Sculpteurs

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Photo de Odile ALLIET
Odile ALLIET

Née le 01.03.1961 à Gray (70), après avoir vécu son enfance dans les Landes, elle réside depuis 1982 à Paris.

Ancienne élève de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués Duperré de Paris, Odile Alliet a travaillé dans différents domaines des arts appliqués : décors pour la publicité, le théâtre, le cinéma (J.Doillon, J.M. Poiré), les grands hôtels (Crillon, Ritz). Elle se consacre actuellement à la peinture, l’illustration (livres pour Nathan et Actes Sud) et depuis peu à la gravure.

Ses dessins et peintures puisent leur source dans une appréhension avant tout intuitive et émotionnelle de la vie sous tous ses aspects, des plus lumineux aux plus sombres : nature, monde de l’enfance et du souvenir, mais aussi nostalgie, enfermement …

A partir de taches d’ombre et de lumière, de signes, des images figuratives, des portraits s’organisent, attirent le regard du spectateur dans une multiplicité de plans de lecture, le convient à s’inventer une histoire dont toutes les clés ne sont pas livrées, ni même pensées à priori.

Toujours ancré dans une grande maîtrise technique, son travail inscrit dans des compositions très contemporaines une inspiration puisée chez les maîtres japonais et flamands. Le choix délibéré de techniques irréversibles (aquarelle, encre de chine, monotype) impose une recherche incessante de la pureté du trait, d’une spontanéité du geste toujours à reconquérir.

Photo de Krystoff ANTIER
Krystoff ANTIER

Autodidacte, Krystoff ANTIER peint et sculpte depuis l’âge de 8 ans, passant de l’huile, à la terre et au bronze avec autant de dextérité. La maitrise de la technique et la gestuelle sont des éléments essentiels à sa création. Il ne se contente pas de peindre un sujet, il le révèle en jouant avec les contrastes, en travaillant la lumière, pour créer une ambiance. Cette aptitude à fixer l’émotion se retrouve dans ses sculptures féminines, travaillées de mémoire. Un rapide dessin, de la terre montée en colombins, sont les prémices d’une œuvre sculpturale, parfois de plusieurs centaines de kilos,  qui allie sérénité et sensualité. Krystoff ANTIER révèle la beauté des corps et des âmes. L’académisme de son œuvre, qu’elle soit peinte ou sculptée, témoigne d’un métier parfaitement maitrisé. Son écriture stigmatise le sujet sans s’absoudre d’imagination et de romanesque. Avec en prime, un esprit poétique qui est une véritable ode à la beauté.

Présent dans de nombreuses collections privées et publiques en France, Belgique, Hollande,  Allemagne,

Grande Bretagne, Italie, Tunisie, Singapour, Hongrie, USA, Canada.

Sociétaire de la Fondation Taylor,  du salon international des arts figuratifs,

de la Fondation des sculpteurs de Hongrie,

des Amis de l’art, des artistes pour l’espoir, et sociétaire des artistes français.

Médaillé du Mérite artistique Européen 2014,

« Maitre sculpteur » lors du salon international  de Eger, en Hongrie en 2002.

Photo de Krystoff ANTIER
Krystoff ANTIER

« Saisir l’instant …. Pour fixer l’émotion »

Peintre Sculpteur français né sur les bords de Loire en 1968.

Professeur d’Art Plastique pour Art-Mano de Varades, Saint Florent le Vieil, Beaupréau, Saint Laurent des Autels.

Sociétaire de la fondation Taylor de Paris Sociétaire Szobraszmuvesz de Hongrie

« Sa peinture s’inscrit dans une immuable recherche des formes et des couleurs. Sa palette ample, aux sonorités denses, reflète la maîtrise d’une huile caressée au couteau. Sa touche à la fois légère et puissante impulse une harmonie dans le mouvement. Krystoff recherche le moindre reflet de lumière pour nous éblouir de tonalités. Cette lumière à la fois vive et douce, insuffle à ses toiles une atmosphère vaporeuse. C’est un artiste qui aime à croquer les moments de la vie de tous les jours, avec de chaudes couleurs, témoignant le plus simplement son bonheur de créer. »

Photo de Michel AUDIARD
Michel AUDIARD

DU MINUSCULE AU GIGANTESQUE LA QUÊTE DE L’UNIQUE

Artiste Tourangeau apprécié du monde entier, Michel Audiard est né à Paris en 1951.

Après un passage aux Beaux-arts en 1968, il brosse des portraits à Montparnasse et sculpte dans de nombreux matériaux (bois, pierre, fer…).

En 1978, il arrête complètement la peinture pour ne se consacrer qu’à la sculpture et monte sa propre fonderie d’art (dans la tradition du bronze et de la cire perdue) en Touraine, région qu’il apprécie à la fois pour sa douceur de vivre et sa proximité de Paris vers lequel rayonne l’essentiel de son activité artistique (expositions, collections, ventes aux enchères).

Pour lui, la cire perdue est la voie royale de la sculpture, car tout sculpteur rêve de finaliser ses œuvres en bronze. Il crée statues, meubles, bijoux et, en 1995, réalise son premier « Stylo Sculpture ».

En 2005 il réalise son premier « Passage », œuvre en métal mettant en valeur «l’invisible, la transparence du statuaire ».

C’est ainsi que, selon son imagination, naissent des œuvres uniques, ou en série limitée, du plus minuscule au gigantesque.

Toutes les œuvres d’art sont créées à la main et sont ensuite directement expédiées à travers le monde entier. Au fil des années, la fonderie est devenue un véritable musée retraçant l’histoire de l’artiste et demeure le lieu de rencontre de grands collectionneurs .

Photo de Paul BILLARD
Paul BILLARD

Pastelliste autodidacte, né à Nantes, il a suivi ses études de kinésithérapeute et a ouvert son cabinet. Il a toujours dessiné.

Après quelques essais de sculpture sur bois et un peu d’aquarelle, on lui offre un coffret de pastels et c’est le coup de foudre ! Il l’adopte d’abord pour ses aspects pratiques (absence de temps de séchage) et sa proximité du dessin, avant d’en faire sa technique de prédilection pour la richesse de ses nuances, l’intensité de ses couleurs chaudes et les infinies possibilités de transparences, de textures qui lui donnent envie d’aller plus loin. Après dix ans de travail en autodidacte, il se rapproche de Pierre Caro dont il suit les cours. Aujourd’hui, Paul Billard est un artiste reconnu. A la retraite, il peut dorénavant se consacrer à son art.

Ses sujets ont d’abord été des scènes du carnaval de Venise et des cavaliers qu’il aime dessiner d’imagination. Ses thèmes sont autant d’émotions rapportées de ses voyages dans ses esquisses aquarellées. L’humain y est omniprésent et les scènes de vie nombreuses : les bals, les marchés, le carnaval de Venise, l’Inde, le Maroc, l’Égypte, mais aussi les chevaux de Mongolie, les nus sont pour lui autant de sources d’inspiration, le tout décliné en couleurs somptueuses où dominent souvent le rouge et le bleu. Il effectue des esquisses à partir de carnets de voyage à l’aquarelle et des photos qu il réalise lors de ces voyages.

Exposant dans les salons régionaux depuis une trentaine d’années, il obtient de nombreux prix. Invité d honneur au salon du pastel en Bretagne en 2010 puis à Carquefou en 2011, et au salon du pastel de Giverny, il a participé aux estivales internationales du pastel de Saint Florent le Vieil également.

Photo de Ray BOTERF
Ray BOTERF

Installé depuis 25 ans sur la commune de Langon,

Il pratique depuis toujours l’univers du bois.

Il utilise la méthode traditionnelle du sculpteur et sa matière.

D’abord Imagier, il entre à la Maison des Artistes et s’oriente vers les corps féminins.

La sensualité du bois, son veinage et sa patine donnent aux corps toute sa splendeur : « Je trouve que la sensualité du bois se prête au corps feminin” dit Ray.

Il travaille le bois, la pierre et le bronze.

“J’ai aussi sculpté des personnages de la légende arthurienne, des bustes de personnes vivantes. Je suis toujours resté dans le figuratif.”

Le sculpteur est pour lui plus un artisan qu’un artiste, un praticien qui travaille avec ses mains.

« C’est très important pour moi de pouvoir être plongé dans mon univers quand je travaille.

Je trouve mon équilibre avec mes outils et ma matière. »

Photo de Jean-François BREHANT
Jean-François BREHANT

Sculpteur sur pierre

Arrivé à la sculpture en 1995, après une année de Beaux-Arts peu concluante… mais le déclic est là.

Travail sur le plâtre au départ, mais rapidement, la matière évolue vers la pierre …granit, grès rose, galets  (Microdiorite) de nos plages des Cotes d’Armor,  marbre… Si mon travail est figuratif, je ne m’attache pas tant à la forme qu’à un ressenti personnel.

De Saint-Brieuc, dans les Cotes d’Armor, nous nous sommes installés, avec mon épouse, en pleine campagne, à Meslin, dans un lieu où bruit et poussière ne gênent pas les voisins.

Je n’utilise pas les outils traditionnels : burins et marteau mais seulement les disques diamant, du dégrossissage à la finition, ce qui peut paraitre restreindre les formes mais crée aussi des défis de réalisation qui me poussent  dans une recherche continuelle. L’organisation de manifestations artistiques, entre autres, la biennale des peintres et sculpteurs de Bretagne,   m’a amené à montrer mon travail de sculpture au travers de différentes expositions. Depuis l’an passé, je suis entré dans l’association Sculpteurs Bretagne et la rencontre avec d’autres sculpteurs  me pousse à m’investir encore plus dans ce qui est pour moi est avant tout un plaisir et une passion.

 

Photo de Jacques COQUILLAY
Jacques COQUILLAY

Peintre officiel de la Marine, Pastelliste et Sculpteur

Jacques Coquillay est né le 3 juin 1935. Élève de 1956 à 1958 à l’école supérieure des beaux-arts de Tours, il y obtient obtient le diplôme national de sculpture, puis élève de Marcel Gimond à l’école des beaux-arts de Paris de 1958 à 1960, il obtient le diplôme supérieur d’art plastique en 1960.

En 1961, il entre dans les ateliers d’Hubert Yencesse et de Raymond Corbin. En 1961, il est logiste au concours du prix de Rome. Durant les années 1960, au jury du Prix de Rome, il rencontre Jean CartonRaymond Martin et Georges Hilbert avec lesquels il se lie d’amitié.

Il constitue un groupe de jeunes sculpteurs, aidé par Paul Belmondo, et réalise plusieurs expositions de groupe.

En 1965, il obtient le prix du Conseil général de l’Oise, et en 1970, le prix Signature.

Jacques Coquillay fait la connaissance d’André Dunoyer de Segonzac en 1972. Celui-ci l’encourage et lui achète ses premiers bronzes. Une médaille d’or en sculpture lui est attribuée par la Société des artistes français.

En 1980 lui est remis le prix Edouard-Marcel Sandoz de la Fondation Taylor, et une médaille d’or en peinture par la Société des artistes français.

L’Académie des beaux-arts lui décerne le prix Raphaël Leygues en 1981. Il est élu vice-président de la Société des artistes français en 1983, poste qu’il occupera jusqu’en 1991.

Il est nommé Peintre officiel de la Marine en 1995.

Il devient titulaire du corps des peintres officiels de la Marine en 2005.

Ses sculptures et pastels sont conservés dans plusieurs musées et collections privées en France et à l’étranger.

Jean DIVRY

Jean Divry réalise un travail au croisement entre archéologie et art contemporain. Une archéologie maîtrisée, documentée, enrichie par les voyages et une passion précoce.

Un art longtemps influencé par l’admiration vouée à Arman et César en début de carrière, dans une démarche de défense de l’environnement et d’opposition au matérialisme, avant de prendre le chemin plus métaphysique d’une quête de l’homme à travers le monde contemporain.

« Mon travail est nourri par mes rêves et je livre au public une archéologie de l’imaginaire qui nous interroge avant tout sur notre monde d’aujourd’hui et de demain. » »

Jean DIVRY

Photo de Catherine FARVACQUES
Catherine FARVACQUES

Née en 1963

Elle aurait pu être marin au long cours ou archéologue d‘une civilisation enfouie dans les sables tant l’inconnu peut enflammer son esprit aux aguets. Catherine Farvacques aurait pu s’enfuir sur des mers ou se retirer dans les déserts, elle a préféré les beaux-arts et la vénerie armoricaine, s’inscrivant ainsi dans une généalogie du trait et de la couleur. Elle s’est attachée à la terre et au temps qui passe, privilégiant le mouvement à la contemplation de l’horizon, l’expérimentation de la matière à la pose académique.

 

Peinture, gravure, dessin, sculpture… Avec ce talent qui l’anime et l’amuse, elle tente et réussit toutes les techniques avec un bonheur dont le secret pourrait bien être la sincérité. L’artiste ne ment pas. Elle joue sans feindre. Pinceau, burin, crayon… Chaque outil et chaque manière servent à transcrire l’émotion ressentie dans un hallier, un étang, une arène. L’éclat d’un regard, un carnaval de plumes, un concert fauve… le monde est un spectacle et Catherine Farvacques une actrice passionnée. Elle confronte ses rêves et sa vie avec les arts figuratifs mais plus encore avec les enseignements de la nature. Avec une curiosité instinctive, elle arpente les continents et s’étonne de ces immensités habitées. Avec ferveur, elle jouit de cette vitalité qui pousse les chevaux au galop et les chiens aux trousses d’une proie hypothétique. Reconnaissante, elle s’incline devant la beauté éphémère d’un geste. La vie lui plaît. Elle la peint et la sculpte sans innocence et sans culpabilité : nue et magnifique, de feu et de sang, avec ses odeurs et ses couleurs, ses rondeurs et ses déchirures. Catherine Farvacques est aussi vraie que son œuvre est vivante, aussi peu conventionnelle que le monde est vaste.

 

Bernard Rio

 

Académie Roederer- Arts Décoratifs à Paris- Ecole du Louvre

 

Expositions depuis 1991

 

Paris, Versailles, Le Touquet, Mazino (Italie), Aix-en-Provence, Saint Petersbourg, Roermont (Hollande), Nantes, Nîmes, Rambouillet, Rennes, Avranches, Sologne, Arc-en-Barrois, Montfort l’Amaury, La Roquebrussane, Fougères, Laval, Neauphle le Château ….

 

Presse et télévisions :

 

Seasons, Chasse et Pêche,  Univers des Arts, Valeurs Actuelles, Vénerie, Côté Ouest, Jours de Chasse, Connaissance de la Chasse, Le Saint Hubert, Chiens de Chasse, Sanglier Passion,  Rennes Actuel, Chasser en Bretagne, Ouest France, Chassons.com …

 

Galeries permanentes :

 

La Cymaise (Paris)

 

Musée de la Vénerie de Montpoupon,  particuliers : France, Etats-Unis, Allemagne,  Irlande, Angleterre, Belgique, Hollande, Suisse, Russie.

 

Prix et distinctions :

 

Centenaire de la Société de Vénerie : premier prix de sculpture et premier prix de peinture (2007).

 

Salon des Artistes Animaliers : médaille d’argent de sculpture ( 2011 et 2012)

Site internet : http://www.catherine-farvacques.com/

Casimir FERRER

Rencontrer Casimir FERRER à travers ses œuvres, c’est commencer un voyage à plusieurs.

L’artiste marie avec autant d’excellence le crayon, le pinceau, le couteau, la soudure que le verre en fusion.Toute matière est support d’invention et de créativité.

Esprit libre et universel, Casimir FERRER est à la fois sculpteur de tempérament et peintre poète des couleurs.

Le meilleur moyen de tenter de percer le mystère Ferrer est de se laisser envahir par la profonde vérité qui émane de ses œuvres.

Jean FRÉOUR

Jean Fréour , sculpteur de l’âme, harmonise et équilibre ses œuvres avec simplicité et pureté, tel un véritable chef d’orchestre maître incontesté de sa partition.

Né à Nantes, il décide à l’âge de 16 ans de devenir sculpteur.Après des études aux Beaux Arts de Bordeaux, il fait un court passage aux Beaux Arts de Paris. Mais en désaccord avec les Ateliers Parisiens il retourne dans sa Bretagne natale et s’y installe.

Ses sculptures classiques révèlent la beauté du monde par les moyens les plus simples et une technique des plus rigoureuses.

Dans cet univers propice à la méditation, il puise dans la beauté des femmes, du Christ, de la Vierge et des Saints, son style doux et grave.

Photo de Armel GIRAUDET
Armel GIRAUDET

Peignant en volume, Armel Giraudet s’est tourné naturellement vers la sculpture.

Exécutées en résine vernissée, d’agréables couleurs, ses sculptures possèdent les mêmes caractéristiques que sa peinture.

La disproportion volontaire entre le volume amoindri de la tête et celui amplifié du corps, apporte une note de surréalisme.

Photo de – JIVKO
JIVKO

Né en 1963 en Bulgarie. En 1976, son oncle, le peintre M. MANEV, l’initie aux arts plastiques et lui transmet sa passion de l’art. Il intègre le lycée d’art de Kazanlak. En 1982, il obtient avec les honneurs son Baccalauréat d’Arts Plastiques et Histoire de l’Art.

Il intègre ensuite après concours, l’École des Beaux-Arts de Sofia (Bulgarie) où il est reçu major de sa promotion. En 1985, il intègre l’Académie des Beaux-Arts de Prague, une des plus grandes et difficiles académies de l’Europe de l’Est. Il en sortira diplômé en 1990, avec un titre de « sculpteur académique ». Peu de temps après, JIVKO expose ses premières sculptures à Prague. En 1990, il fait cap sur Paris. Malgré les oppositions et refus des autorités bulgares, l’École des Beaux-Arts de Paris lui accorde une bourse et l’héberge à la Cité des Arts pendant un an. Le rêve de JIVKO d’étudier en France se réalise alors. Dès 1991, il commence un grand parcours d’expositions en France, toutes ses œuvres sont très inspirées par la mythologie et ses origines, deux constantes qui ne le quitteront plus. En 1992 il obtient la bourse de l’Association RENOIR. Il est invité à travailler six mois dans l’atelier du peintre Pierre Auguste RENOIR. Il fait la connaissance de Maya PICASSO, fille du peintre Pablo PICASSO, qui l’honorera de sa présence et de son soutien à toutes les grandes expositions parisiennes. Son succès est depuis,aauarendez-vous…
Les prix et distinctions dont il a bénéficié tout au long de sa jeune carrière sont nombreux. Depuis plusieurs années, des œuvres monumentales, des mobiliers d’artiste en bronze ainsi que des dessins sur toile et papier sont venus s’ajouter à sa statuaire initiale. Une œuvre aboutie et complète.

« …Je fais toutes mes sculptures en cire d’abeille… Je n’en ai pas besoin de beaucoup parce que je fais seulement « le mur ». Mes sculptures ne sont jamais pleines … Quand je commence une œuvre, j’ai déjà une idée très précise de la sculpture elle-même. La technique que j’ai est telle que l’on ne peut pas beaucoup modifier le résultat final. Donc, il faut être sûr de soi. La sculpture en cire va ensuite à la fonderie. La fonderie remplace la cire par le bronze. Et moi, à la fin, je retravaille le bronze. »

« … J’ai eu le Prix de la Fondation de France, celui de l’Académie française. Cela récompensait toute mon œuvre d’alors, et surtout cela m’encourageait à continuer ! C’est très positif lorsqu’on est jeune, et que l’on éprouve le besoin de recueillir toutes sortes d’encouragements… »

KITO

Né le 08 février 1954. Il est autodidacte et commence à sculpter dès l’âge de cinq ans. Ses premières trousses de sculpteur sur bois et pierre lui sont offertes par le célèbre sculpteur Etienne MARTIN, ami de la famille. Il est précoce : dès 1968, à l’âge de quatorze ans, on lui confie la décoration de l’Ecole Maritime de KERSA à PAIMPOL (22).Il réalise alors une fontaine « NEPTUNE » en granit. En 1972, il est admis à La Biennale de ST-BRIEUC (22) pour laquelle il réalise une sculpture en granit :-« Les-diables-au-bénitier ».
Il travaille avec les mêmes bonheur et maîtrise, la pierre et le bois qu’il associe souvent dans ses œuvres. Il trouve sa pleine expression autant dans des sculptures monumentales que plus petites. Ses thèmes de prédilection sont multiples et ont évolué avec le temps : fermetures éclairs, livres, femme, maternité, fruits… Il fait preuve d’une imagination débordante presque jouissive. Son style est inclassable, assez proche cependant-des-surréalistes. Son travail « bien fini » est porteur de sens pour tout un chacun, petit ou grand.

Il fait partie des artistes choisis pour réaliser des sculptures dans le site « la vallée des Saints ». Il a terminé le 24 juin 2019, la réalisation de la statue Bleuenn, sa 8eœuvre sur le site, qui devient la 122e réalisation de la Vallée des Saints, à Carnoët, entre Guingamp et Carhaix (Finistère).

« Je travaille essentiellement pour nos racines bretonnes. Je souhaite apporter ma pierre à l’édifice avec des sculptures réalisées pour l’éternité ». Lorsque je commence une œuvre, j’imagine mon travail comme une traversée en bateau,  avec ses tempêtes, ses coups de soleil, ses virements de bord pour arriver au débarcadère. Je commence toujours par la tête pour savoir à qui j’ai affaire »

Ilesttitulairedenombreuxprixtels :
– le prix Léonard DE VINCI décerné en 1982, pour l’ensemble de son œuvre par l’Academia
International-LéonardoDAVINCI,
– en 1994, il obtient le 1er prix de la Sculpture Contemporaine de Bretagne à Landivisiau
(29),
– en 2002, il reçoit la Médaille de Vermeil de l’Académie des Arts, Sciences, Lettres.
Il est membre de la Fondation TAYLOR et membre de l’Association SCULPTEURS BRETAGNE. 

Il a participé à de nombreuses expositions tant en FRANCE qu’à l’étranger comme invité d’honneur ou dans des expositions de groupe.