Peintres

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Photo de Richard HEITZ
Richard HEITZ

Autodidacte, il a choisi le figuratif et le pastel.

 « … Avec des soutiens solides en Allemagne et en Hollande, j’ai persisté dans ma voie. Si bien que maintenant, je peins comme je pense et comme je suis. J’ai appris qu’il ne faut pas perdre son âme, et rester soi-même. La beauté est la seule chose qui vaille la peine d’être regardée et honorée. »

« Ce Monde est riche : de vies, de couleurs, de lumières et de formes.

Et mon âme  s’en exalte, refusant de se momifier en de lancinantes redites.

La maîtrise du pastel et le style acquis, les adapter aux motifs, (et non l’inverse) permet d’explorer de vastes univers différents au gré de mes diverses inspirations. N’être ni seulement figuratif, ou abstrait ou figuratif abstrait mais tout cela, et plus encore, guide ma vie professionnelle depuis plus de trente années de joies. »

 

Quelques évènements :

De 1987 à 2001 voyages en Afrique Equatoriale en qualité d’artiste naturaliste

Les Biennales de pastel :

2017 – TIVOLI – Italie

TOURNUS – France

2018 – ORVIETO – Espagne

BOULOGNE SUR MER – France

Les Salons depuis 1994 :

Tous les salons de la Société des Pastellistes de France

Participation aux salons d’Arts d’Anvers – Rotterdam – Hambourg…

 

Expositions personnelles au gré des circonstances dont :

2010 – DANTE – LA DIVINE COMEDIE – Paris Salle Chaptal

ST CHEF Abbaye Bénédictine

2019 – Du 03 au 15 Mai – FEYTIAT

Photo de Hubert HOLLEY
Hubert HOLLEY

Né en janvier 1949, il suit une formation de dessin et de graphisme publicitaire complétée par une spécialisation de décor peint.

L’histoire de l’art, les peintures, les fresques et trésors des hôtels particuliers et demeures historiques qu’il a parcourus au fil de son itinéraire professionnel ont tout naturellement  servi de base à sa maitrise des techniques picturales aussi diverses que variées.

Artiste figuratif, sa peinture nous aide à comprendre son attachement à l’équilibre nécessaire entre rigueur et liberté d’expression. L’équilibre de la composition, les lignes de force, les jeux d’ombres, de lumière et de couleurs créent et rythment la superposition, l’organisation et la transparence des plans toujours avec intérêt pour l’essentiel.

Au premier regard, ce que l’on retient des dessins et des peintures d’Hubert Holley, c’est son audace hors modes et quasi surréaliste de la composition. Sous une formulation classique qui n’a que faire des tendances plus où moins actuelles, il compose et diversifie des épisodes peuplés de mystères ou de bonheur, dont la fonction figurative émet toujours un message.

Grand dessinateur, totalement libéré des aléas techniques et des proportions indécises par sa formation de graphiste, au fil d’une période où les peintres figuratifs reviennent en grâce et s’expriment avec plus où moins de sûreté, Hubert Holley en arrive à surprendre et pas qu’un peu, par son efficace aisance et particulièrement par ce souci des détails qui, non seulement, actionne vie et pittoresque, mais se paie le luxe de s’intégrer dans d’audacieux cadrages, d’étonnantes surimpressions gorgées de dynamisme où de charme serein.

L’artiste piétine allègrement la mièvrerie où la trop grande rigueur pour se jouer du regard de l’observateur et de l’affoler de plaisir par la fluidité où l’effervescence de simples traits assurés où de ces couleurs qui ennoblissent êtres et fleurs en restituant tout autant la beauté que l’émoi. Voici un très grand figuratif qui chemine avec pérennité au gré de ses convictions et de sa maestria.

André Ruellan, critique d’art

Photo de Dominique HOUARD
Dominique HOUARD

Dominique Houard a rallié trop tard la planète Terre pour joindre sa contestation à celle des soixante-huitards, car cinq mois avaient passé déjà : c’était le 18 octobre 1968, et dernière née parmi quatre filles, on ne lui avait pas demandé son avis. Elle avait néanmoins l’intention ferme de le donner. Etant venue habiter un petit village de la Nièvre, à quelques pas du merveilleux peintre Albert Drachkovitch, elle préférait aux fragrances du Pouilly fumé les effluves d’huile de lin et de térébenthine qui lui parvenaient. C’est comme cela qu’elle s’est engagée dans ses études et recherches artistiques, bientôt soutenue également par Jacques Poirier, ce maître du trompe-l’œil, qui la prit en amitié et l’accompagna de ses conseils jusqu’à sa mort.

Son premier trompe-l’oeil date de 1993.

Dominique Houard a exposé de nombreuses fois, tant à la Fondation Taylor que dans les grands Salons, comme ceux d’Hiver et d’Automne, au sein du groupe des peintres de la Réalité dirigé par Henri Cadiou, et au salon International de Feytia ou elle accroche ses pastels depuis 2002, mais toujours en restant fidèle à sa manière, faite d’amour du détail, de malice et de mystère.

Elle rassemble des objets improbables, aussi bien pris dans le quotidien que surgis du passé et les organise autour d’une énigme, dont la solution ne peut être trouvée qu’en jouant le jeu, en se laissant guider dans une recherche initiatique à travers un univers à la fois familier, insolite et dérangeant.

Etonnamment précise, même dans le pastel qu’elle aime fréquenter et qui fut sa première passion, elle crée une atmosphère étrange sans avoir l’air d’y toucher. Sa signature elle-même se découvre de façon inattendue, au détour d’un itinéraire déroutant.