleil au dessus du bitume.

Ultime présence que l’on ne pouvait abolir.

Pendant toutes les années où j’ai peint à l’aquarelle, cette palpitation de la lumière fut pour moi un soutien, une source quasi naïve et enfantine.

Beaucoup d’années plus tard, j’éprouvais le besoin irrépressible de quitter ce monde apollinien.

Par un de ces mouvements de balancier que l’esprit ne peut parfois éviter, il me fallait redescendre au sein d’une matière terrestre plus pesante et plus tourmentée.

La matière de l’huile me confrontait au poids des choses, et à des plaisirs d’une nouvelle densité.

Certes, il n’était pas nécessaire d’envisager les choses d’une manière aussi radicale; ce fut pourtant le cas pour moi.

Aujourd’hui, je sais que la différence entre les techniques compte pour peu. Toute technique est magnifique pourvu que notre corps s’autorise à en être investi totalement.

J’espère être au début d’une transformation de mon travail.

Sachez très fort et sachez le vraiment, que la force qui me manque parfois m’a été donnée par votre regard sur mes tentatives parfois affirmées, parfois balbutiantes.

Votre regard est essentiel pour peu qu’il soit vrai. Aucune aide ne me viendra d’ailleurs.

Pour ce regard-là, je vous remercie.

Jean-Louis Morelle

Photo de Jerzy MOSCICKI
Jerzy MOSCICKI

Né en 1954 en Pologne. Après les études au Lycée National d’Arts Plastiques à Wroclaw, il travaille au Théâtre des Marionnettes de la même ville, comme décorateur. Établi en France en 1981, sélectionné et récompensé aux Grands Prix Internationaux, il se consacre exclusivement à la peinture depuis 1990. Peintre en résidence au lycée J. B. De La Salle à Lyon, il enseigne les techniques de la peinture. En 2009, il crée « Atelier Espace Pastel » destiné à la promotion et l’enseignement du pastel auprès d’un large public. Premier Prix (ex aequo) du concours de La Société des Pastellistes de France en 2014, il est l’un de neuf artistes français invités, en 2015, au premier Festival International du Pastel à Suzhou en Chine. En 2016 il a été l’un des quatre instructeurs internationaux choisis pour enseigner le pastel aux enseignants d’art chinois dans le cadre d’un programme pilote organisé par China Pastel Network, Beijing Education Center et International Association of Pastel Societies.

Par mon style je me situe dans la tradition des peintres du clair – obscur : avant de voir la couleur, je regarde la lumière. Je suis attiré par cette relation particulière entre la couleur et la lumière qui passe par l’ombre. L’ombre que je considère comme une sorte de « non-couleur » provoque un effet dramatique dans notre œil : une partie de ce que nous regardons disparaît si la lumière n’arrive pas à l’atteindre, c’est ce que nous appelons le clair – obscur. Un sujet éclairé de tous les côtés nous parait plat comme une histoire dont nous saurions la fin. Cependant, si l’ombre en cache une partie, nous nous racontons la partie invisible – l’objet devient mystérieux, il prend vie… A travers des centaines de tableaux, huiles, pastels aquarelles, j’ai raconté l’histoire d’objets, toujours dans la convention réaliste du clair – obscur, tant appréciée des collectionneurs. Cela m’a appris le métier de peintre. Aujourd’hui, je pense évoluer vers la personnalisation de mon aventure avec les objets. Sans abandonner leur aspect classique, les motifs de mes natures mortes laissent leur interdépendance et deviennent autonomes pour vivre une aventure dictée uniquement par la lumière, la couleur et une mise en place que j’appelle « nouveau regard », MON REGARD.

Marcel MOULY

Peintre français, grand coloriste du XXe siècle

Il exerce bien des métiers avant de se consacrer entièrement aux arts

Et même pour continuer à peindre car il avait des revenus modestes et se démenait pour sa survie matérielle.

 

Il travaille dans la tradition française classique, fait partie du courant de la synthèse entre le formel et l’informel, composant des natures mortes, des scènes d’intérieur, des paysages et des marines avec une palette de couleurs très colorée.

De l’héritage cubiste, Marcel Mouly a gardé une composition architecturale parfaite, où il reconstruit la perspective. Sa composition ressemble à un vitrail dont on pourrait presque séparer des verres.

Sa peinture est illuminée de l’intérieur comme si un soleil invisible l’irradiait, remplie de force paisible et heureuse où règne l’harmonie, sa palette est plus chatoyante que la réalité, elle est le reflet fidèle de sa personnalité.

De l’œuvre de Marcel Mouly se dégage une vibration sensible, avec des oppositions de tons parfois très osés, au service de sa volonté artistique.

Marcel Mouly est connu pour son humanité exceptionnelle, pour sa gentillesse, sa bonne humeur et pour sa fidélité.

En 1949, il peut enfin exposer une série de gouaches et de peintures à la Librairie Bergamasque à Paris. Dès lors sa liberté créative est totale. Sans jamais oublier des amis artistes qu’il aide à sortir de l’anonymat.

 

Ses travaux sont tout simplement exceptionnels que ce soit en lithographie ou en peintures.

Sa peinture compte avec force dans le panorama de la peinture contemporaine. Il a maintenant une place unique, en dehors des modes tout en restant dans la grande tradition de l’art du xxe siècle.

Photo de Gérard MURSIC
Gérard MURSIC

Gérard Mursic est un artiste primé dont les œuvres ont été exposées en France. Il insiste sur le fait que sa peinture n’est pas intellectuelle, qu’elle est plus sensuelle.

Les sujets de Gérard Mursic sont aussi riches que variés. Paysages naturels, marines, environnements urbains, natures mortes ou compositions florales sont évoqués dans les peintures à l’huile de l’artiste de manière spontanée et furtive. L’évocation est en effet au cœur de sa démarche qui privilégie l’intuition à l’expression,nlansensualiténànl’intellect. Mursic n’essaie pas de représenter, il évoque. Son processus artistique recherche l’esthétique, l’équilibre des formes, des couleurs et l’état entre énergie et calme. Il crée avec des huiles, en utilisant des couteaux pour l’énergie et des essuie-tout pour les fondus, procédant par ajouts et retraits, il développe une technique singulière produisant des effets subtils ou au contraire des mouvements dynamiques.

A la manière de l’aquarelle, il privilégie le blanc qui place le contraste au cœur de la composition. « La toile est une recherche, une exploration », affirme Gérard Mursic. Travaillant les formes et les couleurs, variant les rythmes et expérimentant les lumières et les textures, l’artiste chérie les interactions entre ce qui se complètenmaisnnensenressemblenpas.
Car c’est l’instinct qui façonne la matière première du peintre. Libéré des contraintes du dessin et de la représentation, Gérard Mursic s’inspire de Turner, Van Gogh et De Staël et se laisse emporter par ses thèmes dans le tourbillon créatif. Sur le chemin, le sujet s’évapore parfois, se disperse ou se perd, obligeant le spectateur à s’engager à son tour dans le processus esthétique, s’appropriant la toile,nynprojetantnsonnimagination.

Photo de Yvon NEUVILLE
Yvon NEUVILLE

D’un style quasi-chorégraphique, NEUVILLE écrit les états de la peinture. Le cadre s’échappe du cadre, le mouvement décrit le mouvement, la répétition balaie l’espace comme le faisceau d’un tube cathodique. Le réel est banni mais toujours identifiable, présent, agissant. Quand l’objet de la peinture a quitté le tableau, il en reste les traces visibles dans l’espace remis en jeu, l’événement a laissé des strates, des indices, des mouvements et ce sont des « sujets » que NEUVILLE analyse. Et comme il est aussi un peu poète, il vagabonde sur ces éclats du temps, sur ces velléités d’action en mouvement perpétuel

Roger BALAVOINE

Cyril OLANIER

Cyril Olanier est né à Saint Brieuc, le 25 décembre 1966.

Il a étudié à l’école des Beaux-Arts au Mans et à Nantes.

De 1998 à 2001, il a enseigné à l’ENSAD à Strasbourg, puis de 2001 à 2004 à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Toulouse.

 

Corps de femmes, visage surpris en pleine jouissance, traits impassibles ou endormis, postures figées comme embaumés, les tableaux de Cyril Olanier sont autant de boîtes à images, de

« peintures-cages » qui, au premier regard, semblent s’adresser à notre seule libido.

Passée cette évidence qui n’est qu’un leurre, l’insaisissable séduction de son travail repose sur le sérialisme des motifs peints, la symbolique de la rose, l’ambiguïté de cette peinture basée sur le gommage partiel des clichés qu’elle reproduit.

 

En solo, ou dans le cadre d’expositions collectives, il présente son travail depuis 1990, notamment à Londres (BCA Gallery – London Art Fair – Osborne Samuel Gallery), à Vienne (Galerie Lang-Wien), à Pékin (Bejing Art Fair – galerie Lang), à New York (Ambassade de France), Oslo (Christian Dam Gallery) et en France dans de nombreuses galeries (dont la Galerie 21 à Paris), Frac, etc…

 

 

_ ONEMIZER

De son vrai nom, Cyril Valade,est né en 1987 dans le Sud de la France.

Il passe une partie de son enfance en Afrique où il fait ses premières rencontres avec l’art et y découvre l’aquarelle

De retour en France à l’adolescence, il fait connaissance avec le graffiti parisien lors de ses balades autour de Paris avec ses parents. Les bords des autoroutes ainsi que les métros parisiens sont de véritables musées pour lui. Ce véritable coup de foudre le pousse à arpenter plus tard les terrains vagues ainsi que les voies ferrées et les entrepôts désaffectés afin de peindre sur des murs et se perfectionner à l’abris des regards.

Après le lycée, il décide d’entreprendre des études d’art en intégrant une école de design, mais préfère poursuivre sa route en autodidacte. Petit à petit, il passe du mur à la toile, et c’est poussé par son entourage, qu’il commence à montrer son travail et exposer ses toiles au gré de ses rencontres dans des hôtels de luxe, restaurant, bars…

Il organise ensuite ses premières expositions dans les environs de Bordeaux ainsi que dans la région parisienne. Du chemin a été fait depuis ses débuts dans les rues, et il expose désormais dans de nombreuses galeries d’art internationales. Onemizer a participé avec une centaine d’autres artistes internationaux au record du monde du plus grand graffiti sur toile qui s’est déroulé à Dubaï en Novembre 2014 et qui a été validé afin d’apparaître dans le Guiness book.

Onemizer puise son inspiration dans les classiques du pop art tels que Basquiat, Warhol… ainsi que tout simplement dans sa vie quotidienne, ce qui l’entoure, et dans la scène street art. Il aime travailler les lettrages, revisiter les portraits de personnalités ou objets qui ont marqué l’Histoire ou son histoire personnelle. Avec le temps, il développe un large panel de styles différents, combinant toujours du graffiti, du tag, des « coulures », et surtout une multitude de couleurs. Il utilise un large éventail de techniques différentes : bombes de peinture, pochoirs, dessins, marqueurs posca, pinceaux, encre, et parfois même directement ses mains. Il renouvèle constamment son art, aime changer les techniques, changer de support… C’est l’impact visuel et le choc des couleurs qui rendent chacune de ses toiles plus originales les unes que les autres.

Photo de Alexandr ONISHENKO
Alexandr ONISHENKO

Né en 1957 à Tchernihiv, la capitale de la province ukrainienne de l’oblast de Tchernihiv. Ses études artistiques ont été encouragées et soutenues dès son plus jeune âge par son père.

En 1979, il est diplômé de l’institut des arts de Kiev et devient membre de l’union des arts russes. La réglementation des arts par l’état sous l’union soviétique a encouragé Onishenko et de nombreux autres jeunes artistes à se rebeller et à former un collectif d’artistes illégaux, qui se trouvait dans le monastère Yeletsky. En 1981, Onishenko et plusieurs compagnons déménagent dans le quartier Tevriz d’Omsk Provence en Sibérie.

Après six ans « d’exil de soi », il retourne en Ukraine en 1987. Fuyant l’agitation politique croissante dans les années précédant la chute de l’Union soviétique, il s’installe quelques temps en Yougoslavie avant de partir pour Prague, en République tchèque, en 1991. Après des années de peinture sur le célèbre pont Charles, face à son succès, il ouvre sa propre galerie en 1994 (Galerie Jakubska) dans la vieille ville de Prague.

Onishenko réside actuellement à Prague et est devenu l’un des artistes les plus accomplis de la ville, recevant à la fois le prix Franz Kafka et le prix Masaryk Academy of Sciences.

Le style des signatures de son travail impressionniste se fait par l’utilisation exclusive du couteau à palette et la peinture sur des toiles noires. La description faite par l’artiste de son propre travail de « nouvel impressionnisme » ne doit pas être confondue avec le pointillisme du néo-impressionnisme. Sa propre distinction réside dans l’utilisation d’une technique de peinture d’empâtement traditionnelle dans laquelle la peinture est appliquée en quantité texturée lourde et parfois même mélangée directement sur la surface de la toile, tandis qu’en même temps Onishenko s’écarte radicalement de l’impressionnisme traditionnel en commençant sur un terrain -surface noire. Ce renversement du processus de peinture – passant de l’obscurité à la lumière – apporte avec lui le haut niveau de contraste et de dynamisme des couleurs pour lequel les peintures de l’artiste sont connues. Il dépeint une grande variété de sujets dans son travail. Still Lives, nus, land and cityscapes. Mais au fil des ans, l’un de ses motifs les plus célèbres est resté ses peintures en perspective à vol d’oiseau des toits de Prague.

Photo de Joie PABILANDO
Joie PABILANDO

L’aquarelliste Philippin est né le 4 octobre 1971.

Il a étudié l’art et le design au Sorsogon State College. Illustrateur/graphiste, il a également travaillé dans l’animation pendant 13 ans. Il a 25 ans d’expérience dans la peinture et le dessin.

Pabilando est un aquarelliste multi-récompensé qui a remporté les grands prix du 12e concours d’art du festival d’aquarelle Confluence 2019 en France et du prestigieux concours d’aquarelle Kulay sa Tubig la même année. Ses « peintures de gouttes de pluie » sont devenues son style de signature, rendant ses œuvres rares et uniques. Il est titulaire d’une maîtrise ès arts du TUP et d’un diplôme BSIT du Sorsogon State College. Cet artiste autodidacte travaille principalement l’aquarelle et l’acrylique. Il s’est toujours intéressé à l’art ; dès son plus jeune âge, il divertit ses frères et sœurs en dessinant leurs visages et leurs gestes. Ainsi a commencé son intérêt pour faire des illustrations, des peintures et des portraits.En tant qu’artiste depuis tant d’années, Joie a utilisé l’huile et l’acrylique comme médium, mais il a réalisé à quel point l’aquarelle peut lui offrir des possibilités illimitées d’ajouter des effets spéciaux et des variations à son style.

 

 

Photo de Roland PALMAERTS
Roland PALMAERTS

Roland Palmaerts naît à Bruxelles (Belgique), le 4 octobre 1953.

En 1959, il gagne le premier prix du concours national de dessin TINTIN sur le thème de la fête des Mères.
Il est initié par son père (peintre semi-professionnel) aux médiums suivants : crayon, mine, gouache, huile. En 1966, il effectue des études secondaires à l’Athénée Royale de Schaerbeek (Belgique), section « dessin technique – menuiserie – ébénisterie. Il dessine et réalise des meubles de style. Il peint et vend ses premiers tableaux.

En 1969, il s’inscrit à l’Institut Supérieur d’Architecture Saint-Luc (Bruxelles), section « décoration intérieure ». Il exécute ses premiers contrats (conception, plan, …) ; réalise ses premières peintures murales décoratives pour discothèques, …

En 1970, il s’inscrit à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, section « ensembliers-décorateurs ». Il gagne le premier prix de l’Académie sur le thème du poème de François Villon « La ballade des pendus ». Il se joint la même année à l’équipe de secouristes de la Première Colonne Mobile de la Croix-Rouge de Belgique (secouriste, chef d’équipe, spécialiste en réanimation, ambulancier, service d’urgence, intervention sur les lieux de catastrophes, notamment une catastrophe aérienne).

En 1972, il s’engage comme volontaire au Régiment Para-Commando de Flawinnes (Namur, Belgique).

En 1973, il conçoit et réalise une revue interne. Il collabore au fonctionnement d’un laboratoire photo noir et blanc. Il effectue des murales décoratives. La même année, il s’inscrit à l’Académie Royale de Namur, section « dessin, modèle vivant ».

En 1978, il participe au recrutement des candidats para-commando au Centre National de recrutement (Petit-Château, Bruxelles). Il exécute des peintures sur panneaux pour les expositions. C’est aussi en 1978 qu’il présente sa première exposition solo « Noir de Chine » au Salon ANHYP à Bruxelles. Il crée une société (The Paradise Hunters): création de logo, emblèmes, affiches, sérigraphies.

En 1979, Roland Palmaerts collabore à l’organisation des expositions nationales pour le service des relations publiques de l’Etat Major du régiment. Il produit des affiches et outils promotionnels. Il est détaché auprès de Son Altesse Royale le Prince Philippe de Belgique lors de son entraînement de parachutisme au C.E. de Schaffen. Il émigre au Québec, le 4 juin 1980 et le 7 juin, il débute à l’Imprimerie D. Boulet de Sainte-Julie comme concepteur graphiste, illustrateur. C’est en 1983, qu’il crée « Studio Parole » (conception, graphisme et illustration).

Dès 1984, Roland Palmaerts se consacre exclusivement à la peinture. La même année, il est élu membre de la Société Canadienne de l’Aquarelle.

C’est en 1986 qu’il est reçu membre de l’Association Royale des Artistes Professionnels de Belgique (A.R.A.P.B.). Quatre photolithographies sont produites par IdéeCadre (Montréal).

Hormis les expositions, trois autres étapes jalonnent l’année 1987 : acquisition par la mairie de Longueuil d’un tableau et reproduction en photolithographies exclusives, gagne le premier prix du Cercle des artistes peintres du Québec (jury : Guy Robert, Sam Aberg, Roger Baulu), remise d’une oeuvre au Premier Ministre du Canada par la Chambre de Commerce de la Rive-Sud.

En 1988, Studio Parole produit cette année une série de photolithographies. Roland Palmaerts devient membre du Jury de l’Association des peintres de Ville Lasalle et est élu membre de l’Institut des Arts Figuratifs du Québec (I.A.F.).

En 1989, il réalise l’oeuvre des Mercuriades, commandée par la Galerie René Savoie pour le compte de l’Association des Banquiers Canadiens. Il effectue la conception du programme du Gala Hommage à Fernand Nault, chorégraphe des Grands Ballets Canadiens. En 1990, Roland Palmaerts est élu membre de l’Institut Européen de l’Aquarelle.Il devient membre du Jury de l’exposition organisée par la Fondation de l’hôpital Charles Lemoyne de Longueuil en 1991. Est « artiste invité » au Symposium de Baie-Comeau. C’est aussi en 1991 qu’est lancée une monographie aux Editions De Mortagne. Est élu président de l’Institut des Arts Figuratifs (7 ans durant). De 1992 à 1999, son parcours est jalonné de nombreuses expositions.

En 1999, il fête sa 100ème émission télévisée sur Canal 4 (Canada). Art Vidéo Europe sort la deuxième cassette vidéo sur le thème de la « Dynamique et créativité à l’aquarelle ». Daler Rowney produit une pochette de pinceaux pour l’aquarelle « Palmaerts 2000 ». Note additionnelle : les expositions qui jalonnent le parcours de Roland Palmaerts ainsi que des photos de son atelier au Canada sont reprises dans deux pages spécifiques du site.( site de Roland Palmaerts)

La qualité de son art attire l’attention de connaisseurs et ses tableaux figurent dans plusieurs collections prestigieuses (Bell Canada, Bourse de Montréal, Banque Laurentienne, … – liste complète sur demande via e-mail) ainsi que dans de nombreuses collections privées au Canada, aux Etats-Unis et en Europe. De plus, il est représenté par de multiples galeries canadiennes et européennes.

L’oeuvre de Roland Palmaerts est avant tout spirituelle et philosophique. Comme si l’existence, pour l’artiste, était la pointe visible d’un iceberg. Livré corps et âme à son art, Roland Palmaerts aime les contrastes. Dans son art, les frontières de la réalité et du rêve s’interpénètrent. Que l’on contemple ses portraits, ses paysages, ses scènes maritimes, ses scènes de rue ou d’intérieur, ou encore des compositions fictives puisées dans les souvenirs de l’artiste ou dans son imaginaire, on remarque que Roland Palmaerts a dépassé l’utilisation traditionnelle de l’aquarelle. Ses œuvres atteignent une intensité peu fréquente dans l’art de la peinture à l’eau.

Grâce à ses nombreux voyages et à sa formation européenne, Roland Palmaerts a acquis une grande maîtrise de la lumière. Qu’elle représente un paysage ou une allégorie surréaliste, l’image est toujours dominée par une grande douceur, qui sert le message d’amour universel que l’artiste veut transmettre. Il anime régulièrement des cours et stages d’aquarelle ainsi que des conférences et des démonstrations publiques au Québec et en Europe.

 

Photo de Jean-Claude PAPEIX
Jean-Claude PAPEIX

Jean-Claude Papeix, typographe et photographe, originaire de Limoges, se consacre entièrement depuis 1990 à sa passion, l’aquarelle.

Il participe, chaque année, à plusieurs salons internationaux de l’aquarelle et dirige de nombreux stages de formation.

 

« Amoureux depuis toujours des couleurs, j’ai peint à la gouache dans ma plus tendre enfance. Inspiré par les maîtres, j’essayais de reproduire leurs œuvres. Les impressionnistes m’ont passionné très vite avec leur gestion de la lumière. Claude Monet, en particulier, me fascinait.

Complètement autodidacte, je  me suis mis à peindre à l’aquarelle dès les années 90. J’ai participé à de nombreux salons…

…Mon travail est surtout axé sur une recherche permanente pour obtenir toujours plus de transparence et de lumière dans la peinture des fleurs, mais aussi des paysages, des personnages, des animaux. »

Une première esquisse au crayon délimite sur la feuille blanche les contours de ce que sera la future aquarelle avant que la magie de l’eau et de la couleur ne fasse le reste avec sous le pinceau tenu par l’artiste. Il aime jouer avec la mouvance des fluides, la circulation de la lumière, les aléas de l’eau (mers, rivières et étangs), de la rue, de la douceur et de la légèreté des fleurs (particulièrement les roses), aux couleurs, tout en nuances et raffinement.

Autant de précieux éléments pour recréer l’atmosphère d’un moment ou pour transmettre l’émotion de l’instant. Jean-Claude Papeix est un peintre figuratif en aquarelle.

Très attaché au Limousin, il ressent le besoin de reproduire sur le papier les impressions de ces lieux qui sont familiers aux habitants du territoire, où chaque détail lui est intime et la lumière précieuse

 

Photo de Jean-Charles PEYROUNY
Jean-Charles PEYROUNY

Peintre pastelliste

 

 

Source d’émotions, l’univers graphique a toujours exercé sur Jean-Charles Peyrouny une fascination.

Il a commencé à dessiner bien avant d’apprendre à écrire.

Un jour, à douze ans, il accompagne son père chez des illustrateurs et s’installe sur un coin de table, observe l’activité de ces artistes qui vivent de leurs crayons et pinceaux, il contemple à loisir les rouleaux de papier et les cartons à dessins. Le virus s’immisce en lui.

 

A seize ans il se destine aux Arts Appliqués. Les aléas de la vie lui font prendre une tout autre direction. Il devient dessinateur industriel et il embrasse une carrière dans l’industrie. Dès lors le dessin artistique n’est plus qu’un hobby.

 

C’est en 1998, lassé de la vie trépidante de la capitale, qu’il décide de rejoindre la terre de ses ancêtres, la Dordogne. Associé au peintre Robert Billant au sein de l’Académie Pictura, à Bergerac, il y crée une section où il enseigne le dessin et le pastel et il entame une carrière de peintre pastelliste.

 

Photo de Sylvie POIRSON
Sylvie POIRSON

Autodidacte, j’ai toujours été attirée par le dessin, discipline pour laquelle j’ai suivi des cours pendant mes loisirs afin d’en apprendre les différentes techniques. Je me suis essayée aux techniques de l’aquarelle, de la peinture acrylique, puis du pastel.

Le contact direct avec la matière, ses côtés velouté et sensuel m’ont rapidement séduite. Le pastel est devenu une passion. Mes maîtres de formation sont les pastellistes talentueux : Patrick Bechtold, Pénélope Milner, Sophie Amauger, Peter Thomas et Michel Breton.

Je pratique cette technique depuis plus de 10 ans. Je suis inspirée par les émotions que me procurent mes promenades dans la nature et en bord de mer (Bretagne).  Les paysages riches en couleurs, les ciels nuageux aux tons pastel, la mer mouvementée ou les cours d’eau paisibles ne me lassent pas. L’eau est devenue un sujet de prédilection.

Ma démarche artistique : interpréter selon mon ressenti de pastelliste les instants magiques et colorés capturés à travers mes photographies.

J’aime aussi installer mon chevalet en pleine nature pour peindre sur le vif.

Je suis membre de : Art du Pastel en France, Société des Pastellistes de France, Pastel en Périgord, Pastel en Bourgogne, Pastel d’Opale, Pastel en Yvelines, PSEC (Société de pastel de l’Est Canada), Pasit Italie, Cercle des ArtistesbEuropéens.
Collaboratrice revue Pratique des Arts.

Avec l’animation d’ateliers artistiques ou de stages ponctuels, je prends plaisir à transmettre ma technique du pastel en guidant chaque personne désirant s’exprimer par l’art dans un esprit de convivialité.

Photo de Alain PONÇON
Alain PONÇON

Alain Ponçon est né en 1947 à Moigny (91). Son atelier est situé à Saint-Maur-sur-le-Loir (28) France.

Depuis sa première exposition, en 1971, à la Ferté-sous-Jouarre (77), ses oeuvres ont beaucoup voyagé aussi bien en France qu’à l’étranger. Son besoin de ruptures le pousse à travailler simultanément plusieurs séries. Il puise le substrat dans son propre vécu, dans sa sensibilité au présent, et exprime son ressenti dans une écriture poétique à plusieurs niveaux de lecture. Son univers est bien identifiable : il revêt des couleurs qui, pour être souvent vives, ne parviennent pas toujours à dissimuler la complexité d’un contenu où se mêlent la solitude, le rêve, le couple, les problèmes de l’Humain élargis aux interrogations sociétales.

 

… J’utilise l’acrylique pour les sous-couches et l’huile pour les couches supérieures. Je n’ai jamais pu abandonner l’huile malgré le long temps de séchage. Cette lenteur ne suit pas toujours le rythme de la création mais permet le dialogue avec le tableau.
L’origine d’une peinture est complexe. Chaque peinture a son histoire. Mon grand livre de toiles suit une chronologie imprévue, chaotique, mais non dénuée de signification.
… Cela commence par une envie qui se prolonge par quelques traces de fusain que je dessine ou efface au gré de mon ressenti, démarche déterminante pour la réussite de l’œuvre, puis je superpose les couches de peinture, jusqu’à, parfois, saturer les couleurs… J’aime faire un maximum de lectures de mes peintures ainsi réalisées, sans refuser pour autant l’ambiguïté. La réalisation d’un tableau peut prendre plusieurs mois ou quelques heures. Le temps ne fait rien à l’affaire….
… Je me nourris de nuages et de vent, de rencontres qui m’aident à découvrir et à montrer ces humains  ordinaires et pourtant si extraordinaires  porteurs de solitude, de tendresse, d’émotions, de dérisoire, de rêves, de blessures connues et inconnues, tous soumis au temps qui passe…

… Conscient des  bouleversements  mondiaux  qui nous projettent dans un avenir technologique, économique  voire culturel incertain – progrès ou  régressions dont on ne peut toujours déceler les contours – je  peins dans l’ombre de ma grotte…               Alain Ponçon 7 septembre 2016 (Extraits)

Photo de Frantz PRIKING
Frantz PRIKING

Peintre expressionniste attiré par Emile Nolde, Jawlinsky, Kandinsky et Permeke dont il retiendra le cerne noir, il se lie d’amitié avec Berthold Brecht qui lui apporte l’hospitalité durant 10 mois.En 1951, il quitte l’Allemagne pour Paris, y séjourne quelques mois puis descend vers le Sud et s’arrête à Villeneuve-lès-Avignon. Cette même année, sa peinture toujours aussi fauviste, à la manière du Bauhaus, devient totalement cubiste au contact de Picasso qu’il rencontre à Arles à la suite d’une corrida en 1952. Il passera sept mois en sa compagnie à Vallauris. Il se rapproche des théories de Brecht qu’il ne quittera plus tout au long de sa carrière de peintre. La précision, la simplification, le juste objet à sa juste place, telle sera sa conception picturale.

Il est remarqué par Emmanuel David qui le prend sous contrat en 1957. En 1958, la lumière du Midi, le caractère insoumis d’Oppède-le-Vieux dans le Luberon, où il a acheté une demeure médiévale, transforme sa vision du paysage.

Jusqu’en 1970 sa peinture était le reflet d’une certaine conscience du monde extérieur. A partir de 1970, un tournant se fait dans sa peinture : la « forme » devient plus symbolique. Il a besoin d’introduire une nouvelle vision de la réalité et de l’espace. Ce qu’il peint est une exploration d’un autre monde. Le cheval est omniprésent, les traits de perspectives sont autant de chemins à prendre. Les volumes fermés, les roches dans l’espace, la femme à tête d’aigle sortant de la terre, ne sont pas que des symboles mais l’expression d’une pensée profondément réfléchie. Elle nous amène vers l’au-delà, vers un monde qui nous entoure et que nous ne voyons pas. Et c’est ainsi que le château de Val, dernière œuvre de sa vie, semble traverser l’espace, planté sur une météorite et flanqué d’un arbre venu d’ailleurs. Seule une walkyrie aux ailes déployées et prête au combat, est venue se planter sur la passerelle pour protéger Val de ses assaillants.

Priking est mort peu de temps avant le vernissage de son exposition à Val le 10 Juin 1979. Emmanuel David est venu spécialement faire un pèlerinage au château pour rendre hommage à son peintre.

Photo de Slawa PRISCHEDKO
Slawa PRISCHEDKO

Né en 1957 en Ukraine, Slawa est diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Kiev et de l’Institut National d’Art d’Odessa en scénographie.

Dans ses peintures Slawa allie la délicatesse à la justesse du trait pour nous régaler avec des œuvres émouvantes qui évoquent la Renaissance italienne.

Dirigeant une Académie de peinture, il a l’habitude de l’enseignement et interviendra aux côtés de Viktoria.

Vous apprécierez ses explications théoriques et ses extraordinaires démonstrations de portraits de femmes.

Site internet : http://prischedko.de

Photo de Viktoria PRISCHEDKO
Viktoria PRISCHEDKO

Viktoria Prischedko est née à Kischenjow, en Moldavie.

Diplômée de l’Académie des Beaux-Arts de Kiev et de l’École d’architecture du Monument à Trieste, elle s’est ensuite tournée vers l’aquarelle et est membre de l’Association des Arts Plastiques et de l’Institut Européen de l’Aquarelle.

L’artiste a obtenu de nombreux prix et distinctions en Allemagne, France et Belgique, notamment lors du Salon de L’Aquarelle de Namur, en 2005.

Site internet : http://prischedko.de

Photo de Hartmut RAASCH
Hartmut RAASCH

Artiste dessinateur né en 1945, près de Berlin.

Hartmut Raasch a fait ses études à l’université de Berlin, département arts plastiques. Après cinq années de travail comme dessinateur à l’Institut psychologique de l’université de Berlin., il a décidé de se lancer, dans des études de médecine, métier qu’il a exercé pendant vingt ans.

Son originalité : il s’est spécialisé dans le dessin à la mine de plomb, au crayon de couleur et l’aquarelle. La plupart de ses oeuvres affichent une tendance à la critique sociale et culturelle, avec des éléments surréalistes et légèrement fantastiques.

L’artiste puise son inspiration dans son enfance : il habitait à côté d’une ancienne forge et à côté de la gare de rangement des locomotives. Il aime représenter ces vieilles machines, avec un peu de rouille, des souvenirs d’enfance, comme « une locomotive à vapeur, conduite par son grand-père, qui s’arrêtait juste devant sa maison ». Les décors industriels, les vieux murs, les catacombes et la nature sont ses sujets favoris.

Ces œuvres sont très surprenantes, un mélange de dessins au crayon, avec moult détails, et d’aquarelle, parfois en noir et blanc, et parfois hautes en couleurs.

Photo de Ingrid RAASCH
Ingrid RAASCH

Née en Allemagne, en 1950, Ingrid Raasch a fait des études de peinture classique et de philosophies asiatiques à Berlin et à Samath (Inde). Sa première exposition remonte à 1975 à la galerie Cordier, à Paris. Elle vit en Bretagne depuis 1990. Sa façon de peindre change alors pour évoluer vers le structurel. Elle se dit appartenir au mouvement du réalisme fantastique. «Il ne faut pas chercher à comprendre l’abstrait, ça plaît ou ça plaît pas», Ingrid Raasch expose surtout en France et en Allemagne, mais aussi en Suisse, Dubaï et États-Unis. Il lui arrive aussi d’exposer de la sculpture avec son frère. Des aquarelles grand format et sous verre ainsi que des huiles sur toile.

L’état de peindre – une aventure intéressante Non consciente du pourquoi, touché par les mouvements, par les lumières, par les couleurs dans mes environs, suggéré par l’esthétisme des structures et reflets, loin de vouloir frapper ou choquer, loin du pouvoir de la photo, et jouer avec les hasards. Je ne pense pas être dans l’abstraction, je ne désire pas non plus reproduire l’apparence du monde, mais simplement poser une émotion, un désir, un souvenir dans le spectateur, transférer une émotion artistique. Réussir cela est une récompense. Traduire l’esthétique et l’émotion pour tous est impossible heureusement. Aucun discours savant, pas de justification, l’image sentimentale intérieure à reproduire est au centre de la réflexion. Quelle technique, quelle chimie employer ? Les transparences, je les trouve dans les techniques des émulsions à l’oeuf ou dans la technique du glacis, des couleurs en poudre broyée, dans les vernis, les superpositions de couches fines pour les couleurs opaques, avec les poudres de la caséine ou de la gomme arabique soit en émulsion avec de l’eau, de la colle ou des huiles. Structures suggérées avec du papier, sable, filasse, herbes, etc. Je désire obtenir une ambiance et je travaille aussi longtemps que nécessaire, même si cela dure un ou quelques mois, ou je détruis si je ne parviens pas.

Photo de Patrick REAULT
Patrick REAULT

Né en octobre 1955 à Bayonne, est un peintre contemporain français.

Après avoir grandi au bord de la Dordogne, il devient en 1975 acteur au théâtre et musicien dans un groupe formé à Clermont-Ferrand.

Au début des années 1980, il s’installe à Marseille où il commence sa carrière de peintre, après avoir observer un aquarelliste sur la place aux Huiles.

Autodidacte pour garder toute son authenticité et sa sensibilité, c’est jours et nuits dans une cave, qu’il dessine, qu’il peint sans cesse. à la recherche de ces jeux de lumières que lui ont tant inspirés ces collines Provençales, ainsi que ces deux maîtres que sont Nicolas de Staël et William Turner. Il vend ses premières aquarelles sur les quais du Vieux Port de Marseille et les dimanches ensoleillés sur la jolie petite ville de Cassis.

Puis, c’est à Paris qu’il gagne ses lettres de noblesses. Une constante évolution de sa technique caractérise le travail de Patrick Reault.

Après ses débuts à l’aquarelle, ses toiles seront à l’huile pendant une dizaine d’années mais les temps de séchage sont bien trop longs.

L’acrylique lui permet plus de liberté dans ses créations et travail sur la matière. Sa peinture est spontanée, rythmée et intense tels ses paysages colorés.

Patrick Reault expose en Asie, aux États Unis et en France et son talent lui vaut les faveurs de nombreux collectionneurs dans le monde

Photo de Catherine REY
Catherine REY

Enseignante de profession, diplômée des Beaux arts, je pratique l’aquarelle avec passion depuis 2007.

C’est un médium exigeant et seule la pratique régulière et réfléchie sont la clé d’un soi-disant savoir faire…

J’ai été séduite par la douceur, la légèreté et la transparence offerte par l’aquarelle mais aussi par la force que l’on peut donner aux pigments, l’imprévisibilité et les surprises qu’elle suscite dans chaque oeuvre.

Rien n’est figé, tout est vivant dans l’aquarelle… J’aime les antagonismes qu’elle offre au spectateur: les contrastes entre transparence et opacité, ombre et lumière, netteté et flou, réalisme et suggestion…

Les sujets que j’affectionne sont multiples mais mes thèmes de prédilection restent les vieux objets, les objets du quotidien, les grands oubliés de nos placards…

J’aime leur redonner vie et émotion, les sortir de l’anonymat et de leur torpeur. J’aime aussi peindre des objets qui pourraient de prime abord ne pas présenter d’intérêt particulier parce qu’ils sont blancs… et pourtant!!

J’utilise les techniques de travail dans l’humide et sur le sec, tout dépend de l’effet escompté… Je commence mon travail par les valeurs fortes donc les ombres (c’est une étape en monochrome où les ombres et les lumières prennent place) et ensuite les glacis successifs donneront leurs couleurs à l’oeuvre. Les retraits et les projections de pigments viennent rythmer et dynamiser l’aquarelle, comme la ponctuation dans l’écriture et ainsi lui enlever une trop grande sagesse!!

Je fais partie de la Société des aquarellistes de Bretagne et de la IWS France (International Watercolor Society délégation France) avec laquelle j’ai pu exposer sur le plan international : au Mexique en février 2016, en Bulgarie en juillet 2016 en Hongrie, au Pakistan et en Albanie en mars 2017…

J’aime partager ma passion pour l’aquarelle que je transmets dans des cours ou des stages dans mon atelier rue Emile Guyader à Brest.

Alain RODIER

Il est né en 1962 à Saint Julien en Genevoix en France. Il étudie l’économie à Paris, puis rapidement se tourne vers des études dans la réalisation de films ainsi que dans la photographie. 

Il devient assistantdans les deux domaines de 1981 à 1983. En 1983 du début d’une carrière de photographe de mode avec des séries pour Vogue qui va durer jusqu’en 1989 avec de longues périodes de temps en Australie, États-Unis, France, Italie et se termine au Royaume-Uni, à Londres en 1990. C’est alors qu’il arrête la mode et se concentre sur ses propres oeuvres d’art commençant par travailler sur des collages, puis sur des peintures.
 Il commence à inclure des photographies sérigraphies prises par lui-même dans la composition de ses peintures et expérimente avec la technique jusqu’en 1991. Première exposition personnelle à Londres.
De 1991 à 1992 il passe son temps entre Londres et Paris et travaille sur des portraits de commandes et une nouvelle exposition. Puis après un court séjour aux États-Unis, il décide de quitter l’Europe pour un certain temps et déménage à Los Angeles où il effectue essentiellement des portraits.
Fin 1992 il vit à New York pour trois ans. Première exposition américaine à New York en 1994.
1995, première exposition à Paris. Il retourne brièvement à New York puis repart à Londres. Une grande exposition à Londres en 1998.
Il fait des vas et viens entre Londres et Paris jusqu’en 2007. En 2008 passage à Amsterdam, la première exposition en Hollande. Il y reste jusqu’à la fin de l’année 2009.
De retour à Paris il vit et travaille à Neuilly sur Seine jusqu’en 2013.
Période Ukrainienne ou il vit à Kyiv jusqu’en 2018. Il habite à
« Maidan » lors de la deuxième révolution Ukrainienne qui voit le President Janukovic se faire chasser du pouvoir, événement qui marque le début d’un tournant vers l’Europe de l’Ukraine au détriment de la Russie. Un livre photos est produit et édité à l’occasion. Nombreuses expositions a Kyiv, Odessa, Kharkov, Zapporoje et Lviv.
En 2018 début de la période Marseillaise..

Patrick RUBINSTEIN

Né à paris en 1960. Dans sa famille les arts apportent l’évasion, et le quotidien, la tendresse. Patrick grandit dans ce cadre, entre une mère passionnée de cinéma et un père avant-gardiste et touche-à-tout.

A cinq ans, il est initié à la gouache et au film super huit.
Les jeux d’optique occupent une place centrale dans les créations de la famille. D’abord avec son père, puis seul, Patrick découvre une nouvelle écriture esthétique. Il découvre l’art cinétique par les oeuvres de Yaacov Agam. Sa magie lui plaît. En jouant avec deux portraits, on pourrait voir ainsi tantôt l’un, tantôt l’autre, tantôt la superposition des deux.
En théorie, le procédé parait simple ; en pratique, il s’avère complexe. Patrick s’accroche. Il affine sa technique. Rapidement, le mot se passe. Aux premiers encouragements succèdent alors les premières ventes. Patrick a 18 ans. L’entreprise familiale où se joue la mode de demain l’attire. Après le bac et des études de commerce, il s’implique dans tous les aspects du métier. Il apprend sur le tas. A vingt-cinq ans, il crée sa marque : Energy. Il exporte aux Etats-Unis, en Scandinavie, en Europe et au Moyen-Orient. En France, le marché change.

En 2005, il est temps de tourner la page, de prendre un peu de recul.
En 2006, Patrick perd son père. Il repense alors à Yaacov Agam, ce précurseur de l’Art cinétique… il reprend une photo, la plie et explique à ses filles le jeu visuel ainsi créé. « L’op art vient de la contraction du mot optique, en référence à l’Art optique ou l’Art en mouvement. » Avec l’aide d’un ingénieur, il décide de relever les défis techniques de la 3d, afin de retrouver la liberté infinie de la création et les lettres de noblesse du travail artisanal qu’il effectuait jeune homme. Après trois années d’acharnement il peut enfin envisager tout type de format, même des oeuvres monumentales. Il s’entoure de collaborateurs qu’il forme à son art. Il ne lui reste plus qu’à créer. En 2013, soit cinq ans après avoir vendu sa première oeuvre à Drouot, il est classé 89ème au top 100 des artistes français les mieux cotés, et est une signature de l’op art figuratif contemporain. Dans des formats monumentaux ou intimistes, il explore toutes les facettes de la cinétique pour rendre hommage à la culture pop ou nous faire partager des messages heureux. De Ray Charles à Marilyn Monroe en passant par Mick Jagger ou Michael Jackson, Patrick Rubinstein nous entraine dans un univers à part entière. « Rock », «Make life great », « Hope », « Music » ou encore « Love », il impulse une fantaisie communicative qui balaie d’un grand revers de manche tout pensée négative. Un anti-coup de blues ? Assurément puisqu’on se l’arrache de New York à Singapour.

 

Photo de France SALAÜN
France SALAÜN

Je m’adonne à l’aquarelle en autodidacte depuis quelques années.

Née à BREST, dans le Finistère, à la quête incessante des instants privilégiés où la lumière se prête à la technique de l’aquarelle, les bords de mer m’inspirent quotidiennement sans qu’il soit besoin de s’éloigner des bords de la Penzé, là où nous habitons ou de la Baie de Morlaix.

 

Mais c’est avec les fleurs que je m’exprime le mieux. Je suis libre, mon geste est plus spontané.

 

Régulièrement, nous nous échappons (Gilles Brunerie et moi-même) pour courir le monde avec nos tubes de couleurs pour les essayer aux eaux d’une fontaine en Inde, au Maroc, aux confins du Pérou, Laos, Birmanie et annuellement Bali.

 

J’ai suivi et je suis toujours plusieurs stages afin de m’imprégner des différentes techniques. Tous me procurent une joie, une frénésie folle de peindre, d’essayer, de réussir ou pas, avec chaque fois un stress de la feuille blanche. Mais qu’importe !!!

J’aime à me mettre en danger et en situation difficile et c’est ce qui me fait avancer, je pense.

Photo de Ekaterina SAVA
Ekaterina SAVA

Ekaterina est une artiste et architecte italienne, leader de la Société internationale d’aquarelle en Biélorussie, participante à l’exposition collective nationale d’art depuis 2009.

Ses œuvres ont été marquées et récompensées dans des dizaines de plus grandes expositions et festivals en Europe, en Amérique du Nord et du Sud, en Asie du Sud-Est et dans la CEI.

Au cours des dernières années. Ekaterina a fondé l’école d’aquarelle à Minsk, où plus de deux mille étudiants auraient pu rejoindre cet art extraordinaire.

Photo de Igor SAVA
Igor SAVA

L’aquarelliste italien est né en 1973 à Hancesti, en Moldavie.

Il a terminé ses études au lycée « Ilya Repin » à Chisinau (Moldavie), puis en 1999 à l’Académie des Beaux-Arts de Timisoara, où il a obtenu son diplôme en design graphique et industriel.

La même année, il décide de déménager en Italie. À Rome, il suit des cours de peinture à l’Académie des beaux-arts et est l’un des fondateurs de l’école d’aquarelle « Aquarelle Art Studio ». Il passe son temps à peindre et à enseigner l’aquarelle à Rome et dans le monde entier.

C’est un artiste international qui a été nominé et honoré dans de nombreux festivals et prix mondiaux au cours des cinq dernières années.

Photo de Robert SGARRA
Robert SGARRA

Il découvre la peinture à l’âge de 13 ans. Autodidacte, il est influencé par les grands maîtres de la peinture. Ce créatif insatiable, à la fois sculpteur et peintre plasticien, possède une large technique maîtrisée et accomplie au service d’une flamboyante inspiration dont l’œuvre est dense et imaginative.

Généreux dans son expression picturale, imaginatif dans ses sculptures, Sgarra peut dérouter certains puristes tant sa créativité peut être aussi bien fulgurante que posée inattendue, que classique.

Sorcier de la matière, peintre inclassable ? Chez Robert Sgarra, le pop’art et la fougue coloriste fauve sont allègrement revisités dans des œuvres inventives et audacieuses, parfois monumentales, il varie les formes et les couleurs, suivant son humeur et son humour, toujours avec la même passion qui le hante.

Il réalise dans les années 90 (le collage et acrylique sur pierre) pour des oeuvres et trophée pour des personnalités tel que : Zidane, Luis Fernandez, Partick Viera, Baresi, Karpov, Pinna etc… il continua quelque années plus tard sur d autres supports (métal, alu) sous les influences du Pop et Street Art. En parfait metteur en scène, il ose les couleurs à l’extrême, peintre à la créativité foisonnante, il nous livre une rare alchimie créatrice de moments émotionnels indéfinissables.

1999 : Grand prix et médaille d or pour une sculpture à San Rémo.

2005 : Sgarra realise un cubisme, la fameuse partie d’échec, des deux champions du monde; Karpov et Etienne Bacrot . Le palais des festivals de Cannes vivra durant une semaine, au rythme des six parties, clôturées par la remise des trophés signés robert Sgarra.

2006 : Il rencontre BB King à New York pour lui remettre une toile cubisme.

2009 : Il va même créer une nouvelle gamme de couleur et peinture sur les

« bag in box » (sorte de cubi à vin), pour les vignerons Ardéchois.

2012 : St Tropez fête les cinquante ans du Papagayo, une partie du nouveau décor est signé Sgarra. Sa façade avec ses deux perroquets géants, vous accueille avec deux mètres cinquante de métal. A l’intérieur, un pop art noir et blanc de dix mètres, vous emmène autour de l’escalier, et s’enroule sur les colonnes de la boite mythique. Bardot Barcley ont été immortalisés par Sgarra, cette aventure, donnera naissance à une grande amitié, le roi des nuits tropéziennes Franklin … un génie dans l’art contemporain.

Franck SHEPARD FAIREY

Né le 15 février 1970 à Charleston en Caroline-du-Sud, Franck Shepard Fairey, de son vrai nomest un artiste américainsérigraphistemuraliste et illustateur il vit aujourd’hui à Los Angeles.

Il plonge dans l’univers du graphisme dès l’âge de 14 ans en dessinant des images qui seront floquées sur des t-shirt et des skateboards. Influencé par l’œuvre de Andy Warhol ou encore l’artiste russe

Alexandre Rodtchenko, il entre à 18 ans à l’école de design Rhode Island School of Design et crée avec des copains la campagne de stickers André the Giant Has a Posse. Des stickers à l’effigie du catcheur français André Roussimoff. Ces affiches en papier, vinyles, sérigraphies ou photocopies sont placardées sur les murs de leur ville, Providence, avant de s’étendre à tout les Etats-Unis et à des dizaines de milliers d’endroits dans le monde. Pied-de-nez à la culture hip-hop, cette campagne de street art se transforme en OBEY, « obéis » et cherche à parodier la propagande américaniste. Résolument anti-Bush, Shepard Fairey se fait reconnaître avec une nouvelle campagne de street art nommée « Be the Revolution » en 2004. Pourtant, 20 ans après son André the Giant/Obey, il devient lui-même propagandiste, mais cette fois en faveur de Barack Obama. Il réalise l’affiche de campagne de futur président des Etats-Unis, nommée « Hope », puis déclinée en « Vote » ou « Change ». Celle-ci contribue fortement à valoriser l’image du candidat qui le remercie après son élection dans une lettre « Vos images ont un effet profond sur les gens, qu’elles soient vues dans une galerie ou sur un panneau indicateur ».

Fondateur de différentes sociétés de graphisme depuis 1992, il met son talent artistique au profit de grandes entreprises afin de réaliser des opérations marketing et virales ou des illustrations de produits. Il se spécialise ainsi dans la « guérilla marketing » avec des clients comme Pepsi, Hasbro ou Netscape pour qui il crée la mascotte de Mozilla. Il réalise les jackets des jeux vidéos « New Super Mario Bros 2 » et « Luigi’s Mansion 2 », ainsi que des pochettes d’albums pour Black Eyed Peas, Smashing Pumpkins ou Led Zeppelin. En 2012, il peint une fresque géante de 40 mètres de haut dans le 13è arrondissement de Paris. Shepard Fairey vit sans cesse aux limites de la légalité. Plusieurs fois rattrapé par la loi, il doit se justifier devant les tribunaux plus d’une dizaine de fois. Tantôt en raison de graffitis sur les murs tantôt pour l’utilisation d’une image sans droits… Ses arrestations ne l’empêchent pas de rester populaire aux Etats-Unis. Lors de certains de ses déboires avec la justice, ses expositions dans différents musées doublent leur fréquentation.

Photo de Keiko TANABÉ
Keiko TANABÉ

Keiko est née à Kyoto, au Japon dans une famille aimant l’art. Elle a toujours aimé dessiner et peindre et a remporté de nombreux prix dans son enfance.-Après-ses-études-(elle-a-obtenu-un-B.A.-en-communication-interculturelle-(Université_chrétienne-internationale,-Tokyo, Japon)-et-une-maîtrise-en-éducation-internatio—nale (UCLA, Californie)), elle a occupé différents postes de relations internationales.Au cours des 30 dernières années, elle a beaucoup voyagé, et son amour des voyages et son intérêt pour les autres cultures, l’ont finalement ramenée vers la voie artistique en 2003. Elle a acquis les compétences de base en dessin et en aquarelle dans une école de la communauté locale de San Diego, et  entrepris son premier projet d’artiste. À Travers la Mer d’Azur et le Ciel de Provence : un hommage à Sa Joie de Vivre (Kosei Publishing, Osaka, Japon) a été publié en août 2003, rédigé par son père, un érudit renommé de la littérature française au Japon, et illustré par Keiko. Puis elle s’est investie pour maîtriser la peinture à l’aquarelle. Principalement autodidacte, sa carrière artistique professionnelle débute en 2005 avec ses expositions en public. La même année, elle suit un atelier d’Alvaro Castagnet et découvre la joie de peindre en plein air. Ses peintures ont été sélectionnées pour de nombreuses expositions en Amérique, en Asie et en Europe, et sont achetées par des collectionneurs privés et d’entreprise du monde entier. Elles ont été publiées dans les principaux magazines d’art des États-Unis, d’Europe et du Japon. Elle publie elle-même ses livres d’art et six livres ont été achevés en 2014. Elle est également une instructrice d’atelier très recherchée. Depuis 2011, elle a été invitée et a mené à bien plus de 200 ateliers et de nombreuses démonstrations en direct à travers le monde. Elle a participé à de nombreuses expositions artistiques, notamment à la Transparent Watercolor Society of America, l’International Watercolor Society, la Northwest Watercolor Society, la Utah Watercolor Society et à la New Mexico Watercolor Society. En 2015, elle a été nommée ambassadrice officielle de Winsor & Newton. En 2018, elle a été nommée au conseil consultatif de l’American Watercolor Weekly. Keiko vit actuellement à San Diego, en Californie.

Photo de Jacques TANGUY
Jacques TANGUY

Peintre breton, une de mes passions est d’exprimer les charmes de la Bretagne par la couleur.

Ses paysages de terre et de mer et sa richesse culturelle sont au cœur de ma démarche qui repose sur les émotions ressenties de l’observation de scènes étonnantes de beauté et de poésie.

Le Grand Ouest que je parcours régulièrement est une grande fresque dont je tente, par pur plaisir, de capter quelques pépites !

C’est cette interprétation/transformation d’émotions en une construction méthodique très personnelle de formes, de valeurs et de couleurs qui me séduit à travers le jeu des rythmes, des contrastes, des équilibres, des harmonies…     

Mon parcours de valoriste/coloriste s’est construit lors de trois enseignements majeurs qui m’ont permis d’élaborer ma démarche sur les valeurs :

 l’enseignement de Monique Baroni (Présidente d’Honneur du salon d’Automne de Paris – coloriste internationale renommée), dans les années 2000 à 2004,

– les cours de l’Académie de Port Royal à Paris avec Arlette Le More, autre grande coloriste, en 2004 et 2005,

– les cours des Beaux-Arts de Rennes, en 2009 et 2010.

Ces enseignements d’excellente qualité et complémentaires sont venus enrichir ma formation initiale de scientifique qui m’a apporté des bases d’architecture, de composition et d’éclairage.

Je peins toujours dans une ambiance musicale qui me donne l’illusion d’écrire une partition de notes colorées (des noires, des blanches, des silences, des changements de rythmes…).

Depuis 2011, de nombreuses expositions, principalement dans l’ouest de la France (par choix de vie) m’ont permis d’approfondir, sur des sujets très variés, ma connaissance des rapports entre lumières et valeurs, et de mieux comprendre les principes de la synthèse soustractive des pigments.

Photo de Louis TOFFOLI
Louis TOFFOLI

La mémoire du monde

Malgré l’obstination de divers salons et nombreuses galeries d’art prétendument d’avant-garde à taire l’œuvre de Toffoli, le public a fait son choix et à rendu justice à un artiste authentique qui ne méritait pas une telle kabbale.

Au même titre que Dali ou Buffet, Toffoli est présent dans les foyers des gens simples sous forme d’affiche et dans les demeures prestigieuses sous forme de tableau.Sa peinture est un hymne à tous les hommes… Des peintres comme Toffoli qui ont consacré leur vie à la recherche du beau et du vrai peuvent recréer un sentiment de fraternité entre les hommes. … Ne favorisant aucune culture au détriment d’une autre, Louis Toffoli aime la famille humaine dans sa diversité et l’observe partout avec la même ferveur. …

Avant de devenir un peintre célèbre et reconnu, il a connu des jours difficiles. C’est la raison pour laquelle il est si bon et généreux envers les autres et si respectueux des différences. Tailleur, il a eu les mains adoucies par l’exercice raffiné et délicat de la couture; forgeron, il a eu les mains endurcies par le travail sur le fer. Sa peinture aux mouvements élégants et rigoureux porte les traces de cette double identité. Endurci et adouci par la vie, Toffoli a recherché l’humanité partout : dans les fêtes Juives, Chrétiennes, Musulmanes, Bouddhistes et laïques.

Son regard sur les choses est chargé d’une lumière presque mystique.  Il loge dans le coeur des ouvriers et des paysans. …Universel dans sa démarche, il célèbre avec passion la terre des hommes. Il mérite vraiment le titre honorable de « citoyen du monde ». Il ne trouve son bonheur que dans la diversité. Il devient Chinois en Chine, Grec en Grèce, Turc en Turquie, Tunisien en Tunisie, Egyptien en Egypte… Et sa peinture le traduit admirablement bien… Du paysan qui arrose la terre avec sa sueur à la mère qui enlace son enfant avec passion, il observe la nature humaine affectueusement. Sa terre n’a pas de frontières et accueille dans l’hospitalité de la toile les visages multiples d’un monde qui tarde à devenir fraternel.

En prônant un retour à l’homme, il rappelle que l’idéal humaniste est d’une brûlante actualité. Le message de Toffoli est passé…

Chelbi  (extraits)

Photo de Joëlle TROUSSIER
Joëlle TROUSSIER

Artiste née en 1962 vivant en Bretagne.

Elle acquiert le goût du dessin en découvrant dans la bibliothèque de son père, un livre de Léonard de Vinci. Depuis cette date, la ferveur de la création l’habite.

Ses portraits féminins sont épurés au regard expressif. Les traits sont mis en valeur par un décorum et un environnement très élaboré, aux couleurs thématiques soigneusement choisies.  Celles-ci accentuent plus encore l’impact de ces personnages et de l’anecdote ou de la mise en situation qui s’ensuivent.

Son œuvre est l’aboutissement de trente-cinq ans d’exploration artistique.

 

Ses tableaux sont construits de fond épais grâce au couteau et aux médiums modernes qu’elle emploie ainsi que de mélanges de peinture, de fusain et de pastel gras qu’elle superpose à tous ses effets de matières.

La couleur de ses oeuvres est exploitée de façon à créer des contrastes essentiellement chaud et froid qu’elle affectionne tout particulièrement.

Le but étant de synthétiser les formes afin qu’elles se situent sur une frontière entre la figuration et l’abstraction.

 

Ses expositions en France et en Europe lui permettent de se confronter à des styles divers et variés l’aidant à visualiser l’art qui lui est propre.

 

Michel TYSZBLAT

 

Peintre françaisné en 1936 à Paris, d’une famille origine polonaise, il est mort dans la même ville le 27 novembre 2013.

Michel Tyszblat est l’élève d’André Lhote en 1956.

Après son service militaire en Algérie, il intègre l’atelier de Robert Lapoujade en 1960.

Considéré comme proche de la figuration narrative, Michel Tyszblat exerce en 1968 une activité de « peintre-conseil » auprès de malades mentaux dans un hôpital psychiatrique. Au début des années 1970, Michel Tyszblat rencontre Raoul Jean Moulin, un critique à la tête de la direction artistique du parti communiste de Vitry. Par son intermédiaire, Michel Tyszblat participe au concours de Vitry et remporte en 1972 le premier prix pour son œuvre Le grand passage de 1970. L’année suivante, il devient membre du jury et y participera jusqu’en 1990. Dans les années 1980, il enseigne les arts plastiques et l’histoire de l’art contemporain à l’école d’architecture de Versailles. Michel Tyszblat est promu officier de l’Ordre des Arts et des Lettres en 1990.

Il a construit une œuvre singulière qui échappe à tous les classements

Michel Tyszblat a construit une œuvre singulière qui échappe à tous les classements artistiques. Il a côtoyé les mouvements qui ont ponctué son époque, et plus particulièrement la Figuration Narrative. Exposant dès les années 1960 aux côtés de Bernard Rancillac, Jacques Monory, Hervé Télémaque ou encore Jan Voss, Michel Tyszblat a rapidement souhaité prendre un chemin différent pour ne soumettre son travail à aucune obligation de groupe. Son œuvre est un dialogue constant entre figuration et abstraction, reflet des enseignements qu’il a reçu d’André Lhote puis de Robert Lapoujade. Également pianiste, il est passionné de jazz, musique qui deviendra une thématique de sa peinture.

Photo de Ming Xin WEN
Ming Xin WEN

Née en Chine en 1965, elle a appris la peinture au collège de Gansu.

Après des études aux beaux-Arts de Shandong elle s’installe en 2001 en Belgique où elle épouse l’artiste CAO BEI AN.

Elle a exposé ses œuvres au Printemps de l’Aquarelle et à la Biennale Internationale de Namur en Belgique. Elle fut l’invitée, en 2004, du Festival d’Art de Lyon et a participé à de nombreuses expositions en France.

Cette portraitiste accomplie réalise au crayon et à l’aquarelle de nombreux « arrêts sur images » poursuivant à son rythme sa recherche sur l’alchimie de l’eau et du pigment.

Une plongée au cœur des origines d’où émergent de fascinantes rencontres avec des régions et des hommes.

« J’aime le portrait parce que je m’intéresse au regard, c’est la partie du visage que j’aime le plus travailler : les yeux sont une fenêtre ouverte sur le cœur. J’aime aussi la part de hasard qui règne en aquarelle : impossible de réaliser deux fois la même peinture. C’est un médium fort qui permet de tout exprimer ».

Photo de Véronique WIBAUX
Véronique WIBAUX

Elle est née à Brazzaville au Congo où elle a vécu jusqu’à l’âge de 18 ans.

Son atelier « Les Mujouls » est aujourd’hui chartrain.

Restauratrice de tableaux de formation, elle se consacre depuis 15 ans uniquement à la peinture.

 

Sa Démarche :

« L’humain est au cœur de mes peintures et plus particulièrement la fragilité des êtres. Telle une évidence, l’intégration du papier dans mes œuvres est apparue en 2015 en peignant symboliquement des bateaux en papiers. Mais comment exprimer notre vie qui ne tient qu’à un fil, qui défile tel un scénario qu’on ne maîtrise pas ? Serions-nous des marionnettes aux fils manipulés, on ne sait comment, ni par qui ? Peindre des pantins en papier, les intégrer sur une toile préalablement peinte. Donner une vie, un destin à mes personnages souvent emprunts de poésie, en les imaginant spectateurs dans l’intime pénombre de leur propre cinéma… C’est une façon de lire mes dernières peintures que j’ai le plaisir de vous présenter. »

Véronique Wibaux

Photo de Jason YEOH
Jason YEOH

Jayson YEOH

« Né en 1963 dans l’état malais de Kedah, Jayson Yeoh est un aquarelliste autodidacte.

Sa passion et son amour pour l’art a commencé dès son plus jeune âge.

Son parcours artistique a connu des hauts et des bas. Cependant, sa persévérance l’a amené à ce qu’il est aujourd’hui. Il a eu du mal à choisir entre être professeur d’art ou artiste. En 1991, il créait le Yeoh Jayson Art Center. Il a reçu le prix enseignant exceptionnel du bureau de l’éducation de Shanghai, Hangzhou et Beijing en Chine et beaucoup d’autres pour son excellence dans l’enseignement artistique.

Enthousiaste, il revient très vite vers sa passion première, l’aquarelle. Ses œuvres ont été sélectionnées pour de nombreuses expositions et des concours internationaux.

Malgré son palmarès, il ne se repose jamais sur ses lauriers et cherche constamment à poursuivre des sommets plus élevés et les réalisations dans l’art de la peinture à l’aquarelle ».