Peintres

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Photo de Jean-Paul BARRE
Jean-Paul BARRE

Jean-Paul Barré est né à Nantes en 1954.

Inscrit à l’École des Beaux-Arts de Nantes, il apprend le dessin et la gravure dans l’atelier de Paul Guimezanes (Prix de Rome).
Il prend des conseils et se lie d’amitié avec le peintre nantais Edmond Bertreux.
Il travaille surtout seul dans la nature à toutes les saisons en multipliant les études au crayon, à l’aquarelle, à la gouache et à l’huile.

Très influencé par Corot, l’École de Barbizon, les Romantiques allemands et anglais, il a parcouru les musées (France, Grande-Bretagne, Hollande, Suisse) pour apprendre la technique des Maîtres du XIXe siècle.

A partir de 1976, des expositions se succèdent à Saint-Brévin, Pornic, Deauville, etc.
Devenu professionnel en 1985, il expose régulièrement :

– à la Galerie Bernier à Nantes.
– au Salon du Val de Cher: premier prix en 1993.
– à Paris, au Salon des Indépendants

En 1988, il s’installe en Brière (Loire Atlantique), paysage de marais, d’arbres et d’eau qui sont une grande source d’inspiration.

Depuis 2001, une exposition annuelle a lieu dans son atelier.

 

Photo de Claudio BERTONA
Claudio BERTONA

Je suis né a Novara, une ville du nord de l’Italie et j’ai étudié l’aquarelle à l’Ecole Gorlini.

Je suis membre de l’association italienne des aquarellistes et j’ai exposé mes oeuvres en Italie, France, Irlande, Russie, Espagne, Mexique, Etats-Unis, Belgique, Finlande, Suède, Norvège, Colombie et Suisse.

Ma conception personnelle de la peinture est que l’on peigne toujours ce que l’on est.

Photo de Muriel BESNARD
Muriel BESNARD

Artiste au parcours multiforme, Muriel Besnard est formée aux arts asiatiques. Son approche se fonde sur l’utilisation du souffle, sur l’intensité de présence et sur l’engagement du corps nécessaire à la libération du geste.

Chaque tableau est pour l’artiste un voyage initiatique qui renvoie à l’Esprit du Tao. Des lointains vaporeux ouvrent sur l’immensité, libérant ainsi des espaces de respiration. La perspective est atmosphérique, les points de vue sont multiples pour évoquer cette nature dont nous ne sommes qu’une expression.

Chez Muriel Besnard, l’œuvre émerge de la profondeur sensible et de la relation intimiste qu’elle installe avec le sujet peint. Aucun dessin préparatoire, aucune finalité ne sont projetés. Le projet s’élabore au fur et à mesure que le processus avance.

Ses créations nous parlent de sensations, de ressentis. Il s’agit pour elle de « Vivre selon l’Esprit de la Vallée » : cela consiste à épouser le flux mouvant du réel pour mieux évoquer l’énergie tellurique du Shan Shui (litt. Montagnes & Eaux).

Les œuvres sont créées aux pinceaux à lavis et aux encres asiatiques sur un papier de fibres de mûrier dit papier de Xuan. Elles sont ensuite marouflées sur toiles et reçoivent plusieurs couches d’un apprêt de protection d’aspect satiné

Photo de Dominique BEULZ-RICHÉ
Dominique BEULZ-RICHÉ

DominiqueBEULZ-RICHÉ

 

Née à Quimper en 1957, j’y ai passé mon enfance. Je me suis installée dans la région brestoise dans les années 80 pour mon travail et j’y habite toujours aujourd’hui.

Durant de longues années le monde scientifique et particulièrement la recherche en pharmacologie ont constitué mon activité principale mais je me suis toujours laissée une part d’évasion en participant à des cours du soir, que ce soit en dessin ou en peinture.

Après avoir très longtemps partagé mon temps entre le laboratoire et la peinture, je consacre une grande partie de mon activité à l’aquarelle depuis 2004.

 

Ce médium m’a servi à passer de la recherche scientifique à la recherche picturale. Le lien entre ces deux mondes à priori éloignés m’est alors apparu comme une évidence !

Contrôler l’eau, les pigments, le temps et le geste, autant de paramètres que l’on doit doser pour trouver une juste alchimie en aquarelle: un vrai travail de réflexion en laboratoire !

L’aquarelle est une technique subtile qui laisse entendre qu’elle est simple mais qui en réalité réserve bien des difficultés lorsqu’il s’agit de trouver un juste équilibre entre technique et émotion. Mais c’est une technique passionnante et qui n’a pas fini de me fasciner !

Le spectacle de la nature me fascine et mon côté rêveur transparait souvent dans ma peinture. Un seul souhait : traduire une émotion, la poésie d’un lieu et entraîner le plus possible de personnes dans mes rêves…

 

Pendant 10 ans, j’ai été co-organisatrice du salon d’automne de Guipavas (Centre culturel Alizé)

Depuis 2012, j’appartiens à la Société des aquarellistes de Bretagne (SAB). La SAB compte quatre centre de regroupements : Montgermont, Pont L’Abbé, Guidel et Guipavas depuis 2014. Je suis responsable de l’antenne de Guipavas depuis la rentrée 2016.

Je fais partie de l’association « Breizh aquarelle » qui organise la Biennale internationale d’aquarelle du Léon.

J’anime des cours d’aquarelle à Brest

 

 

Expositions : nationales et internationales

Photo de Michel BEZ
Michel BEZ

Né le 15 mars 1951 à Toulouse, Michel Bez, consacre son temps libre à la peinture dès l’âge de 16 ans. Autodidacte, il présente sa première exposition en 1975. Depuis cette date, la peinture devient son activité principale et constante. Après avoir possèdé durant quelques années une galerie de peinture il s’est ensuite consacré entièrement à son art

Médaillé de bronze au Salon de la Marine en 1983, nommé Peintre Officiel de la Marine le 1er mai 1987 et titularisé le 1er mai 1999, il est depuis 2002, Président de l’Association des Peintres Officiels de la Marine.

Docteur en droit, Michel Bez a, parallèlement à ses activités artistiques, occupé la fonction de professeur, de 1993 à 1995, sur le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc (Ecole d’application des élèves officiers de Marine) où il a dispensé un enseignement sur l’optique plastique et la pratique du dessin.

De 1995 à 2000, professeur à l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales (HEC), il a enseigné l’optique plastique, l’analyse de l’image et la sémiotique visuelle.

Membre de l’Académie de Marine, chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres, Peintre Titulaire de la Marine, il préside l’Association des Peintres Officiels de la Marine depuis plusieurs années, après en avoir été le secrétaire général.

Michel Bez a réalisé plus de 50 expositions personnelles en France et à l’étranger (Belgique, Suède, Australie) et participé à de multiples expositions de groupe ainsi qu’à des salons artistiques parmi les plus connus.

Photo de Paul BILLARD
Paul BILLARD

Pastelliste autodidacte, né à Nantes, il a suivi ses études de kinésithérapeute et a ouvert son cabinet. Il a toujours dessiné.

Après quelques essais de sculpture sur bois et un peu d’aquarelle, on lui offre un coffret de pastels et c’est le coup de foudre ! Il l’adopte d’abord pour ses aspects pratiques (absence de temps de séchage) et sa proximité du dessin, avant d’en faire sa technique de prédilection pour la richesse de ses nuances, l’intensité de ses couleurs chaudes et les infinies possibilités de transparences, de textures qui lui donnent envie d’aller plus loin. Après dix ans de travail en autodidacte, il se rapproche de Pierre Caro dont il suit les cours. Aujourd’hui, Paul Billard est un artiste reconnu. A la retraite, il peut dorénavant se consacrer à son art.

Ses sujets ont d’abord été des scènes du carnaval de Venise et des cavaliers qu’il aime dessiner d’imagination. Ses thèmes sont autant d’émotions rapportées de ses voyages dans ses esquisses aquarellées. L’humain y est omniprésent et les scènes de vie nombreuses : les bals, les marchés, le carnaval de Venise, l’Inde, le Maroc, l’Égypte, mais aussi les chevaux de Mongolie, les nus sont pour lui autant de sources d’inspiration, le tout décliné en couleurs somptueuses où dominent souvent le rouge et le bleu. Il effectue des esquisses à partir de carnets de voyage à l’aquarelle et des photos qu il réalise lors de ces voyages.

Exposant dans les salons régionaux depuis une trentaine d’années, il obtient de nombreux prix. Invité d honneur au salon du pastel en Bretagne en 2010 puis à Carquefou en 2011, et au salon du pastel de Giverny, il a participé aux estivales internationales du pastel de Saint Florent le Vieil également.

Rémi BLANCHARD

Rémi Blanchard, artiste peintre français représentant de la figuration libre naît en 1958 à Nantes. Il décède d’une overdose en 1993 à Paris.

Il puise son inspiration dans ses souvenirs d’enfance, de vacances en camping, en caravane, de famille nombreuse : il a dix frères et soeurs. Il étudie tout d’abord la mécanique, puis s’inscrit à l’École des Beaux-Arts de Quimper.

« A la 3ème année des Beaux-Arts, j’en avais ras-le-bol, je ne m’entendais plus avec les professeurs, je n’avais pas d’argent. C’est Bernard Lamarche-Vadel qui m’a conseillé de venir à Paris, il m’a poussé pour que je travaille, je pense qu’il m’a bien aidé. » Rémi Blanchard

 

Au début des années 1980 il s’intalle à Paris. Son atelier, situé dans des anciens entrepôts, est détruit lors d’un incendie, de même que sa collection personnelle et ses archives.

Il participe au fondement de la figuration libre aux côtés de Boisrond, Combaset Di Rosa et crée sa propre mythologie, notamment à travers l’imagerie des contes et des légendes.

Rémi Blanchard expose notamment en 1982 dans la Galerie Swart d’Amsterdam, la Galerie Bernier d’Athènes et la Galerie Yvon Lambert de Paris, en 1983 dans la Galerie Buchmann de Saint Gallen en Suisse, la Galerie Claudine Bréguet de Paris, la Galerie Eva Keppel de Düsseldorf, en 1985 dans la Galerie Wolf Schulz de San Francisco, en 1987 dans la Galerie Krief de Paris, en 1989 dans la Galerie Galea de Caen et au Musée d’Art Moderne de Quimper, en 1990 dans la Galerie Svetlana de Munich, en 1992 aux Magasins SOGO au Japon, dans la Galerie Thierry Salvador de Paris, la Galerie Ornamenten d’Anvers, etc.

En 1997, une exposition « Hommage à Rémi Blanchard » est organisée dans la Galerie Gastaud de Clermont-Ferrand, de même en 1999 au sein de la Galerie l’Art en Face de Plonéour-Lanvern.

Rémi Blanchard décrivait sa peinture comme « une écriture imagée », une écriture qu’il tendait à « simplifier encore plus ».

 

Roger BONAFE

Né le 30 Aout 1932 à Caux dans l’Héraut. Il arrive à Paris dans la deuxième moitié des années cinquante et habite en plein cœur de Montmartre.

Il y côtoie les peintres de la « Butte », Gen Paul notamment, puis Lorjou, Jansem, etc… Le déclic se produit : il sera peintre.

Au début des années soixante, c’est une peinture très typée que l’on voit apparaître sur les cimaises des galeries de Montpellier où Bonafé vient de se fixer. Paysage ou nature morte, l’écriture est simple, précise. Sa palette est riche et chaude avec ses rouges, ses oranges, ses verts lumineux.

1988 fut pour lui une date très importante. En effet, il rencontre René Chabannes directeur de la Galerie Christiane Vallé. Il dit lui même : « Ce fut  » la  » rencontre qui marqua le début d’une carrière internationale ». Les expositions se succèdent d’année en année : République de Chine, Corée du Sud, Japon, New-York, Dallas, San-Francisco, Chicago, Rio de Janeiro l’Australie et bien sûr l’Europe, Genève, Zurich, Londres, Barcelone.

Roger Bonafé, qui ne s’est jamais départi de la figuration, donne à voir une peinture forte, basée sur une interprétation très personnelle de la réalité.
« Je peins ma région, avec les éléments qui la raconte le mieux : cyprès, pins, étangs, mer, vignes, mas, comme je me suis servi des rues et des places qui bordent le Sacré-Cœur de Montmartre. Je me sers pleinement de la nature, c’est sûr, mais s’il faut déplacer un élément pour la composition du tableau et si c’est ce que je souhaite, je le déplace ».

En 2002 sa rétrospective au Château de Val impressionne le visiteur, le bouscule, le charme, l’éblouit. Le Château au second plan est réveillé par la présence d’une femme au grand chapeau rouge, élégante dans son attitude, éblouissante dans ses couleurs.

Roger Bonafé disait un jour « Je crois que le travail donne du talent ».

 

Photo de Muriel BONNIN
Muriel BONNIN

Je suis née en Alsace en 1962 et vit actuellement dans les Yvelines.

Autodidacte, j’ai eu le goût du dessin dès l’enfance mais c’est à l’âge de 32 ans, alors que je vis 
sur l’île de Saint-Barthélémy que je commence la peinture à l’huile.

En 2012 je découvre le travail de maîtres pastellistes et cela me donne envie d’essayer le pastel.

C’est finalement cette technique qui me conviendra le mieux.

André BRASILIER

Né à Saumur, Touraine en 1929. André BRASILIER entre à l’École nationale supérieure des beaux-arts en 1949 et obtient le Prix Florence Blumenthal en 1952 et le premier grand Prix de Rome de peinture l’année suivante, il réside à Rome à la villa Médicis de 1954 à 1957. Sa vie d’artiste implique un perpétuel déplacement géographique toujours au contact de la nature omniprésente autour de chacune de ses maisons – ateliers. Découvrir son œuvre à travers quelques mots clés :

SES SUJETS DE PRÉDILECTION

  • Le modèle aimé et presque adulé, son épouse.
    •La nature omniprésente et ses changements saisonniers.
    •La musique
    •Les chevaux

Ces quatre thèmes sont fondamentaux pour l’artiste qui revendique Gauguin comme ‘père spirituel’: la musique, le modèle que représente son épouse, les personnages dans la nature et les chevaux. Ocre, blanc et noir marquent les œuvres musicales où les musiciens et leurs instruments-sont-à-peine-ébauchés.

Sur de nombreux tableaux un personnage féminin, toujours le même, se détache sur des paysages, des aplats bleus, verts, noirs ou rougeoyants : Chantal, sa femme, qu’il décrit comme sa ‘muse’, sa ‘source d’inspiration permanente’.

Les chevaux, des ‘créatures attachantes’ par leur ‘vie, leur dynamisme’, parcourent, à peine esquissés, des plages, des bois, ou encore des prés où ils paissent, colorés en bleu sur le vert de l’herbe.

 

Photo de Didier BROT
Didier BROT

Né le 11 mai1961 à Bagnols sur Cèze.

Etudes supérieures, diplôme d’ingénieur. Vie active professionnelle intense pendant 20 ans dont 15 avec la création et la direction de deux sociétés dans l’industrie pharmaceutique.
N’en délaisse par pour autant ma passion du dessin et découvre, il y a plus de trente ans, l’aquarelle que je pratique régulièrement de manière autodidacte.

Depuis plusieurs années, l’aquarelle est devenue ma seule et unique occupation professionnelle. J’organise et donne des stages tout au long de l’année sur plusieurs régions françaises (Paris, Ardèche, Auvergne, Languedoc, PACA) ainsi qu’au Maroc, au Pérou, en Grèce, en Italie, Canada, Cuba, Venise, au Portugal au Costa Rica ou en Turquie.

 

Il organise une ou deux expositions personnelles par an et expose dans quelques salons et festivals de renommée nationale et européenne.

A reçu de nombreux prix et recompenses lors d’expositions nationales, internationales et mondiales.

Publications :
- Carnet de voyage au Cambodge
- Carnet de voyage au Pérou: « Voyage au pays d’Inti »
- Carnet d’Auvergne d’un aquarelliste : « Et Puys! »
- Carnet de ville d’un aquarelliste : « Clermont-Ferrand »
- Carnet de voyage au Maroc en compagnie d’Eugène Delacroix – Aquarelle sur support synthétique
- Carnet de voyage en Turquie.

Une bande dessinée de science-fiction est en cours d’élaboration

Photo de Gilles BRUNERIE
Gilles BRUNERIE

Né à Brive la Gaillarde en 1957.

J’ai commencé la peinture il y a quelques années, je pratique presque uniquement l’aquarelle.

J’habite en Bretagne dans la région de MORLAIX, ce qui fait que ma peinture est tournée vers la mer et les bateaux. Je suis très sensible à la transparence que l’on trouve dans l’aquarelle.

La rencontre avec CAO BEI AN a été pour moi une révélation, mes attirances déjà très présentes pour l’Asie se sont encore affirmées.

 

La Bretagne est ma première source d’inspiration, mais je cherche maintenant à élargir mon horizon et nos voyages sont autant de pistes qui me poussent toujours plus loin dans la quête de mon identité d’aquarelliste.

 

De  notre voyage au LAOS en 2009 est né un « carnet de voyage ».

Le deuxième « Et le temps s’arrête » sorti en juin 2012 est plus porté sur mon cheminement d’aquarelliste.

 

Je ne me cantonne pas à une seule technique et je peins aussi facilement sec, humide ou dans le très mouillé, j’adapte ma technique aux conditions, en effet je peins souvent en extérieur  en Bretagne ou un peu partout dans le monde.

 

Au travers de mes stages, je fais partager mon expérience aux diverses méthodes d’aquarelle.

 

Bernard BUFFET

Né le 10 juillet 1928 à Paris, dans le quartier des Batignolles.

En 1943, il étudie le dessin au cours du soir de M. Darfeuille, place des Vosges, puis entre en décembre à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris où il ne restera que deux ans. Ensuite,-il-travaille-seul.
En 1945, il obtient le prix des travaux d’atelier.

En 1946, il expose son premier tableau, un autoportrait, au Salon des Moins de Trente Ans à la Galerie-des-Beaux-Arts.
En 1947, il expose « L’homme accoudé » au Salon des Indépendants et en décembre a lieu sa première exposition présentée par Pierre Descargues, à la Librairie des Impressions d’Art. Raymond Cogniat lui achète pour le Musée National d’Art Moderne de Paris une peinture

« Nature-morte-au-poulet ».
En avril 1948, il présente un tableau « Le buveur » au Prix de la Jeune Peinture organisé à la Galerie Drouant-David à Paris. Le Dr Girardin, un grand collectionneur d’art contemporain, défend sa peinture avec passion et attire l’attention d’Emmanuel David sur ce jeune peintre. David propose à Bernard Buffet d’entrer dans sa Galerie avec un contrat d’exclusivité.

Ce contrat a par la suite été partagé avec Maurice Garnier. En juin, à la Galerie Saint-Placide à Paris, il obtient le Prix de la Critique ex-aequo avec Bernard Lorjou. En juillet, une exposition de ses oeuvres aura lieu dans cette Galerie. Il expose « La Ramandeuse de filet » au Salon d’Automne.
En 1949 un amateur d’art met un pavillon à Garches à sa disposition. Comme loyer, Bernard Buffet-lui-donne-un-tableau-par-trimestre.
En 1950, Il compte parmi les membres fondateurs du Salon de la Jeune Peinture organisé par Pierre Descargues.

En 1955, il obtient la première place au référendum organisé par la revue  » Connaissance des Arts  » désignant les dix meilleurs peintres de l’après-guerre. Il peint les maquettes des décors et des costumes pour « La Chambre » argument de Georges Simenon qui devient son ami.

En 1958, première rétrospective de son Oeuvre à la Galerie Charpentier à Paris. Il épouse Annabel-Schwob-à-Ramatuelle.
En 1961, il peint un ensemble de tableaux représentant la vie du Christ destinés à décorer la Chapelle de Château l’Arc (sa propriété jusqu’en 1954). Dix ans plus tard, à la demande du secrétaire du Pape Paul VI, Bernard Buffet offrira ces tableaux au Musée du Vatican où ils sont exposés-dans-une-salle-particulière.
En mai 1971, il est nommé chevalier de la Légion d’Honneur.

Le 25 novembre 1973, inauguration du Musée Bernard Buffet, fondé par Kiichiro Okano, à Surugadaira-au-Japon.
Bernard-Buffet-est-élu-à-l’académie-des-beaux-Arts-le-13-mars-1974.
En 1978, à la demande de l’Administration des Postes, il réalise une maquette pour un timbre de trois francs  » L’Institut et le Pont des Arts « . À cette occasion, le Musée Postal à Paris présente une exposition-rétrospective-de-ses-oeuvres.
En 1988, inauguration de l’extension du Musée Bernard Buffet de Surugadaira au Japon.
En 1991, il réalise une maquette pour un timbre de vingt-cinq francs soixante-dix centimes, à la demande de l’Administration du Territoire des Terres Australes et Antarctiques Françaises.
En-1993,-il-est-promu-au-grade-d’officier-de-la-Légion-d’Honneur.
En-1997,-les-premiers-symptômes-de-la-maladie-de-Parkinson-apparaissent.
Le 4 octobre 1999, ne pouvant plus peindre en raison de sa maladie, Bernard Buffet met fin à ses jours à Tourtour (Var).

Il a eu 3 enfants, deux filles, Virginie (née le 26 mars 1962) et Danielle (née le 24 avril 1963), et  un fils Nicolas (né le 13 mai 1971).